d) La connaissance de soi par l’auto-évaluation

L’une des idées fondamentales du processus éducatif décrit par Maria Montessori se retrouve à l'intérieur du matériel didactique qui permet à l'enfant d'effectuer un travail, puis de le contrôler seul:“L’enfant, parce qu’il désire atteindre un but qu’il connaît est amené à se corriger lui-même. Ce n’est pas la maîtresse qui lui fait remarquer sa faute et lui montre le moyen de la corriger, mais un travail complexe de l’intelligence le conduit à ce résultat. C’est précisément là que commence le processus d’auto-éducation” 1148 . Etre capable de découvrir ses erreurs ouvre la possibilité ensuite de les contrôler et donc d’augmenter la maîtrise de soi en sachant qu’on peut se corriger:“Notre matériel a la particularité d’offrir ce contrôle d’une façon visible et tangible; un petit de deux ans peut s’en servir et en acquérir la notion, en avançant sur la voie du perfectionnement. Avec la pratique quotidienne de ces exercices, il acquiert la possibilité de corriger ses erreurs et, en même temps, d’être sûr de lui. Cela ne veut pas dire qu’il devient parfait, mais en acquérant la connaissance de ses propres possibilités, il devient capable de faire quelque chose” 1149 .

A l’école Tom Pouce, cette auto-évaluation reste assez relative, puisque l’enfant peut vérifier 1150 si son exercice est juste, mais qu’il est indispensable que la maîtresse contrôle avant que l’élève soit autorisé à changer d’exercice ou d’activité. En CE2/CM1/CM2 (1994/95), l'institutrice indique aux enfants où il y a une erreur et ils doivent se corriger eux-mêmes au crayon à papier avant de lui soumettre leur première correction. Finalement, ce qui est important ce n’est pas tellement d’estimer un travail effectué (puisqu’il faut de toute façon le “feu vert” de la maîtresse), mais d’entraîner l’enfant à travers l’auto-évaluation à avoir un retour réflexif sur un exercice qui relève déjà du contrôle de soi par le travail “autonome” dans une situation scolaire. Nous avons observé dans les classes de CM1/CM2 (1993/94) et de CE2/CM1/CM2 (1994/95) 1151 deux formes d’auto-évaluation: la première consiste à demander individuellement à chaque élève avant de rendre un contrôle, ce qu’il pense de sa production écrite.

Classe de CM1/CM2 (1993/94)

On peut relever que les interventions de l’institutrice sont moins dirigées vers la manière d’apprendre, les conseils “techniques” pour s’améliorer (comme dans les configurations de Guilloux 1152 et de la Maison des Trois Espaces 1153 ) mais plus sur la connaissance de soi-même, de ses niveaux scolaires et elle distribue des évaluations comportementales (telles que “avoir peur”, “manquer d’attention” ou ne pas se vérifier en se “relisant”) susceptibles de troubler la posture idéale pour contrôler sa production écrite. En 1994/95, quand cette même institutrice rend des contrôles aux CE2/CM1/CM2, ce qui l’intéresse c’est de faire en sorte que les enfants “se rendent compte un petit peu de leur progression”:“Alors quand je rends des contrôles, avant de dire la note, je dis aux enfants, voilà <<Ce qui m’intéresse, c’est que tu arrives à me dire qu’est-ce qui a marché, qu’est-ce qui a moins bien marché et pourquoi à ton avis ça a moins bien marché>>. Donc par exemple, je l’ai fait en rendant le contrôle de maths, donc y’a des enfants qui m’ont dit <<Moi, c’est les multiplications, parce que je savais pas assez mes tables>>, tu vois, ils arrivent déjà à analyser: <<Moi c’est les problèmes, parce que j’ai des difficultés à expliquer, à faire des phrases pour répondre>>. Quand il arrive pas à expliquer pourquoi il a raté, je lui dis <<est-ce que t’avais bien révisé chez toi, est-ce que t’avais bien travaillé, est-ce que t’avais bien compris, etc...>>. Et ça leur permet de mettre le doigt sur ce qui ne va pas, et ils disent ça va pas parce que...à cause de telle ou telle chose, et je vais essayer de m’améliorer”

