Remerciements

À SOIZIC, Merci pour ta discrétion attentive à l'avancée de mon travail.

À MARINE, Merci de m'avoir accompagné des heures durant à la contre-basse, chacun prépare les "concours" qu'il peut.

A SAMUEL, Merci de tes délires informatiques s'étonnant de mes méthodes archaïques de travail, la paire de ciseaux et la colle.

A Toi, MARIE-FRANCOISE, Merci pour tes qualités de secrétaire, et cela depuis de moult années, dans des champs (chants !) variés et appréciés.

A l'Une, aux autres, enseignants et psychologues du travail...

Merci d'avoir été la source de tout le matériau nécessaire à cette recherche. Je sais la situation précaire que vous vivez au quotidien. Ce texte résume si bien votre réalité que je ne résiste pas au plaisir de l'emprunter à son auteur pour VOUS.

"Pareils aux maquisards, les hommes de réseau tantôt se font signe à distance, tantôt se regroupent pour tenter d'avancer sans se perdre. Les arbres de la forêt institutionnelle, tout à la fois, gênent et protègent leur progression. Etres associés et computants, ils cheminent, sans qu'il soit besoin pour cela de commande ou de contrôle émanant d'un niveau supérieur. Dépourvus du confort du bel organigramme, ils vivent dans la tension d'une volonté commune et forte, quasi clandestine. A même de rencontrer, dans des actions hors-les-normes établies, les "causes" de combats nécessaires. Nécessaires et souvent difficiles : l'homme de réseau ne sait s'il est dans la marge ou dans la profondeur ; dans la dissipation ou dans la discipline ; un errant ou un éclaireur, porteur des signes avant-coureurs de la transformation".
Jacques GUERMONPREZ. (Chargé d'Etudes. Service Etudes Recherches Appliquées. Direction de la Formation A.F.P.A.)

Au Professeur Reuven FEOERSTEIN
Directeur de l'Institut de Recherche HADASSAH-WIZO CANADA, de JERUSALEM.
Les théories que vous développez depuis plusieurs décennies ont séduit des enseignants et des psychologues de l'A.F.P.A. comme ils en ont séduit d'autres dans différents organismes de formation d'adultes. Vos apports théoriques, et didactiques les font se questionner sur leurs pratiques non seulement en direction des publics qui sont dits de niveau de qualification basse, mais aussi en direction de publics culturellement et techniquement plus avancés. Il m'a semblé opportun d'essayer de comprendre ce qu'était la force de vos conceptions auprès de ces praticiens du P.E.I.. Telle est l'ambition du travail que je soumets à votre appréciation. Mes amis et moi-même vous remercions d'être venu presque tout exprès de Jérusalem pour, en même temps que vous jugerez mon travail, nous donner, ainsi qu'à tous ceux qui pratiquent le P.E.I. au sein de l'A.F.P.A. et ailleurs, quelques précieux conseils.

A Guy MATTEUDI.
Directeur Général de l'A.F.P.A.
Parce que vous croyez en l'éducabilité de l'Homme, et parce que vous dirigez ce grand organisme de formation d'adulte qu'est l'A.F.P.A., vous avez accepté de juger mon travail. Sans votre bienveillant soutien, et celui de quelques uns de vos collaborateurs, il m'aurait été impossible de conduire ce travail au sein de l'A.F.P.A. J'espère que vous jugerez mon travail apte à aider l'A.F.P.A. dans sa réflexion sur cet important dossier de l'éducabilité cognitive, et bien plus encore sur cet indispensable champ complémentaire de la didactique qu'est la pédagogie.

Au Professeur Guy AVANZINI,
Au Professeur Jean BERBAUM,
Au Professeur Philippe MEIRIEU,
Merci d'avoir stimulé, par vos questionnements, ma lente recherche,
Merci de vos conseils constructifs,
Merci pour les analyses que vous ferez à partir de ma recherche.