Université Lumière Lyon 2
Faculté de Sciences économiques et de gestion
Coûts externes et expression des préférences collectives dans le marché des transports
Thèse de doctorat en Sciences économiques
sous la direction d’Yves CROZET
présentée et soutenue le 28 juin 1996
devant un jury composé de :
Gilbert CARRÈRE, conseiller maître à la Cour des Comptes
Jean-Pierre ORFEUILLE, directeur de recherches INRETS
Yves CROZET, professeur à l’université Lyon 2

A Sibylle,
A Carina.

Remerciements

Cette thèse est l’aboutissement de quatre années de recherche qui ont été effectuées au Laboratoire d’Economie des Transports de Lyon, ainsi qu’à l’Institut für Wirtschaftspolitik und Wirtschatsforschung de Karlsruhe. Je tiens à remercier les différentes personnes qui m’ont accompagné pendant ces années et qui ont contribué, chacune à leur manière, à l’aboutissement de mes recherches.

Je tiens tout d’abord à exprimer ma profonde reconnaissance au professeur Yves Crozet pour avoir suivi ce travail, et pour m’avoir fait connaître une grande partie des auteurs qui ont aiguillés ma démarche. Il me faut tout particulièrement préciser combien j’ai apprécié et me suis enrichi de nos discutions nombreuses, passionantes et stimulantes sur le jeu politique, l’économie publique et la sociologie. Ce travail leur doit beaucoup.

Que Laurent Guihéry de même que Bon Guk Kuh soient remerciés pour le soutien permanent et sans failles de leur amitié dans les moments difficiles.

Merci au professseur Maurice Bernadet pour le temps qu’il a consacré à la lecture attentive du rapport d’étape de ma thèse, et pour ses conseils et remarques avisés. Merci au professeur Alain Bonnafous, à qui mon parcours en Economie des Transports doit beaucoup, et qui, malgré certaines divergences de vues, a toujours été disponible pour discuter de l’avancement de mon travail. Merci à François Plassard qui lors de ma première année de thèse, m’a fait part de ses réserves sur une analyse trop étroite de la notion de coûts externes d’environnement ; j’ai pris conscience plus tard de la pertinence de son point de vue.

Je remercie aussi les membres du LET qui ont pu, au cours de ces quatre années m’enrichir de leurs critiques, remarques et conseils. Merci également à Monique, Yvonne et Nicole pour leur accueil toujours chaleureux, à Marie Thérèse Bernadet, Nicole Clerc et pour leur pascience lorsque je les ai régulièrement dérangées au centre de documentation, à Charles Raux et Fabien Torierro pour toutes les fois où je les ai interrompus en plein travail pour mes petits problèmes informatiques.

Il me faut aussi remercier le professeur Werner Rothengatter, qui a bien voulu m’accueillir un an dans sous sa direction à l’Institut für Wirtschaftspolitik und Wirtschaftsforschung de l’Université de Karlsruhe. Toute ma reconnaissance à Claus Eberhard ainsi qu’à tous ceux qui, lors de mon séjour à Karlsruhe m’on accuelli avec chaleur et sympathie et m’ont fait apprécier leur ville, à ceux qui, malgré le caractère non académique de mon approche, ont accepté ma différence.

Grands merci aussi à mon ami très cher Bruno Ricard, qui m’a un jour, presque par hasard, mis entre les mains « La méthode ». Cette thèse doit en effet beaucoup à Edgar Morin qui a bien voulu me recevoir dans son bureau de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Son invitation à une approche scientifique complexe et interdisciplinaire m’a éclairé sur nombre de points qui restaient confus dans mon esprit.

Merci à Emile Quinet, et Gilbert Carrére qui ont accepté de me recevoir pour discuter de mon travail.

Je rend aussi hommage à tous les militants du monde associatif que j’ai cotoyé. J’ai compris à travers leur action toute l’importance des contre-pouvoirs dans une société démocratique.

Merci enfin à mes parents qui m’ont donné la confiance, le courage et la volonté d’accomplir toutes ces longues années d’études pleines de péripécies...