La deuxième forme d’auto-évaluation est le bilan de travail 1154 qui se fait mensuellement: il est rempli d’abord par l’institutrice, puis par l’enfant, ce qui lui permet (selon l’enseignante), de “réagir aux réflexions déjà écrites” en expliquant éventuellement pourquoi il a rencontré telle ou telle difficulté, et enfin les parents doivent lire le bilan et émettre un avis. La lecture des bilans écrits en 1993/94 par les CM1/CM2 souligne combien les élèves abordent plus la question de leur comportement “social” en classe (relations avec les autres enfants) et de leur propre comportement (notamment l’attention, le fait d’être pénible) que leurs progrès dans les matières scolaires 1155 . Ainsi leur jugement porte davantage sur leurs aptitudes, leurs capacités à avoir un comportement scolairement acceptable, et l’avis de l’institutrice s’inscrit dans le même registre. Dans les configurations C.Freinet 1156 et de la Maison des Trois Espaces 1157 , l'auto-évaluation fait l'objet d'un travail plus systématiquement orienté vers la recherche et l'explicitation de ses stratégies de pensée ainsi que l'amélioration de sa manière de travailler scolairement, les problèmes de comportement relevant davantage du domaine des conseils de classe ou de coopérative.

Les élèves de CE2/CM1/CM2 (1994/95), interrogés sur le bilan de travail ont par contre davantage insisté sur les progrès ou les difficultés dans leurs savoirs scolaires. Deux élèves “en difficultés” (Flora, CE2 et Mathieu, CM1) ne se rappellent pas ce qu’est un bilan de travail mais il faut préciser que ces enfants ne sont à l’école que depuis quelques mois et au moment où nous interrogeons les élèves, ils n’ont rempli qu'une fois un bilan de travail, avant les vacances de la Toussaint (donc avant que les enfants ne voient leurs appréciations sur les carnets scolaires) 1158 . Par ailleurs, d’autres élèves en difficultés sont tout à fait capables de décrire les finalités et la manière de remplir le bilan de travail:

Q: “Et le bilan de travail, tu peux m’expliquer ce que c’est?”

D’une façon générale, parmi les élèves "en réussite" de CE2/CM1/CM2 (1994/95) interrogés, certains insistent plus sur les finalités 1159 , d’autres sur la description matérielle et l’utilisation des repères spatiaux pour remplir le bilan de travail 1160 sans qu’il soit possible d’interpréter ces différences de manière pertinente, notamment par rapport aux élèves "en difficultés". Par contre, il semblerait que les enfants “en difficultés” aient une évaluation moins précise de leurs capacités et de leurs manques 1161 contrairement aux élèves “en réussite” qui arrivent davantage à spécifier leurs problèmes et leurs réussites dans les acquisitions scolaires 1162 . Le cas d’Aliette (CM2, réussite) est à ce sujet très intéressant car elle développe des capacités d’analyse de ses compétences scolaires assez impressionnantes qui s'inscrivent parfaitement selon la “logique” de l’auto-évaluation de soi demandée dans sa classe. Il faut dire qu’elle a rencontré des problèmes scolaires (en lecture) qui l’ont obligée à analyser ses difficultés pour les surmonter en consultant un psychologue et elle a pris l’habitude de produire du discours sur ses acquisitions scolaires.

