Réfutation

D’après l’édition de 1694 du Dictionnaire de l’Académie, « réfuter » c’est « montrer par raison qu’une chose qui a esté avancée n’est pas vraye » : on peut ainsi « réfuter un argument, une proposition, une opinion, une erreur ». L’édition de 1762 précise la définition, et présente l’action de « réfuter » comme une démarche visant à « détruire par des raisons solides ce qu’un autre a avancé », à « montrer que ce qu’a dit un adversaire est mal fondé ou n’est pas vrai ». La réfutation, que le Dictionnaire de Trévoux définit encore comme une « preuve », correspond donc à la mise en place d’une procédure argumentative fondée sur le raisonnement, et orientée dans la perspective d’une démonstration : il s’agit de « montrer par raison », en tout cas en alléguant des « raisons » qualifiées de « solides ».

On perçoit dès lors l’importance décisive du critère de la vérité : l’auteur prétend en effet combattre l’erreur pour faire surgir la vérité et, si la réfutation est animée d’une intention « destructrice », elle a pour corollaire implicite l’établissement (ou le rétablissement) de cette vérité. C’est bien dans cette perspective que s’inscrit l’« Ami de la vérité », lorsqu’il s’en prend, dans L’Aléthophile, à Palissot et à Moreau, « Auteur des Cacouacs », dont il dénonce en particulier les manoeuvres retorses :

‘dans presque toute cette Critique, s’il faut nommer ainsi un pareil Libelle149, ce ne sont que citations, ou fausses, ou mises malignement sous un tel point de vûe, qu’elles présentent tout un autre sens que celui qu’elles ont dans le corps de l’Ouvrage ; & telle est la malice des mauvais esprits.’

Il déclare alors, confiant dans « la bonne-foi des Lecteurs », qu’il ne prendra pas « la peine de réfuter tous les passages falsifiés150 », ce qui souligne, par prétérition, l’ambition qui serait celle d’une telle « réfutation ». Inversement, toute « réfutation » tombe d’elle-même, dès lors que son auteur est convaincu de mensonge. C’est ainsi que l’auteur des Préjugés légitimes contre Abraham Chaumeix estime légitime de « repousser vers l’Auteur » des Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, « s’il trahit la vérité », « les traits odieux qu’il a lancés contre les Auteurs Encyclopédiques151 ».

Du reste, dès l’édition de 1694, le Dictionnaire de l’Académie définit certes la réfutation comme un « discours par lequel on réfute », mais il admet aussi une acception « en termes de Rhétorique » qui désigne « la partie du discours, par laquelle on répond aux objections ». Le chevalier de Jaucourt précise, dans l’article « Réfutation » de l’Encyclopédie : « Quand l’objection est susceptible d’une réfutation en regle, on la fait par des argumens contraires, tirés ou des circonstances, ou de la nature de la chose, ou des autres lieux communs ».

Toute réfutation « en règle » s’inscrit donc dans le cadre d’un dialogue “ honnête ”, mené entre interlocuteurs de bonne foi, qui trouvent un terrain commun dans l’échange des arguments. C’est d’ailleurs la situation inverse que dénonce Chaumeix lorsqu’il évoque l’attitude des encyclopédistes face à la critique :

‘Lorsque les premiers volumes parurent, les Ecrits périodiques y relevérent plusieurs défauts. Les Encyclopédistes regarderent comme un attentat la liberté que l’on se donnoit de les reprendre, & jugerent à propos de ne répondre que par des injures. C’est ainsi qu’ils se sont soustraits à la censure des Auteurs de Journaux, qui occupés de leur travail régulier, & peut-être par quelqu’autre raison, ne voulurent pas s’engager dans des disputes de cette nature, avec les Encyclopédistes152.’

En répondant à la « censure » par des « injures », les encyclopédistes signifient ainsi leur refus de tout dialogue, et font se dégrader le débat d’arguments en vulgaire « dispute ». Car si le Dictionnaire de Trévoux précise que « la réfutation doit être vive & animée », elle n’en exclut pas moins le recours aux injures153.

