Le fait d’avoir souffert du joug de la Vérité abstraite n’implique pas que l’homme bergmanien soit pour autant disposé à accepter d’accueillir son semblable. Il vit surtout dans le désarroi profond provoqué par la confusion. « ‘Dès l’instant où tu ne possèdes pas la foi , dès l’instant où tu vis dans un état de profonde confusion, tu es à la merci de toutes les influences possibles et imaginables’ 229 », dira Bergman.
Cinéma selon Bergman, op.cit. p. 288