Selon Maria Montessori, “l’auto-évaluation” permettait de rendre les notes inutiles, l’enfant “découvrant la joie du travail”. A l’école Tom Pouce, le système de notation 1163 reste pourtant très présent, notamment à travers les exercices et les contrôles. Cependant, on peut penser que cette situation est liée en partie au type de public accueilli dont les parents, “détenant” souvent un niveau scolaire relativement élevé, connaissent les principes scolaires évaluatifs et demandent un “suivi” fréquent de leurs enfants (n’oublions pas qu’il s’agit d’une école privée) par une évaluation qui entraîne les élèves à l’habitude scolaire des situations d’examen et de la notation. Ainsi, tout laisse à penser que les institutrices de Tom Pouce ne pourraient pas se permettre de ne pas noter les élèves comme cela se pratiquait à l’école Freinet A.France de Vaulx-en-Velin 1164 (ce qui générait une forte angoisse de la part des parents qui ne savaient pas où situer le niveau de leur enfant). L’institutrice de CE2/CM1/CM2 (1994/95) a notamment une manière très “traditionnelle” de faire des contrôles (les enfants ne doivent pas communiquer, les tables sont séparées, le temps est limité, elle ne donne pas d’explications, les tables sont débarrassées de leur matériel..) contrairement à la façon de procéder dans les configurations J.Giono 1165 , Guilloux 1166 , C.Freinet 1167 où les institutrices tentent de dédramatiser les situations d'évaluation (à C.Freinet, les contrôles ressemblent ainsi beaucoup aux situations habituelles d'exercices).

Par contre plusieurs propos de cette institutrice indiquent une sensibilité certaine au thème montessorien de la “nocivité” de la notation. Ainsi la note ne doit pas être vécue comme une sanction, mais comme un "constat":“La note n’est pas une sanction. C’est à dire que la note est un constat du travail, de ce qu’on a acquis, de ce qu’on n’a pas acquis, de ce qu’on doit retravailler et qui est bien acquis, donc la note ne doit jamais être un échec. Si on met des notes, justement, je leur dis souvent ça, c’est pour progresser. Si on n’en mettait pas, on verrait moins bien quand même. Donc par exemple les dictées, je les note jamais au CE2, c’est simplement on compte les fautes, on essaie d’en faire le moins la fois d’après”. Par ailleurs, ellepréfère pratiquer le contrôle continu plutôt que de regrouper les contrôles sur deux jours: “c’est à dire que par exemple quand en maths on a vu deux ou trois notions, qu’elles sont bien acquises, que les enfants sont prêts, on fait un contrôle sur l’ensemble de ce qu’on a vu pendant une période. Par exemple avec les CE, on a énormément travaillé sur les tables de multiplication, la technique opératoire, on a appris à multiplier par 10, 100, 1000, en ligne, etc...On a fait plein de jeux, plein d’exercices donc quand j’ai estimé qu’ils étaient prêts, sur tout ça, on a fait un contrôle. Donc si tu veux les contrôles se succèdent, donc à la fois ça demande aux enfants d’être tout le temps attentifs et tout le temps un peu prêts puisque y’a des jours où il y a des contrôles et puis des jours où on peut se reposer sur ses lauriers. Ca fait des contrôles continus ” . Cette manière de procéder a pour conséquence que les enfants ont certes plus de chances parce qu’il y a plus de contrôles, dispersés sur davantage de jours, mais elle a aussi pour effet d’exiger chez l’élève une attention continue, sur tous les exercices et plusieurs enfants nous expliquent qu’il leur arrive de faire un travail dont ils ne savent qu’à la fin qu’il était noté. En même temps, cette institutrice demande aux élèves d’adopter une attitude “intelligente” par rapport aux contrôles et elle se moque constamment des enfants qui ont une attitude trop “scolaire” et recopient l’énoncé.

Notes
1148.

Le Manuel Montessori, p.87

1149.

Le Manuel Montessori, p.203

1150.

Maria Montessori va même jusqu’à affirmer que “Ce contrôle est plus attirant que l’exercice en soi” et “Le plus grand plaisir de l’enfant consiste à vérifier s’il ne s’est pas trompé” (L’esprit absorbant de l’enfant, p.203)

1151.

Rappelons que la maîtresse est la même d’une année sur l’autre.

1152.

