Le psychothérapeute ne joue pas avec l'enfant, même si celui-ci le met en scène.

La frustration est un moteur du transfert et l'analyste n'accède pas au désir de l'enfant de le voir jouer avec lui. Il lui parle de ce désir, il en tire les conséquences au niveau de ce qui se passe dans leur relation, dans le transfert. A l'impératif de parole, posé, pour le patient, par le contrat thérapeutique, l'analyste oppose dans sa présence, le silence de celui qui écoute.