- [DIDEROT (Denis) ? LECLERC DE MONTLINOT (abbé) ? (
Maurice Tourneux, qui attribue le texte à Leclerc de Montlinot, signale qu’« il y en a une édition datée de 1759 sous le seul titre de Préjugés légitimes, etc. Cette brochure a été réimprimée au tome IV de la prétendue Collection des Oeuvres de Diderot, publiée en 1773 par Marc-Michel Rey » (Cor. lit., t. IV, p. 222, n. 1). C’est dans cette dernière édition que nous avons consulté ce texte.
) ], Justification de plusieurs articles du Dictionnaire encyclopédique ou Préjugés légitimes contre Abraham-Joseph de Chaumeix, Lille, 1760. (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) (Ouvrage consulté : Diderot, Collection complette des Oeuvres philosophiques, littéraires et dramatiques, t. IV, 1773, pp. 337-424.) [6 mars] - LEFRANC DE POMPIGNAN (Jean-Jacques), Discours de réception prononcé devant l’Académie française, le 10 mars 1760, Paris, Brunet, 1760 (B.N.F., Z 28258(3)).
- [LEROY (Charles-Georges)], Examen des critiques du livre intitulé De l’Esprit, Londres [Genève, Cramer], 1760 (B.N.F., R 12290). [13 mars]
- *[VOLTAIRE], Les Quand, notes utiles sur un discours prononcé devant l’Académie française le 10 mars 1760, s.l. [Genève, Cramer], 1760 (Ars., 8° BL 34230(8)). (Ouvrage distribué sans permission.) [17 avril]
- *[LEFRANC DE POMPIGNAN (Jean-Jacques)], Les VII Quand en manière des VIII de M. de Voltaire, ou Lettre d’un apprenti bel-esprit qui ne manque pas de sens commun à M. son père en Province pour lui donner bonne opinion de lui, du 23 avril 1760, s.l., 1760 (Ars., 8° BL 34230(1)). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [1
er
mai]
- PALISSOT DE MONTENOY (Charles), Les Philosophes, comédie en trois actes en vers représentée pour la première fois par les Comédiens français ordinaires du roi le 2 mai 1760, Paris, Duchesne, 1760 (Ars., 8° BL 13661(1)). (Ouvrage imprimé avec approbation et privilège.) [22 mai]
- [VOLTAIRE], Le Café ou l’Écossaise, comédie par M. Hume, traduite en français, Lausanne, 1760. (Ouvrage distribué sans permission.) (Ouvrage consulté : Quatrième Recueil de nouvelles pièces fugitives de Mr de Voltaire, pp. III-CX.) [8 mai
(
La première représentation de l’Écossaise a lieu le 26 juillet 1760, comme l’indique une lettre du comte d’Argental à Voltaire datée du 27 juillet (Best. D 9091) : « cette Écossaise [...] dont vous faisiez assez peu de cas a été jouée hier avec le plus prodigieux succès ». Voir aussi l’édition établie par Colin Duckworth, Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 50, pp. 221-469.
) ] - [MORELLET (abbé André)], Les Si, dans Les Quand, 6ème édition augmentée des Si et des Pourquoi, s.l. [Genève, Cramer], 1760. (Ouvrage distribué sans permission.) (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 79-84.) [8 mai].
- [MORELLET (abbé André)], Les Pourquoi, dans Les Quand, 6ème édition augmentée des Si et des Pourquoi, s.l. [Genève, Cramer], 1760. (Ouvrage distribué sans permission.) (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 85-88.) [8 mai].
- *[LEFRANC DE POMPIGNAN (Jean-Jacques) ?], Réponses aux Quand, aux Si et aux Pourquoi, s.l.n.d. [Bruxelles, 1760] (
Nous n’avons pas pu déterminer avec précision la date de parution de ce pamphlet, qui n’est pas mentionné dans le journal d’Hémery. Nous le plaçons donc quelque peu arbitrairement après les Si et les Pourquoi de l’abbé Morellet, auxquels il répond explicitement, ainsi qu’aux Quand de Voltaire.
