Les mots de « bibliothèque universitaire » et de « section », qui ont été d'un emploi courant au moins jusqu’en 1985, se rencontrent aussi dans les textes relatifs aux bibliothèques universitaires de la deuxième moitié du XIXe siècle.
L'appellation « bibliothèque universitaire » est apparue bien avant que des universités ne fussent constituées officiellement, dans l'instruction générale du 4 mai 1878 concernant le service des bibliothèques universitaires et dans la circulaire de la même date jointe à cette instruction. A cette date, il n'existait pas en France d'universités au sens propre, puisque ce n'est qu'en 1896 que les groupements de facultés de l'Etat dans un même ressort académique ont pu prendre ce nom.
On peut remarquer encore, en 1879, des hésitations dans le vocabulaire. Ainsi, l'arrêté du 31 janvier 1879 a créé une commission centrale des « bibliothèques académiques ». Cette expression a été reprise de l'arrêté du 18 mars 1855, qui avait institué des « bibliothèques des académies ». Quelques mois plus tard, sous le ministère de Jules Ferry, les arrêtés du 23 août 1879, en particulier celui qui a institué un règlement commun des bibliothèques universitaires, ont repris l'expression employée en 1878, qui est devenue d’une utilisation courante.
De même que l'arrêté du 31 janvier 1879 avait distingué les « bibliothèques académiques » (bibliothèques de facultés regroupées) et les « collections des facultés » (bibliothèques de facultés isolées), l'arrêté du 23 août 1879 portant règlement pour les bibliothèques universitaires a opéré une distinction entre les « bibliothèques universitaires » (regroupées) et les « bibliothèques des facultés » (isolées).
Cette distinction a été employée jusque dans les années 1960, où l'on utilisait encore souvent, pour désigner par exemple la section de médecine d'une bibliothèque universitaire de province, qui était généralement installée dans d'autres locaux que la bibliothèque « centrale », l'expression « bibliothèque de la faculté de médecine ». Cette même expression était bien entendu utilisée pour les bibliothèques universitaires parisiennes, puisque celles d'entre elles qui relevaient d'une ou de plusieurs facultés étaient restées placées sous l'autorité des doyens de ces facultés en vertu de règlements particuliers publiés dans les années 1880, et confirmés ultérieurement.
Une hypothèse peut être formulée pour expliquer le fait que l'appellation « bibliothèque universitaire » ait précédé de dix-huit ans la constitution officielle des universités.
Si l'on considère les appellations « bibliothèques des académies », « bibliothèques académiques » et « bibliothèques universitaires », on constate que ces expressions sont formées par l'adjonction au substantif « bibliothèques » d'un adjectif ou de mots qui précisent le rattachement de la bibliothèque à une entité plus vaste qu'une faculté. On constate aussi que les expressions « collections (ou bibliothèques) de(s) faculté(s) » sont employées simultanément pour désigner des bibliothèques qui ne sont pas regroupées. On peut donc essayer de vérifier s'il a existé une équivalence entre « académie » et « université », qui pourrait expliquer l'évolution de « bibliothèque académique » à « bibliothèque universitaire ».
Des indices de cette équivalence nous sont donnés par un document annexe de la loi du 14 juin 1854 sur l'organisation de l'instruction publique. Il s'agit d'un rapport présenté au Corps législatif par un député de la Sarthe, J. Langlais, au nom de la commission chargée d'examiner le projet de loi. On trouve dans ce rapport les passages suivants :
‘« Quel est le signe, quel est l'aliment de ces foyers de science, de culture intellectuelle [les académies] ? Ce sont les facultés... On se fait donc une idée erronée de ce que doit être une académie, une université, quand on croit qu'elle se rattache essentiellement soit au département, soit à la cour d'appel... Le siège naturel des académies est donc là où existent les facultés...Il faut faire la part dans ces propos de certains arguments de circonstance. Comme la loi contenait deux catégories de dispositions, les unes relatives à l'administration de l'instruction publique en général et les autres relatives aux établissements d'enseignement supérieur, le rapporteur a pu se croire tenu de justifier cette liaison en considérant que les facultés, qui étaient les établissements les plus éminents des académies, devaient nécessairement trouver place dans un projet de loi réorganisant les académies. Les allusions au siège des académies qui avait été placé sous le Premier Empire au siège des cours d'appel et en 1850 au chef-lieu de chaque département relèvent aussi de la justification de la réforme examinée par le Corps législatif. Mais le plus important pour notre propos est de remarquer la synonymie, invoquée à plusieurs reprises, entre « académies » et « universités ».
