Selon Jacques van den Heuvel, ces Anecdotes, qui « sont mentionnées dans une lettre à Thieriot du 20 août 1760 », « ne furent imprimées qu’en 1761 » (Mélanges, p. 385, n. 1). Voir aussi l’édition établie par Jean Balcou, Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 50, pp. 471-522.
) . (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 385-393.)Hémery attribue ce texte au « S. Lejeune ».
) ], Relation de la maladie, de la confession, de la fin de M. de Voltaire, et de ce qui s’ensuivit, par moi, Joseph Dubois, Genève, 1761 (B.N.F., 8° Ln27 20753A). (Ouvrage imprimé avec une espèce de tolérance.) [6 mars]Selon Bernard Gagnebin, Rousseau écrit à Coindet, le 4 ou le 11 mars 1761 : « M. de Bastide, Cher Concitoyen, m’envoya hier douze exemplaires de la paix perpétuelle » (Rousseau, Oeuvres complètes, t. III, p. 1875).
) .Texte également publié dans le Journal encyclopédique, 1761, t. III, 3ème partie, pp. 99 et suiv., dans la livraison du 1er mai.
) (Ouvrage distribué à Paris avec une espèce de tolérance.) (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 411-413.) [9 avril]Texte également publié dans le Journal encyclopédique, 1761, t. III, 3ème partie, pp. 88 et suiv., dans la livraison du 1er mai.
) . (Ouvrage consulté : Quatrième Recueil de nouvelles pièces fugitives de Mr de Voltaire, pp. CXVII-CXXVIII.)Texte également publié dans le Journal encyclopédique, 1761, t. IV, 2ème partie, pp. 102 et suiv., dans la livraison du 1er juin.
) . (Ouvrage consulté : Cinquième Recueil de pièces fugitives de Mr de Voltaire, pp. LXVII-LXXX.)D’après Favart, qui mentionne ce texte le 20 juin 1761 (Mémoires... de C.-S. Favart, t. I, p. 157).
) ?],La Wasprie ou l’Ami Wasp revu et corrigé, Berne, aux dépens de M. Wasp, [Paris, Prault le jeune], 1761 (B.N.F., Z 17230). (Ouvrage imprimé avec permission tacite.) [25 juin]Voltaire mentionne les Car le 20 octobre 1761 (Best. D 10080). Ce nouveau pamphlet contre Pompignan fait suite à la publication de l’Éloge historique de Monseigneur le duc de Bourgogne. Nous associons à ces Car les Ah ! Ah ! qui prennent pour cible le même texte.
) . (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 376-377.)Dans une lettre adressée le 28 octobre 1761 à Damilaville (Best. D 10110), Voltaire précise qu’« on chante Moïse Aaron », « en attendant » la « nouvelle édition des Car et des Ah ! Ah ! » que, prétend-on, « on aura incessamment ». En l’absence de précisions supplémentaires, nous plaçons la Chanson à la suite des Car et des Ah ! Ah ! qui, entre autres, reprennent ce trait (les Ah ! Ah ! sont adressés à Moïse Lefranc de Pompignan). On se souvient que c’est Dupré de Saint-Maur qui, dans sa réponse au discours de réception de Pompignan à l’Académie française du 10 mars 1760, avait malencontreusement comparé Jean-Jacques à Moïse et son frère Jean-Georges, évêque du Puy, à Aaron. Cela a aussitôt valu à Pompignan les sarcasmes de Voltaire.
) . (Ouvrage consulté : Oeuvres complètes, éd. Moland, t. X, pp. 567-568.)