) . (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 89-104.) -
Les Nouveaux Si et Pourquoi, suivis d’un dialogue en vers entre MM. Le Franc et de Voltaire, parodie de la scène V du deuxième acte de la tragédie de Mahomet, Montauban, 1760 (Ars., 8° BL 34230(10)) (
La mention de Fréron désigné sous le nom de « Frélon » (« Je fais trembler Frélon, j’en impose à Geneve », p. 21) suggère que ce pamphlet est postérieur à l’Écossaise. L’adjectif « nouveaux » dans le titre indique, quant à lui, qu’il est postérieur aux Si et aux Pourquoi.
) . - [FRÉRON (Élie-Catherine)], Lettre de M. de *** à M. Fréron sur le mot Encyclopédie du Dictionnaire qui porte ce nom, publiée dans l’Année littéraire, 1760, t. III, 12 mai, pp. 243-266.
- [CAILLEAU], Les Philosophes manqués, comédie nouvelle en un acte en prose, à Criticomanie, chez la Satire [Paris, Cailleau], 1760 (B.N.F., microfiche M 19097). (Ouvrage imprimé avec permission tacite de M. le Lieutenant de police.) [15 mai]
- *Les Pourquoi, réponse aux ridicules Quand de M. le comte de Tornet, s.l., 1760 (B.N.F., Zp 2442). (Ouvrage imprimé sans permission.) [22 mai]
- [VOLTAIRE], les Qui, les Quoi, les Pour, les Que, les Oui, les Non
(
Nous avons choisi de regrouper ces pamphlets qui visent tous J.-J. Lefranc de Pompignan, et qui ont été rassemblés sous le titre d’« Assemblée des monosyllabes » dans le Recueil des facéties parisiennes. Nous ignorons s’ils ont fait l’objet d’une diffusion imprimée séparée. Toujours est-il que Voltaire, dans sa correspondance, en mentionne l’existence de manière échelonnée : les Qui et les Quoi, le 19 mai (Best. D 8916) ; les Pour, le 21 mai (Best. D 8926) ; les Que, les Oui et les Non, le 26 mai (Best. D 8934). Il émet en outre le souhait que « les Que et le [Plaidoyer de] Ramponeau parussent », le 13 juin (Best. D 8973).
) . (Ouvrage consulté : Voltaire, Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, La Pléiade, pp. 370-374.) - CHAUMEIX (Abraham-Joseph de), Les Philosophes aux abois ou Lettres de M. Chaumeix à Mrs les Encyclopédistes au sujet d’un libelle anonyme intitulé Justification de plusieurs articles du Dictionnaire encyclopédique etc., Bruxelles et Paris, Veuve Lamesle, 1760 (B.N.F., Zz 4122). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [29 mai]
- [LA CONDAMINE ?], Les Quand de M. Palissot et publiés par lui-même, s.l., 1760. (Ouvrage imprimé sans permission. Hémery précise que « c’est réellement Palissot qui les a fait imprimer ».) (Ouvrage consulté : Recueil des facéties parisiennes, pp. 123-130.) [5 juin
(
L’abbé Morellet explique que ce pamphlet, dont l’auteur serait La Condamine, a constitué le point de départ de sa Vision : « Il me lut [...] un petit écrit dans la forme des Quand, où Palissot était peint des pieds à la tête. J’avais alors la mémoire assez fidèle ; je connaissais La Condamine comme bon homme et comme bon fureteur, et même pas trop crédule pour un curieux. Les faits qu’il avait recueillis se placèrent très naturellement dans le cadre qui s’offrit à moi » (Mémoires, p. 100). Il est probable que ces Quand aient circulé d’abord sous forme manuscrite, avant d’être publiés par l’agressé lui-même, et répertoriés par l’inspecteur d’Hémery. Étant donné le rapport d’antériorité établi par Morellet, et que confirme l’analyse de Daniel Delafarge qui se livre à une étude comparée des deux pamphlets (L’Affaire de l’abbé Morellet en 1760, pp. 6-9), nous choisissons de placer les Quand avant la Vision de Charles Palissot.
) ] - *[MORELLET (abbé André)], Préface de la comédie des Philosophes ou la Vision de Charles Palissot, Paris, chez l’auteur de la Comédie [Genève, pour le compte de Bruysset à Lyon], 1760 (Ars., 8° BL 13661(2)). (Ouvrage imprimé sans permission.) [29 mai]
- [MORELLET (abbé André)], La Prière universelle. Traduite de l’Anglais de M. Pope, par l’auteur du Discours prononcé le 10. Mars à l’Académie française, s.l., 1760. (Ouvrage réimprimé (
Il est donc probable que ce pamphlet a déjà connu une impression antérieure, dont l’inspecteur d’Hémery ne fait pas mention dans son journal.