Pourquoi appeler « bibliothèques des académies » ou « bibliothèques académiques » des bibliothèques constituées par le regroupement de bibliothèques de facultés ? Ce n'est pas parce qu'elles seraient communes à tous les établissements d'instruction publique de l'académie, mais parce qu'elles sont communes aux établissements d'enseignement les plus éminents de l'académie, à savoir les facultés. Quant au passage de « bibliothèque académique » à « bibliothèque universitaire », il se déduit facilement de l'équivalence entre « académie » et « université ». Ont probablement joué aussi en faveur de la substitution de l'adjectif « universitaire » à l'adjectif « académique » le sens ancien du mot « université » en français (réunion de facultés sous l'Ancien Régime), les équivalents anglais et allemands university et Universität, et bien entendu les débats sur la réforme de l'enseignement supérieur conçue comme devant conduire à la constitution d'universités « régionales ». A pu conduire aussi à l'abandon de l'adjectif « académique » le fait que l'académie était une circonscription d'enseignement qui n'était pas propre à l'enseignement supérieur, alors que les mots « université » et « universitaire », employés couramment au XIXe siècle pour tous les ordres d'enseignement, ont tendu à se spécialiser dans des emplois relatifs à l'enseignement supérieur. On trouve d'ailleurs dans la Statistique de l'enseignement supérieur 1876-1878 l'expression « établissements universitaires d'enseignement supérieur », tendant à montrer que l'adjectif « universitaire », considéré comme un synonyme d'« académique », ne suffisait pas à lui seul à indiquer qu'il s'agissait d'enseignement supérieur, alors que la Statistique de l'enseignement supérieur 1878-1888 contient l'expression « académies universitaires », entendue comme la liste des facultés existant dans chaque ressort académique, et opposée à « administration académique », désignant les rectorats. Dans ce dernier exemple, il semble bien que l'adjectif « universitaire » ait acquis un sens spécialisé pour désigner les établissements d'enseignement supérieur. 75
On trouve même un usage isolé qui peut laisser penser que bien avant les réformes de l'enseignement supérieur de 1896, le mot « université » pouvait être employé pour désigner l'ensemble des facultés d'une même ville. Il s'agit d'une lettre du ministre de l'instruction publique au doyen de la faculté de médecine de Nancy du 12 novembre 1872. Dans cette lettre, le ministre soulignait les inconvénients de l'isolement où se tenaient, les unes par rapport aux autres, les facultés d'une même ville, et il informait le doyen de mesures prises en vue de remédier à cette situation. Il écrivait : ‘« Les facultés d'un même ressort forment un tout, une université ; elles doivent se prêter une mutuelle assistance dans l'intérêt de la science et des élèves ». 76 ’
Cet usage apparaît cependant trop isolé, à cette date, pour permettre de conclure que le mot université avait pris, dès 1872, le sens que nous lui connaissons aujourd'hui. Il semble plutôt que l'académie ou l'université ait été assez vite assimilée à la réunion des établissements d'enseignement supérieur (les facultés) qui en constituaient l'échelon le plus élevé.