C’est ce que souligne en particulier Christiane Mervaud lorsqu’elle s’intéresse aux réfutations qui ont paru à la suite de la publication du Dictionnaire philosophique de Voltaire154. Dans l’une d’entre elles, demeurée manuscrite et intitulée Dictionnaire philosophique portatif, première édition revue et corrigée ou Fourberie étrange de Voltaire dans son Dictionnaire philosophique, dévoilée et mise au jour, l’auteur anonyme, « animé d’une sainte colère, persuadé d’avoir pour lui Dieu et la vérité, alors que le partage de Voltaire est le mensonge, [...] confond réfutation et invectives ». Si le principe de la réfutation se trouve respecté (l’auteur prétend « dévoiler » la « fourberie » de son adversaire, et tient le langage de la vérité contre celui du mensonge), le texte évolue en revanche vers le pamphlet dès lors que l’argumentation cède le pas aux invectives. Du reste, Christiane Mervaud signale que « ces foudres restèrent inédites », et que « les réfutations qui parurent sont beaucoup plus modérées, du moins dans leur langage155 ».

C’est notamment par ses « qualités de sérieux et de brièveté » que se signale Jean-Alphonse Rosset, auteur des Remarques sur un livre intitulé Dictionnaire philosophique portatif qui paraissent à Lausanne en 1765 : « Rosset a soin d’indiquer les pages qu’il réfute, de renvoyer à des ouvrages savants pour éclairer son lecteur, de signaler les erreurs de référence, de lecture, des ignorances historiques ». D’autres réfutations allient au souci de combattre les erreurs, celui de réaffirmer les vérités qu’elles occultent, comme l’illustre par exemple la construction des articles qui composent le Dictionnaire philosophique de la religion, où l’on établit tous les points de la religion, attaqués par les incrédules, et où l’on répond à toutes leurs objections que rédige Claude-François Nonnotte en 1772 : dans chaque article, comme le titre le laisse entendre, « la première partie expose la saine doctrine, la seconde réfute les erreurs ». Dans l’ensemble de ces réfutations, souligne Christiane Mervaud, ces « ecclésiastiques indignés par les blasphèmes de Voltaire [...] privilégient une démarche intellectualiste » : « ils en appellent à la raison, ils entendent prouver, démontrer au lieu de proclamer leur foi156 ».

Dans le cadre de nos querelles, l’exemple d’Abraham Chaumeix apparaît plus ambigu, et par là même plus intéressant. Entre 1758 et 1760, il signe en effet huit volumes de Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, présentés significativement comme un « Essai de réfutation de ce dictionnaire ». Les philosophes ripostent en faisant paraître en 1760 une brochure anonyme intitulée Justification de plusieurs articles du dictionnaire encyclopédique, à laquelle Chaumeix répond par ses Philosophes aux abois. Signalons enfin qu’en 1761 il prolonge ses attaques en publiant, cette fois-ci de manière anonyme, une Petite Encyclopédie.

Dans la « Préface » du premier volume des Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, Chaumeix s’emploie à justifier son entreprise de réfutation : déplorant le « silence que l’on a gardé au sujet de ce Dictionnaire », il affirme qu’

‘il n’en est pas moins certain qu’il est très-nécessaire de le réfuter, & qu’il seroit à désirer qu’on l’eût fait plutôt. Si les Savans ne lisent pas l’Encyclopédie, elle n’est pas pour cela sans Lecteurs. Combien de personnes se gâtent l’esprit, & puisent des principes d’erreur dans ce Dictionnaire !’