) sans permission.) (Ouvrage consulté : Recueil des facéties parisiennes, pp. 93-110.) [29 mai] - PALISSOT DE MONTENOY (Charles), Lettre de l’auteur de la comédie des Philosophes au public pour servir de préface à la pièce, s.l.n.d. [Paris, Duchesne, 1760]. (Ouvrage imprimé avec une espèce de permission tacite qui lui a été accordée après que la satire a paru.) (Ouvrage consulté : Recueil des facéties parisiennes, pp. 111-122.) [5 juin]
-
Les Qu’est-ce à l’auteur de la comédie des Philosophes, s.l.n.d. (Ouvrage imprimé sans permission.) (Ouvrage consulté : Recueil des facéties parisiennes, pp. 139-144.) [5 juin]
- LEFRANC DE POMPIGNAN (Jean-Jacques), Mémoire présenté au roi le 11 mai 1760, s.l., 1760 (B.N.F., Z 28258(3)). (Ouvrage imprimé avec permission tacite (
Sur les démêlés de Pompignan et de Malesherbes à propos du type d’autorisation selon lequel ce Mémoire a été publié, voir notamment P. Grosclaude, Malesherbes témoin et interprète de son temps, pp. 74 et suiv.
) .) [5 juin] -
La Vengeance de Thalie, poème critique de la pièce des Philosophes, Genève, 1760 (B.N.F., Yf 7545). (Ouvrage imprimé sans permission.) [5 juin]
- *Les Quand, ou Avis salutaires à un pêcheur notoire de fait & de droit qui tend à l’impénitence finale, s.l.n.d. (B.N.F., Zp 2493). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [5 juin]
-
Lettre d’un original aux auteurs très originaux de la comédie très originale des Philosophes, Berlin, 1760 (B.N.F., Yf 7538). (Ouvrage imprimé sans permission.) [12 juin]
-
Lettre à M. Lefranc de Pompignan de l’Académie française, du 14 juin 1760, s.l., 1760 (B.N.F., Z 5053(114)). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [7 août]
- [CANDIDE LE CADET], Petites réflexions sur la comédie des Philosophes, s.l., 1760 (B.N.F., Yf 7536). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [19 juin]
-
Les Avis, s.l.n.d. (B.N.F., microfiche M 19096). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [26 juin]
-
Les Si et les Mais. Lettre à M. l’abbé de La Porte, Part-tout, 1760. (Ouvrage consulté : texte également paru dans l’Observateur littéraire, 1760, t. III, 30 juin, pp. 137-144.)
- [VOLTAIRE], Extraits des nouvelles à la main de la ville de Montauban en Quercy, le 1
er
juillet 1760, s.l., 1760. (Ouvrage consulté : Recueil des facéties parisiennes, pp. 233-234.)
- [VOLTAIRE], Le Pauvre Diable, ouvrage en vers aisés de feu M. Vadé, mis en lumière par Catherine Vadé sa cousine, dédié à Maître Abraham ****[Chaumeix], [Paris] Genève, [1758] 1760. (Ouvrage imprimé sans permission.) (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 49-72.) [3 juillet]
- [PALISSOT DE MONTENOY (Charles) (
Sur les « raisons qui peuvent faire croire que l’ouvrage est de Palissot ou a été inspiré par lui », voir D. Delafarge, La Vie et l’oeuvre de Palissot, p. 229, n. 2.
