On a longtemps attribué à Voltaire cet ouvrage qui figure dans le tome XXIII de l’édition Moland des Oeuvres complètes, pp. 414-417. Theodore Besterman montre qu’il s’agit d’une section de la Connaissance des beautés et des défauts de la poésie et de l’éloquence dans la langue française, rédigée en 1749 par un certain David Durand (« Note on the authorship of the Connaissance des beautés », dans S.V.E.C., vol. 4, 1957, pp. 291-294). Nous avons consulté ce texte dans l’édition Moland.
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