Cette satire se trouve à la suite de l’Éloge de madame Brugnière de la Vaysse, que Jean Ribotte-Charron adresse à Voltaire au début de l’année 1766. Selon Jeroom Vercruysse, « Voltaire y fait explicitement allusion quand il envoie le manuscrit de son correspondant à Cramer, le 1er mai 1766 (Best. D 13281) : “ Je prie Monsieur Cramer de commencer, je lui enverrai demain une petite addition de ma façon qui ne contiendra pas deux pages ” » (« Satire inédite contre J.-J. Lefranc de Pompignan, p. 7).
) . (Ouvrage consulté : J. Vercruysse, « Satire inédite contre J.-J. Lefranc de Pompignan », pp. 12-13.)Réimpression de l’ouvrage intitulé A letter from Mr de Voltaire to M. Jean-Jacques Rousseau, Londres, J. Payne, 1766, qui présente le texte anglais accompagné de sa traduction française en regard. Le texte français a pour titre Lettre de M. de Voltaire au docteur Jean-Jacques Pansophe. Grimm mentionne cette édition en mai 1766 (Cor. lit., t. VII, p. 33).
) . (Ouvrage mprimé avec une espèce de tolérance.) (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 831-839.) [20 septembre]Grimm signale ce texte dans sa livraison du 15 octobre (Cor. lit., t. VII, p. 141).
) ]Grimm en fait état en novembre 1766, et précise que « le libraire de Paris a ajouté à son édition la Lettre de M. de Voltaire à Jean-Jacques Pansophe, imprimée depuis plusieurs mois à Londres, mais qui ne s’était pas répandue en France » (Cor. lit., t. VII, pp. 162-163). Fréron évoque cette publication dans sa feuille du 20 novembre (An. lit., 1766, t. VII, pp. 175 et suiv.).
) . (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 841-846.)Fréron en effectue le compte rendu dans sa feuille du 4 décembre (An. lit., 1766, t. VII, pp. 314 et suiv.).
) .Grimm déplore l’existence de ces Notes en janvier 1767 (Cor. lit., t. VII, p. 205), mais Fréron les signale dans sa feuille du 20 décembre 1766 (An. lit., t. VIII, pp. 212 et suiv.).
) . (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 847-858.)