Voir infra la partie II de cette configuration: "Une attention particulière portée sur les conditions pédagogiques de transmission et de réception des savoirs et des compétences scolaires"

1153.

Voir supra la partie V de cette configuration: "Réflexivité et souci des techniques d'acquisition"

1154.

Il se présente de la manière suivante pour le CM1/CM2 (1993/94) et le CE2/CM1/CM2 (1994/95)

Bilan de travail

Période du............au.............mai

Mes progrès:

Mes difficultés:

Mes idées et propositions pour la vie de la classe:

L’avis de mon institutrice:

L’avis de mes parents:

1155.

Par exemple, on trouve des résolutions du type: “je dois être plus gentil” <avec tel enfant> ou bien des plaintes telles que: <tel enfant> “me donne des coups de pieds”.

1156.

Voir supra la partie IV,4 de cette configuration: "La correction formative et l'auto-contrôle responsabilisant: les bases d'une évaluation axée sur la confiance"

1157.

Voir supra la partie V,2,b de cette configuration: "S'auto-évaluer pour améliorer ses performances"

1158.

Pour l’institutrice, l’expérience du bilan de travail ne paraît pas tellement concluante (et c’est pour cela qu’elle ne la renouvelle pas au cours de l’année): elle voudrait améliorer sa manière de procéder avant de systématiser la pratique du bilan de travail.

1159.

Pour certains élèves, le bilan de travail “sert à voir c’qu’on a fait d’bien, de pas bien” (Anne-Marie, CE2, réussite); “On note, on marque...c’qu’on pense avoir fait des progrès...où on pense avoir des difficultés <...> on marque, j’sais pas, en orthographe, en multiplications, en divisions...on marque les objectifs” (Lilian, CM2, réussite); “Un bilan...d’abord on met ses progrès, c’qu’on a fait comme progrès à l’école...après on met ses difficultés <elle énumère sur un ton très scolaire, comme si elle récitait une leçon d’école>...après, c’qu’on aimerait bien réussir, la prochaine fois, quand on ferait un bilan, et puis on devra le marquer dans ses progrès si on a réussi <...> Après ‘faut mettre les idées qu’on a sur la vie d’la classe...par exemple, si on trouve qu’y’a trop d’bruit, on peut mettre qu’y’a trop d’bruit et ‘faudrait que...i’faut trouver une solution pour que ça arrête...alors on peut mettre sa solution...après c’est la maîtresse qui met c’qu’elle pense du travail de l’enfant, et après c’est les parents qui doivent mettre euh...leur avis” (Virginie, CE2, réussite)

1160.

Ces enfants expliquent que le bilan de travail “C’est un papier où y’a marqué par exemple <<difficultés>>, par exemple en maths, t’as des difficultés... par exemple y’a aussi des cases où c’est blanc, t’as l’droit d’marquer des choses, par exemple euh...<<progrès>> <...>Ton progrès...et tu marques euh...tu trouves que t’as progressé en ça <...> Pi y’a aussi qu’est-ce que t’aimerais bien faire pour la vie d’la classe” (Ingrid, CM1, réussite); “Ben...en fait y’avait des choses marquées, alors y’avait <<Mes...mes progrès>>, où est-ce qu’on a progressé euh...<<Mes difficultés>>, là euh...par exemple y’a la dictée, à les préparer euh...les tables de multiplication, euh...des choses comme ça. Euh...pi y’avait que’qu’chose euh...j’m’en rappelle plus, ça c’est un mot super dur, là on voulait arriver à l’faire mieux, à le faire correctement...<<Mes objectifs>>, des trucs comme ça <...> et euh...j’y marquais...en fait c’était tout dans des petites cases, la dernière, c’était <<l’avis des parents>> <...> j’crois qu’i’z’étaient pas obligés d’y marquer, si i’voulaient, i’pouvaient. Après euh...y’avait oui, si <<Mes propositions>>, <<Mes idées>> pour la vie d’la classe <...> Après y’avait l’avis de mon institutrice...” (Peter, CE2, réussite); “Y’a plusieurs cases...y’a une case: <<Mes progrès>>, c’est c’que...où est-ce que t’as progressé, dans quelle matière et <<Mes difficultés>>, où est-ce que t’as des difficultés...y’a <<Mes objectifs>>, ben c’est c’que j’vais essayer de faire, d’apprendre bien euh...pour le trimestre prochain <...> Et pi on a une autre, une quatrième, c’est <<Mes idées pour la classe>>, qu’est-ce j’vais bien faire euh...j’sais pas, moi, dans la classe euh...comme idée, qu’est-ce que j’voudrais faire au square euh... <...> et y’en a une autre, c’est <<L’avis d’la maîtresse>>, c’est ce que...elle met sur la fin et y’en a une dernière, c’est que...tu dois la montrer aux parents, et les parents ils mettent quelque chose” (Thibault, CM2, réussite)