) ], Conseil de lanternes, ou la Véritable Vision de Charles Palissot pour servir de post-scriptum à la comédie des Filosophes, aux Remparts, 1760 (B.N.F., microfiche M 19098). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [10 juillet] - POINSINET le Jeune, Le Petit Philosophe, comédie en un acte et en vers libres représentée pour la première fois par les Comédiens italiens ordinaires du roi le 14 juillet 1760, Paris, Prault petit fils, 1760 (B.N.F., Yth 22134). (Ouvrage imprimé avec privilège.) [18 septembre]
- [CAILLEAU], Les Originaux ou les fourbes punis, parodie scène par scène des prétendus Philosophes, comédie nouvelle en trois actes et en vers par M. ** d’aucune académie ni société, Nancy, 1760 (B.N.F., Yth 13167). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [17 juillet]
-
Les Philosophes de bois, comédie en un acte en vers par M. Cadet de Beaupré, membre de plusieurs troupes et directeur des Comédiens artificiels de Passy, représentée pour la première fois sur son théâtre le 20 juillet 1760, Paris, Ballard, 1760 (Ars., 8° BL 13661(5)). (Ouvrage imprimé avec approbation et permission.) [14 août]
- [VOLTAIRE], Plaidoyer pour Genest Ramponeau cabaretier à la Courtille prononcé par lui-même devant ses juges contre Gaudon entrepreneur d’un théâtre des Boulevards, s.l. [Genève, Cramer], 1760. (Ouvrage imprimé sans permission.) (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, La Pléiade, pp.379-383.) [24 juillet]
- [VOLTAIRE], Le Russe à Paris, petit poème en vers alexandrins et composé à Paris au mois de mai 1760 par M. Ivan Alethof secrétaire de l’ambassade russe, s.l. [Genève, Cramer], 1760. (Ouvrage réimprimé à Paris sans permission.) (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 17-40.) [24 juillet]
- [VOLTAIRE], La Vanité, par un frère de la Doctrine chrétienne, s.l. [Genève, Cramer], 1760 (
Il est difficile de situer avec précision la date de publication de ce pamphlet, dont la rédaction est contemporaine de celle du Pauvre Diable et du Russe à Paris. Dans une lettre à Mme d’Épinay du 30 juin 1760 (Best. D 9014), Voltaire écrit ainsi : « Je crois que Mlle Vadé vous a envoyé Le Pauvre Diable de son cousin sous l’enveloppe de M. d’Épinay. Je tiens La Vanité d’un frère de la doctrine chrétienne. Avez la charité d’accuser la réception de l’une et de l’autre. On m’a parlé du Russe à Paris, poème singulier composé en effet par un Russe qui connaît très bien la France ».
) . (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 41-48.) - PALISSOT DE MONTENOY (Charles), éd., Lettres de M. de Voltaire à M. Palissot avec les réponses, à l’occasion de la comédie des Philosophes, Paris, Duchesne, 1760. (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) (Ouvrage consulté : Recueil des facéties parisiennes, pp. 237-274.) [24 juillet]
- [VOLTAIRE], Requête adressée à Messieurs les Parisiens par M. Jérôme Carré, natif de Montauban, s.l. [Genève, Cramer], 1760 (
Lorsque ce texte est réimprimé dans la Collection complette des Oeuvres de M. de V..., tome V, seconde partie (Genève, Cramer, 1761), une note indique que « cette plaisanterie fut publiée la veille de la représentation » de l’Écossaise, soit le 25 juillet 1760. La Requête était cependant très certainement connue des “ frères ” depuis quelques temps déjà, puisque Voltaire l’annonce dans une lettre à Mme d’Épinay datée du 9 juillet 1760 (Best. D 9049) : « Les comédiens italiens voulaient jouer L'Écossaise. Les Français la revendiquent et voilà la Requête du traducteur à messieurs les Parisiens ». Voir également notre première partie, à l’article “ Comédie satirique ”.
) . (Ouvrage consulté : Le Joli Recueil, pp. 1-8.) - *[FRÉRON (Élie-Catherine)], Relation d’une grande bataille, publiée dans l’Année littéraire, 1760, t. V, août, pp. 209-216.
