Université Lumière Lyon 2
Institut de formation aux pratiques psychologiques, sociologiques et pédagogiques
Education et égalité
Le cas de la Suède
Thèse de doctorat de 3e cycle de Sciences de l’Education
Dirigée par Guy AVANZINI
Présentée et soutenue publiquement le 2 Février 1980

Remerciements:

Lorsque j'entrepris l'étude sur l'éducation et l'égalité en Suède, je me mis à chercher dans les différentes bibliothèques universitaires et municipales de Lyon des ouvrages traitant dé ce sujet. Malgré mes nombreuses recherches, je ne trouvai que très peu de documents pertinents. En plus, la plupart étaient de seconde main. Il ne me restait donc qu'une seule solution pour trouver les documents nécessaires : me rendre en Suède. Mais dans ce cas se posait le problème de la langue. C'est pourquoi je décidai de séjourner assez longtemps dans ce pays, en vue non seulement d'apprendre le suédois et de recueillir des documents, mais aussi de m'intégrer dans la société, afin de mieux la connaître, d'avoir des contacts avec les habitants et de visiter des écoles. Afin de réaliser ces objectifs, un professeur français, Mme Erica Simon, qui a passé six ans (de recherches pour sa thèse de doctorat) en Scandinavie, me conseilla de suivre certains cours et d'être interne dans une "école populaire supérieure". J'y fus admis sans difficulté, grâce à la recommandation du professeur mentionné auprès du chef de la Division de l'éducation des adultes à la Direction nationale de l'enseignement public.

En ce qui concerne mes recherches, je décidai de commencer par des entretiens avec des personnes ayant collaboré aux travaux de la réforme du système scolaire ou exerçant des fonctions en rapport avec la recherche en éducation. Cette démarche s'avéra fructueuse, puisque, au cours des entretiens, toutes ces personnes me fournirent, gracieusement, une soixante de livres de première nécessité, dont certains étaient d'ailleurs de leur propre plume. Ensuite, je m'entretins avec d'autres Suédois, en particulier des enseignants, des élèves et des parents d'élèves.

Parmi les personnes qui m'ont accordé des entretiens et/ou m'ont fourni des documents concernant le présent travail, je tiens à remercier particulièrement :

Leif Andersson, ancien sous-secrétaire d'Etat au Ministère de l'Education nationale et actuellement secrétaire de recherche au Secrétariat du groupe parlementaire social-démocrate ;

Gerhard Arfwedson, responsable du projet de recherche "L'école et les enseignants" à l'Institut pédagogique de l'Ecole supérieure de formation des enseignants de Stockholm (i.P. E.S.F.E.) ;

G.H. Bjornsson, directeur du Centre pédagogique de Stockholm ;

Gunnar Boalt, ancien professeur de sociologie à l'Université de Stockholm;

Marianne Eriksson, chef de "bureau à l'Office central de statistique de Stockholm ;

Harold Gothson, conseiller auprès de la Division de la formation à la Direction nationale des Affaires sociales ;

Stefan Haglund, secrétaire de recherche à l'I.P.E.S.F.E. ;

Torsten Husén, professeur de pégagogie et directeur de l'Institut d'étude des problèmes internationaux en éducation de l'Université de Stockholm ;

B.O. Ljungj professeur de pédagogie et directeur administratif de l'I.P.E.S.F.E. ;

Sixten Marklund, professeur de pédagogie et chef de la Division de la recherche et du développement pédagogique à la Direction nationale de l'enseignement public ;

Ingmar SallnSs, directeur de l'Ecole populaire supérieure de Jakobsberg ;

Sven Sundin et Lars Svedberg, respectivement directeur et professeur à l'Ecole populaire supérieure de Tollare ;

Gosta Vestlund, chef de la Division de l'éducation des adultes à la Direction nationale de l'enseignement public.

Je tiens également à adresser mes vifs et sincères remerciements à ceux qui, pendant tout mon séjour (d'environ deux ans et demi) en Suède, n'ont jamais cessé de me réconforter aussi bien moralement que matériellement. Il s'agit des familles Âberg (G'dteborg), Almlof (Tumba), Andersson (Alingsâs), HagstrtSm (Stockholm), Hahta (Saltsjo- Boo), Jensen (Odder, Danemark), Lindarîtng (vadstena), Lunder (Lycksele), Paulson (Bromma), Sjoblom (Sjuntorp et Svenstavik), Springfeldt (johanneshov et Goteborg), Wangborg (Sollebrunn et Stockholm).

La liste n'est pas exhaustive, car elle serait trop longue. Je dois signaler aussi que les organismes dont les sigles figurent dans l'avertissement (cf. p. 12) m'ont offert un grand nombre d'ouvrages.

Sans leur générosité et celle des personnes nommées, ou non, ci-dessus, il m'aurait été difficile, sinon impossible,de mener à bien le présent travail. Qu'ils trouvent donc ici l'expression de ma profonde reconnaissance.

Je suis également reconnaissant à M. Guy Avanzini, Mme Erica Simon et M. Pierre Zind, tous trois professeurs à l'Université Lyon II, dont les remarques m'ont été infiniment précieuses. Et plus spécialement à Gilbert Millat, professeur agrégé d'anglais, qui, en plus de ses conseils judicieux, amicaux et encourageants, m'a fait cadeau de plusieurs livres concernant la présente étude et a relu mon manuscrit avec la patience et la sévérité propres à un véritable ami.

J'ajoute que tous conseils et critiques de la part des lecteurs seront les bienvenus.

Je remercie enfin les familles Bresson (Mornant), Galligaris (Lyon), Grottet (Caluire), Millat (id.), Penjon (Saint-Didier au Mont d'Or), Pichon (Lyon), Rey (Meyzieu), de Veyrac (Marseille), de Volontat (id.), et d'autres non mentionnées, pour l'amitié qu'elles m'ont témoignée pendant mon séjour d'études en France.

J. M.