Voir aussi l’édition établie, présentée et annotée par Robert Granderoute, Paris, Société des Textes Français Modernes, 1994.
) (Ars., 8° BL 17515). [5 février]Dans sa chronologie, John Renwick avance la date des 30-31 mars (« Marmontel, Voltaire and the Bélisaire affair », pp. 319-323). Le texte est également inséré dans les Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 63A, pp. 181-188.
) ]Texte réédité et augmenté à la mi-juillet.
) . (Ouvrage imprimé avec approbation et permission.) [16 avril]John Renwick avance les dates des 4-5 mai.
) ]D’après John Renwick, Voltaire envoie le 3 mai son pamphlet qui n’est « rendu public » qu’à la fin mai-début juin, « rapidement » suivi des XXXVII Vérités... de Turgot, qui répondent à l’Indiculus. Voltaire accuse réception du pamphlet de Turgot dans une lettre à d’Alembert du 19 juin [1767] (Best. D 14230). Le texte est également inséré dans les Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 63A, pp. 203-208.
) . (Ouvrage consulté : Mélanges, éd. établie par J. van den Heuvel, pp. 926-929.)Grimm mentionne le 15 juin 1767 l’existence des Trente-sept Vérités..., qu’un « bachelier ubiquiste vient [...] de publier » ainsi que celle d’Hilaire, « parodie » de Bélisaire (Cor. lit., t. VII, pp. 342-343).
) .Le 4 août 1767, d’Alembert déclare à Voltaire qu’il a lu ce texte « avec plaisir » (Best. D 14333).
) . (Ouvrage consulté : Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 64, pp. 265-268.)Dans une lettre du 4 octobre 1767 (Best. D 14464), Voltaire adresse à Damilaville cette « réponse qu’[il] juge à propos de faire à ce coquin » de Coger. Dans l’édition qu’il propose de ce texte, John Renwick signale cependant un « mystère » : « il n’y a aucune trace de cette Lettre dans la capitale, aucune réaction de la part de Grimm ou de Bachaumont, aucune mention de son apparition chez les correspondants de Voltaire. Elle aurait pu figurer dans une des toutes dernières éditions des Pièces relatives à Bélisaire, et pourtant elle ne s’y trouve pas » (Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 63A, pp. 217).
) . (Ouvrage consulté : J. Renwick, « Marmontel, Voltaire and the Bélisaire affair », pp. 369-370.)Dans le compte rendu qu’il propose de ce pamphlet, Grimm suggère que Voltaire a sans doute « rebouisée » le texte de Damilaville (Cor. lit., t. VIII, p. 224). John Renwick situe début septembre la parution de ce pamphlet.
) ?], Honnêteté théologique, dans Pièces relatives à Bélisaire, second cahier, pp. 1-13.L’inspecteur d’Hémery ne mentionne pas ce premier cahier dans son journal. Nous le plaçons donc logiquement avant les cahiers suivants des Pièces relatives à Bélisaire.
) . Ce premier cahier comprend les Anecdotes sur Bélisaire, ainsi qu’un Extrait d’une lettre écrite de Genève à M. *** sur la liste imprimée des propositions que la Sorbonne a extraites de Bélisaire pour les condamner.Comme souvent lors de la constitution de recueils imprimés, certains des textes qu’ils contiennent ont pu faire l’objet d’une publication séparée auparavant (voir, sur cette question, notre troisième partie, chap. 1, § 2.2). Nous ne détaillons que le contenu des cahiers qui présentent des textes dont nous n’avons pas trouvé trace d’une publication antérieure.
) :Bachaumont annonce le 1er décembre que « la Faculté vient de publier sa censure contre Bélisaire », mais le Supplément de la Gazette d’Utrecht du 15 décembre (Paris, 7 décembre) précise que « la police fait suspendre encore la publication de cette censure, quoique l’imprimeur en ait pourtant distribué des exemplaires de présent ordinaires ». La permission est enfin accordée le 21 décembre (Gazette d’Utrecht, 29 décembre) (d’après R. Granderoute, éd., Bélisaire, introduction, p. XVIII).
) .Voltaire mentionne ce pamphlet dans une lettre à Marmontel du 14 octobre 1767 (Best. D 14480) : « Croiriez-vous bien que ce maroufle de Coger a osé m’écrire ? Je lui avais fait répondre par mon laquais, la lettre était assez drôle, c’était la Défense de mon maître. » Mais Theodore Besterman pense qu’« elle a dû être écrite bien auparavant, avant même la réception de la lettre de Coger ». D’après John Renwick, ce pamphlet, rédigé « vers le début du mois d’octobre », mais « la garda en portefeuille jusqu’au milieu du mois de décembre » : « elle fut envoyée à Damilaville le 19 décembre (D 14603), et Marmontel indiqua, le 29 décembre, qu’elle circulait (D 14628) » (Oeuvres complètes, Oxford, The Voltaire Foundation, vol. 63A, pp. 216-217). Le texte est réimprimé, sous le titre de Défense de mon maître, dans la Correspondance littéraire du 15 janvier 1768, et daté du 15 décembre 1767 (Cor. lit., t. VIII, pp. 29-30).
) . (Ouvrage consulté : J. Renwick, « Marmontel, Voltaire and the Bélisaire affair », pp. 367-368.)