Conclusion

Même si un profil "type" et un cas écrit sont évidemment réducteurs, l'on voit ici quelles sont les procédures et surtout l'esprit de reconnaissance des acquis développé au CEP.

A ce jour, et en l'absence de règles juridiques et financières précises, il va de soi que compte tenu des coûts du recrutement et du travail de validation, il ne peut s'agir que de procédures légères articulées aux conditions de mise en oeuvre du décret de 1985 à l'université Paris X. La mise en oeuvre de la loi de 1992, au-delà de débats et d'ajustements dans l'établissement, requiert à n'en point douter une autre logistique, d'autres moyens financiers et d'autres compétences encore, pour une large part à produire.

Cette équivalence de niveau, largement prédictive mais qui se révèle à l'expérience relativement fiable, est actée par le président du jury après discussion avec le responsable pédagogique et scientifique de la filière.

A noter qu'au CEP, il n'existe pas une seule pratique de délivrance d'équivalence de niveau. En effet, celle-ci est de la responsabilité du coordinateur pédagogique de la filière. Ainsi, l'on peut trouver des pratiques très différentes selon les diplômes préparés et selon leurs exigences : tests pour les uns, tests et entretiens pour d'autres ou encore analyses de réalisations... mais dans tous les cas prise en compte des expériences professionnelles ou sociales et du projet en cours et à construire.