Ce texte fait partie des ouvrages concernés par les Arrets du 23 janvier 1759.
) .Une édition ultérieure (Paris, à la Société Catholique des Bons Livres, 1828) réédite successivement le Mémoire pour servir à l’histoire des Cacouacs, le Premier Mémoire sur les Cacouacs, le Catéchisme à l’usage des Cacouacs, et ajoute un Petit Supplément à l’histoire des Cacouacs, depuis la fin du XVIII e siècle jusqu’à présent, par un Membre de la Direction de la Société Catholique des Bons Livres (pp. 81-110).
) . (Ouvrage imprimé sans permission.) [25 janvier]Ouvrage mentionné par Grimm le 15 février 1759 (Cor. lit., t. IV, p. 83).
) .Il s’agit de la traduction française de l’ouvrage intitulé Damnatio et prohibitio operis cui titulus : De l’Esprit. Clemens Papa XIII ad futuram rei memoriam, Roma, Ex Typographia Reverendæ Cameræ Apostolicæ, 1759. C’est Luigi Gualtieri qui s’est chargé de faire imprimer à Paris cette traduction, comme il s’en explique, le 12 mars 1759, dans une lettre adressée au cardinal Luigi Maria Torrigiani : il a « réussi à faire réimprimer » à Paris « sans aucun bruit ni risque, et sans avoir contracté d’obligations ni paraître y avoir été pour rien, le bref bien connu de Notre Saint-Père par lequel il a condamné le livre De l’Esprit », et il a « également pu le faire vendre publiquement dans les rues ». Il joint, à l’intention de son correspondant, « un exemplaire de cette réimpression » (Correspondance générale d’Helvétius, vol. II, p. 240, lettre 430 ( traduction).
) ]Le texte de cette chanson est imprimé dans le Journal chrétien, août 1759, pp. 68-75.
) (Ouvrage consulté : Correspondance générale d’Helvétius, vol. II, appendice 2, pp. 304-306.)L’attribution de ce texte demeure indécise. D’après Maurice Tourneux, « Barbier, dans son Supplément à la Correspondance littéraire et dans la première édition du Dictionnaire des anonymes, affirme que Diderot est l’auteur de cette médiocre facétie. Dans la table de la deuxième édition, il désigne Morellet, mais sans paraître en être sûr. Nous pensons, avec MM. Billard, qu’elle n’est ni de l’un ni de l’autre. Voir dans les Oeuvres complètes de Diderot (t. XIX, p. 455) une lettre de désaveu adressée à Malesherbes » (Cor. lit., t. IV, p. 110, n. 1).
) ], Mémoire pour Abraham Chaumeix contre les prétendus philosophes Diderot et d’Alembert, ou réfutation par faits authentiques des calomnies qu’on répand tous les jours contre les Citoyens zélés qui ont eu le courage de relever les erreurs dangereuses de l’Encyclopédie, Amsterdam, 1759 (B.N.F., Rés. pZ 150(10)). (Ouvrage imprimé sans permission.) [5 avril]Ce texte est vraisemblablement paru avant la date à laquelle il figure sur le journal d’Hémery. Grimm en fait état le 1er décembre 1759, mais il signalait déjà, le 1er février : « il a couru en manuscrit une lettre prétendue d’Arlequin, qui m’a paru [sic] infâme, en ce qu’elle attaque moins les principes que la personne et les moeurs du citoyen de Genève » (Cor. lit., t. IV, p. 75).
) ]L’inspecteur d’Hémery signale, à la date du 1er mai 1760, une Troisième Lettre sur Voltaire l’apostat.
) . (Ouvrages imprimés sans permission.) [13 décembre]