La tâche, bien que « très-nécessaire », ne s’en avère pas moins délicate :

‘Quel est l’homme qui voudroit entreprendre de juger des objets de toutes les sciences ; de démêler les différens détours que les Encyclopédistes prennent pour obscurcir les vérités les plus claires, & confondre toutes les matières ? Quel travail pour suivre les Encyclopédistes de renvoi en renvoi, exposer leurs contradictions, entrer dans la discussion des principes opposés, réfuter ceux qui sont faux, substituer les plus certains, comparer ceux qui ont un degré presqu’égal de vraisemblance !’

Il s’agit donc d’abord de combattre ces « erreurs » pernicieuses, de nature à « gâter » l’esprit du lecteur, en déjouant les ruses déployées par les encyclopédistes pour « obscurcir les vérités les plus claires ». Ce faisant, Chaumeix poursuit le double objectif traditionnellement assigné à la réfutation, qui consiste à « réfuter » les principes « qui sont faux » et, corollairement mais indissociablement, à exposer au grand jour ces « vérités que les Encyclopédistes combatent » :

‘La seconde Partie de cet Essai est destinée à la réfutation sérieuse & raisonnée, tant des principes exposés dans le second Livre de la première, que des objections & difficultés que les Encyclopédistes ont faites contre les vérités de la Religion. Mais j’aurois cru qu’il auroit manqué quelque chose à cet Ouvrage, si je n’avois en même tems exposé les preuves que la raison nous fournit des vérités que les Encyclopédistes combatent ; c’est ce qui m’a porté à les établir de la manière la plus claire qu’il m’a été possible157.’

Cependant si les qualificatifs « sérieuse » et « raisonnée » semblent bien s’appliquer à ce que l’on doit attendre d’une « réfutation », on ne saurait en dire autant des traits décochés à l’encontre des personnes qui relèvent, au contraire, selon l’auteur de la Justification de plusieurs articles du dictionnaire encyclopédique, de « la satyre la plus sanglante » :

‘Le zele le plus pur semble avoir armé les mains de l’Auteur des Préjugés légitimes : mais comment accorder ce zele avec le fiel amer qu’il a fait couler de sa plume ?
Ce ne sont plus ici des accusations vagues d’irréligion & d’impiété ; ce ne sont plus les froides satyres d’un Auteur qui s’enveloppe des ombres de la nuit ; c’est l’exposition d’un systême réfléchi d’incrédulité, tiré du Dictionnaire-Encyclopédique même ; c’est Abraham Chaumeix, qui ne craint point de se nommer, & qui joint au mépris le plus superbe pour cet ouvrage célebre, la satyre la plus sanglante contre ceux qui y ont travaillé.’

En revanche, l’auteur de cette Justification se défend d’avoir voulu « faire couler de sa plume » un tel « fiel amer » :

‘On ne m’accusera point non plus de m’être servi de la méthode que l’Auteur des Préjugés légitimes a jugé nécessaire pour mettre ses Lecteurs dans le cas de l’écouter. Des plaisanteries ameres peuvent échapper à l’Auteur d’une Satyre ; mais tout honnête homme sait ce qu’il doit aux autres, ce qu’il se doit à lui même, quand il annonce la vérité158.’

Il ne faut naturellement pas être dupe de telles « justifications », qui consistent souvent à retourner contre l’adversaire ses propres accusations. Du reste, dans sa réponse, Chaumeix ne se prive pas de crier à la calomnie, espérant « convaincre tous [s]es Lecteurs [...] qu’un Critique, qui défend la Religion contre les nouveaux Philosophes, ne doit attendre de leur part, pour toute réponse, que des injures ; & que la cabale de l’impiété ne peut se soutenir que par l’imposture ». Notre propos n’est pas ici d’arbitrer les deux camps, mais de mettre en évidence ce qui, dans le discours nécessairement partial que tiennent les uns et les autres, permettrait de distinguer ce qu’ils s’accordent à reconnaître comme les procédés de la « réfutation » et ceux qui pour eux relèvent de la « satyre ».