1161.

Par exemple, Mickaël (CM1) fait une erreur d’appréciation quand il estime qu’il a progressé en orthographe, alors que selon les remarques de l'institutrice sur son carnet scolaire, il a“Beaucoup de difficultés en orthographe” .

1162.

Thibault (CM2, réussite) explique qu’il est très bon en maths, qu’il a des difficultés en orthographe et qu’il écrit mal, ce qui correspond exactement aux remarques que lui fait l'institutrice sur son carnet scolaire. Lilian (CM2, réussite) connaît non seulement les matières où il progresse et où il a des difficultés, mais en plus il sait décrire précisément ses nouvelles acquisitions: “J’ai eu une fois 16 et 1/2, c’était parce que j’avais pas compris qu’il fallait faire une phrase par opération<...> En maths, c’est mieux, parce que maintenant, j’sais faire les divisions à deux chiffres...et les mesures de longueurs et les mesures de masses <...> En géométrie, j’ai appris à calculer le diamètre par rapport au rayon et la circonférence par rapport au diamètre...en multipliant par Pi <...> J’ai appris aussi en grammaire le COD/COI et comment on accorde le...le passé composé...quand il y a l’auxiliaire <<avoir>> et qu’y’a un COD placé avant l’verbe...COD...COI aussi”. Virginie (CE2, réussite) parle précisément de ses difficultés dans les acquisitions scolaires: les capitales et les drapeaux et elle explique qu’elle s’est entraînée pour s’améliorer dans les capitales, mais qu’elle n’a pas eu le temps pour les drapeaux. Le carnet scolaire d’Anne-Marie (CE2, réussite) mentionne ses problèmes d’écriture et elle explique:“Mes progrès, c’est pour les tables de multiplication...et en écriture, mais j’ai encore des difficultés en écriture”. L’institutrice note qu’Ingrid (CM1, réussite) a fait des progrès en français et cette élève explique que ses difficultés en lecture venaient de son livre trop complexe et qu’elle a progressé en dictée: “Ca va mieux parce que j’avais eu 3 sur 20...que’qu’chose comme ça et pi tout d’un coup, quand j’avais bien appris, j’avais eu 16 sur 20”

1163.

Cette notation peut se faire avec des lettres comme en (CE2 1994/95) ce qui peut donner l’impression d’”adoucir” les effets de la notation (mais qui revient toujours à indiquer la mesure du niveau d’un élève).

1164.

Ecole étudiée dans le cadre de notre travail de maîtrise: La pédagogie Freinet, une école pour le peuple?, Université Lyon II, 1990, sous la direction de R.Bernard, B.Lahire et D.Thin

1165.

Voir infra la partie IV,2 de cette configuration: "Les contrôles et les évaluations scolaires"

1166.

Voir supra la partie II,4 de cette configuration: "Valoriser les élèves et positiver les situations d'apprentissage"

1167.

Voir supra la partie IV,4 de cette configuration: "La correction formative et l'auto-contrôle responsabilisant: les bases d'une évaluation axée sur la confiance"