- [MARMONTEL (Jean-François) ?], Un disciple de Socrate aux Athéniens, héroïde, Athènes, Olymp. XCV, an I [1760] (B.N.F., Ye 27323). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [7 août]
- [PALISSOT DE MONTENOY (Charles) ?], Les Tristes Adieux de Palissot qui part pour le Royaume du Pont, à Rapsopolis, 1760 (Ars., 8° GD 24566). (Ouvrage imprimé sans permission.) [14 août]
- [COYER (abbé Gabriel François)], Discours sur la satire contre les philosophes représentée par une troupe qu’un poète philosophe [Voltaire] fait vivre et approuvée par un académicien [Crébillon] qui a des philosophes pour collègues, Athènes, chez le Libraire antiphilosophe, 1760 (B.N.F., R 33842). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [14 août]
- [POINSINET], Lettre sur la comédie de l’Écossaise, s.l.n.d. (B.N.F., Yf 7215). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [21 août]
- [GIRAUD (abbé Claude-Marie)], Épître du Diable à M. de V.[oltaire], Genève, s.d. (B.N.F., Ye 23349). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [28 août]
-
Le Pauvre Diable, chant second, s.l.n.d. (Ars., 8° BL 34126(4)). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [4 septembre]
- [PANNARD (Charles-François) et ANSEAUME (Louis)], L’Écosseuse, parodie de l’Écossaise, opéra comique en un acte, représenté pour la première fois sur le Théâtre de l’Opéra comique de la foire Saint-Laurent le 4 septembre 1760, Paris, Prault petit fils, 1760. (Ouvrage imprimé avec permission.) [6 novembre]
- [LA MARCHE-COURMONT (Ignace Hugary de)], Réponse aux différents écrits publiés contre la comédie des Philosophes, ou Parallèle des Nuées d’Aristophane, des Femmes savantes, du Méchant et des Philosophes, par M. D. L. M. C., Paris, Duchesne, 1760 (B.N.F., microfiche M 20002). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [11 septembre]
- [DORAT (Claude Joseph)], Épître à un ami dans sa retraite à l’occasion des Philosophes et de l’Écossaise, Amsterdam [Paris, Duchesne], 1760 (Ars., 8° GD 24565). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [11 septembre]
- [VOLTAIRE ?], Dialogues chrétiens, ou Préservatif contre l’Encyclopédie, Genève, 1760. (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance (
Hémery mentionne également ce texte à la date du 6 novembre 1760, et précise alors qu’il est « imprimé à Genève et distribué [à Paris] sans permission ».
) .) (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, La Pléiade, pp. 357-368.) [11 septembre] -
L’Écossaise, comédie en 5 actes, traduite de l’anglais et mise en vers par M. de La Grange, représentée pour la première fois par les Comédiens ordinaires du roi le 20 septembre 1760, Paris, Duchesne, 1760. (Imprimé avec privilège.) [23 octobre]
- [VOLTAIRE], Relation du voyage de frère Garassise, neveu du frère Garasse, successeur de frère Berthier, dans Recueil des facéties parisiennes, pp. 181 et suiv. (
Beuchot, après avoir signalé que ce pamphlet est absent des Oeuvres complètes de Voltaire jusqu’à l’édition Renouard de 1821, précise que « la Relation de Garassise ne parut qu’en 1760, dans une réimpression de la Relation de la maladie, etc., de Berthier, dont elle est le complément ». Ne pouvant dater avec plus de précision cette réimpression, nous estimons que le texte a été connu du public au plus tard le 25 septembre, puisqu’il figure dans le Recueil des facéties parisiennes, à la suite de la Relation... de Berthier. Sur l’évaluation de la date de parution du Recueil des facéties parisiennes, voir la mention de cet ouvrage, dans la rubrique de cette bibliographie consacrée aux recueils de pamphlets.
) (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, La Pléiade, pp. 347-351.) - [VOLTAIRE], Fragment d’une lettre sur Didon, tragédie, dans Recueil des facéties parisiennes, pp. 275-277 (
Pour des raisons similaires, nous plaçons à la suite le Fragment d’une lettre sur Didon et les Fr..., qui se trouvent également dans le Recueil des facéties parisiennes.
) . - [VOLTAIRE], Les Fr..., dans Recueil des facéties parisiennes, pp. 278 et suiv.
- [VOLTAIRE], Lettre de M. Cubstorf, pasteur de Helmstadt, à M. Kirkof, pasteur de Lauvtorp du 10 octobre 1760. (Ouvrage consulté : Facéties, éd. établie par J. Macary, pp. 97-99.)
- [CHAUMEIX (Abraham-Joseph de) ? (
Hémery attribue ce texte à l’abbé Guyon, lui-même auteur de L’Oracle des nouveaux philosophes (voir plus haut).
) ], Sentiment d’un inconnu sur l’Oracle des nouveaux philosophes pour servir d’éclaircissement et d’errata à cet ouvrage, dédié à M. de Voltaire, Villefranche, Philalete, [Paris, Hérissant], 1760 (B.N.F., Z 27397). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [16 octobre] - [DUBUISSON ?], Lettre d’un citoyen de Genève à M. F.[réron] sur la bataille du parterre, ou Apologie de M. Fr.[éron] malgré lui-même, s.l.n.d. (B.N.F., Yf 9917). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [13 novembre]