Or d’une part, une réfutation exclut les attaques personnelles, même si, comme l’atteste par exemple le Dictionnaire de Trévoux, « la réfutation doit être vive & animée ». Contre les accusations qu’ils lui adressent de s’abandonner à des « plaisanteries amères » peu conciliables avec la prétention qu’il affiche à « annoncer la vérité », Chaumeix s’adresse directement « à Messieurs les encyclopédistes », et allègue, pour sa défense, la nécessaire « vivacité » qu’un « Chrétien » se doit de manifester face à la hardiesse de leurs « opinions » :

‘Les observations que je fais sur vos opinions & votre défense, vous paroîtront, peut-être, un peu vives : mais permettez-moi de vous représenter, qu’il est impossible d’être réellement Chrétien, & de voir de sang-froid des impiétés de la nature de celles que l’on va lire dans les Tables suivantes. Au reste, je ne veux pas m’interdire le droit de répandre du ridicule sur vos erreurs159.’

Il est donc permis, dans une réfutation, de « répandre du ridicule », à condition toutefois qu’il s’abatte sur les « erreurs », et non sur les personnes. Mais il faut bien reconnaître que la distinction entre les deux, aisée en théorie, laisse apparaître dans la pratique une frange d’incertitude assez considérable.

D’autre part, si dans son principe la réfutation repose sur le développement d’une argumentation rationnelle, encore peut-on douter parfois de la « solidité » des « raisons » avancées. Lorsqu’il évoque, par exemple, la manière dont Chaumeix prétend réfuter l’article « Fanatisme » de l’Encyclopédie, l’auteur de la Justification dénonce cette perversion de l’argumentation qui consiste à « tronquer », dans le texte de l’adversaire, les passages qui ne s’accordent pas avec ce que l’on entend démontrer :

‘Cet Auteur transporté, ne prend qu’une phrase, qu’un mot des articles qu’il veut censurer. Tout le monde sait qu’en usant de cette méthode, on pourroit trouver dans le livre le plus orthodoxe, des propositions qui paroîtroient condamnables au premier coup d’oeil.’

C’est dire que Chaumeix se montre souvent habile à joindre « à des soupçons hardis » ce qui n’est qu’une « apparence de raisonnement160 ». Et, selon un procédé que nous avons déjà rencontré, Chaumeix ne manque pas de retourner l’accusation contre les encyclopédistes :

‘Que je dise à mes Lecteurs, que pour justifier les passages que j’ai relevés dans l’Encyclopédie, vous les tronquez ; que vous en retranchez tout ce qu’il y a de répréhensible. Que vous y ajoûtez ; que par le moyen de ce que vous y faites précéder & suivre, vous en changez tout le sens, je ne dirai rien qu’il ne soit facile à tout le monde de reconnoître, en lisant l’Encyclopédie & votre Justification161.’

La réfutation exclut donc des procédés qui nous paraissent au contraire caractéristiques de la démarche pamphlétaire. D’une part, puisque la « vivacité » du ton n’autorise pas pour autant le recours aux « injures », il ne saurait être question, dans une réfutation, d’opérer cette personnalisation des attaques, dénoncée comme une concession regrettable à l’esprit de satire. Même s’il est toujours hasardeux de juger du contenu d’un texte par le titre que l’auteur lui confère, on opposera dès lors, du point de vue de ce qu’ils affichent symboliquement, les titres de ces deux textes qui se répondent : Chaumeix rédige des Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie ; la Justification des encyclopédistes est significativement sous-titrée Préjugés légitimes contre Abraham-Joseph de Chaumeix. L’« essai de réfutation » s’en prend à un texte ; ce que Chaumeix présente dans sa riposte comme un « Libelle anonime » prend pour cible la personne même de l’adversaire. D’un point de vue rhétorique, l’exercice de la réfutation suppose d’autre part la mise en place d’une argumentation rationnelle qui engage un dialogue entre « honnêtes gens » qui s’accorde difficilement avec les raisonnements spécieux des pamphlétaires. Car c’est à la faveur de coups de force rhétoriques que la réfutation se met à dériver vers le pamphlet, qui entretient un rapport perverti à la vérité que trahit notamment le recours au régime de l’anonymat : comme l’affirme Chaumeix à propos des encyclopédistes, « si ces Auteurs gardent l’incognito, c’est qu’ils n’ont rien de bon à dire162 ». Car dès lors que disparaît l’instance auctoriale, s’affaiblit le principe en vertu duquel celui qui signe le texte assume la responsabilité des allégations qu’il contient, et s’ouvre par conséquent la possibilité de développer un discours fictif, de nature à accueillir tous les mensonges, dans le seul but d’atteindre impitoyablement l’adversaire. Chaumeix l’a sans doute compris lorsqu’en 1761, après avoir signé de nombreux volumes de Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, il fait paraître sa Petite Encyclopédie ou Dictionnaire des philosophes, qu’il présente comme l’« ouvrage posthume d’un de ces messieurs ».

Notes
149.

 Sur l’opposition entre « Critique » et « Libelle », voir les articles que nous consacrons, dans cette partie, à ces deux termes.

150.

 L’Aléthophile, pp. 30-31.

151.

 Justification de plusieurs articles du dictionnaire encyclopédique, ou Préjugés légitimes contre Abraham-Joseph de Chaumeix, p. 339.

152.

 A.-J. de Chaumeix, Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, t. I, p. XV.

153.

 Le chevalier de Jaucourt signale toutefois que « quand l’objection » à laquelle on doit répondre « est trop forte, on feint de n’y pas faire attention, ou on promet d’y répondre, & on passe légerement à un autre objet : on paye de plaisanteries, de bons mots ». Pour illustrer son propos il rapporte alors l’anecdote suivante : « Un orateur athénien entreprenant de réfuter Démosthène, qui avoit mis tout en émotion & en feu, commença en disant qu’il n’étoit pas surprenant que Démosthène & lui ne fussent pas de même avis, parce que Démosthène étoit un buveur d’eau, & que lui ne buvoit que du vin. Cette mauvaise plaisanterie éteignit tout le feu qu’avoit allumé le prince des orateurs. » Reste qu’il semble y avoir une différence appréciable entre une telle « plaisanterie », même « mauvaise » parce que tout à fait déplacée, et les injures.

154.

 Nous avons exclu de notre corpus la querelle suscitée par la publication, en 1764, du Dictionnaire philosophique de Voltaire, notamment parce que, comme le signale Christiane Mervaud, elle n’est guère alimentée que par une série de réfutations. À l’exception de l’Année littéraire, la plupart des périodiques font silence sur ce texte qui, en tous cas, ne donne pas lieu, à notre connaissance, à la rédaction de pamphlets. Les analyses que consacre Christiane Mervaud aux principales réfutations du Dictionnaire philosophique nous serviront ici de point de départ pour étudier le fonctionnement de la réfutation, dans le souci de le distinguer, autant que faire se peut, de celui qui est à l’oeuvre dans le pamphlet.

155.

 Ch. Mervaud, éd., Dictionnaire philosophique, dans Oeuvres complètes, vol. 35, Oxford, The Voltaire Foundation, pp. 199 et 201.

156.

 Ibid., pp. 203, 221 et 223-224.

157.

 A.-J. de Chaumeix, Préjugés légitimes contre l’Encyclopédie, t. I, pp. XVII, XXII et XXVI.

158.

 Justification de plusieurs articles du dictionnaire encyclopédique, pp. 337-338 et 423.

159.

 A.-J. de Chaumeix, Les Philosophes aux abois, pp. 2 et 7.

160.

 Justification de plusieurs articles du dictionnaire encyclopédique, pp. 354 et 423.

161.

 A.-J. de Chaumeix, Les Philosophes aux abois, p. 13.

162.

 Ibid., p. 4.