Le mot « section » , du latin sectio, de secare, couper, fait partie au sens figuré du vocabulaire militaire et administratif, dans lequel il a le sens de subdivision d'un ensemble plus important. Les dictionnaires de langue de la seconde moitié du XIXe siècle donnent les définitions et les exemples suivants : ‘« Chacune des divisions d'une ville, d'un conseil, d'un tribunal, d'un collège électoral, etc. Division d'un corps administratif. Les sections du Conseil d'Etat. La section du contentieux » (Littré)’ ; ‘« Catégorie introduite dans un classement quelconque : la Cour de cassation est divisée en trois sections... Le Conseil d'Etat est partagé en sections... » (Larousse).’ Des indications plus intéressantes sont données par le Trésor de la langue française, sous le sens général de « subdivision d'une circonscription administrative » : ‘« 3. Division opérant un classement par discipline ou par catégorie dans l'organisation scolaire ou universitaire, dans un institut ou une académie. Section de l'Ecole pratique des hautes études ; section littéraire, juridique, scientifique du conseil national des universités ; section classique, moderne... » 77 ’
Ce sens général s'est spécialisé en ce qui concerne les bibliothèques universitaires. Il apparaît en outre qu'il a été employé dans les textes du XIXe siècle relatifs à ces bibliothèques avec deux acceptions un peu différentes. 78
Le mot « section » est apparu dès l'arrêté du 18 mars 1855 instituant les bibliothèques des académies : le recteur était chargé par ce texte de répartir les acquisitions à faire ‘« de telle sorte que les diverses sections de la bibliothèque de l'académie reçoivent des accroissements proportionnés à leur importance et à leurs besoins » (art. 5)’. Comme les bibliothèques des académies étaient constituées par la réunion de bibliothèques de facultés qui avaient leur siège au chef-lieu de l'académie, il est probable que ces « sections » étaient, à l'intérieur de la bibliothèque unifiée, les collections de livres relevant de l'enseignement de chacune des facultés qui avaient mis leurs bibliothèques en commun.
On a vu en effet précédemment que les bibliothèques des facultés restées isolées ne se sont pas appelées sections, mais « bibliothèques (ou collections) de(s) facultés ». La circulaire jointe à l'instruction générale du 4 mai 1878 a utilisé l'expression générique de « bibliothèques distinctes » (« Le système des bibliothèques distinctes est onéreux pour l'Etat »). Cette instruction générale a aussi employé le mot section dans le sens d'un ensemble d'ouvrages appartenant à une grande division de la classification recommandée pour le catalogue méthodique, celle du Manuel du libraire et de l'amateur de livres de Brunet : il pouvait ainsi y avoir des sections de théologie, de jurisprudence, etc. L'instruction prescrivait d'abolir ces distinctions, qui n’étaient pas considérées comme compatibles avec le système de classement adopté, et de les remplacer par un « sectionnement » (c’est-à-dire par un classement distinct) des livres en fonction de leur format.
En 1879, il était question, dans la circulaire qui accompagnait les arrêtés du 23 août, de « bibliothèques réunies ou isolées ». L'arrêté du 23 août 1879 portant règlement pour les bibliothèques universitaires employait pour sa part les expressions « bibliothèques universitaires » pour désigner les bibliothèques unifiées, et « bibliothèques de facultés » pour désigner les bibliothèques de facultés isolées.
Le décret du 28 décembre 1885 relatif à l'organisation des facultés et des écoles d'enseignement supérieur a prévu que ‘« le conseil général des facultés propose au ministre les règlements de la bibliothèque universitaire, et, s'il y a lieu, des différentes sections de la bibliothèque » (art. 7)’. Dans ce texte, le mot « section » semble s'appliquer à une collection de livres située dans un bâtiment distinct, car un règlement particulier ne se serait pas justifié pour une collection de livres réunie avec d'autres dans un même bâtiment.
Cette interprétation est confirmée par la circulaire du 31 décembre 1885 relative à l'application de ce décret, où se trouve la phrase suivante, au commentaire de l'article 7 : ‘« La bibliothèque universitaire, même quand elle a des sections séparées, est une, sauf cas tout à fait exceptionnels... »’. Le sens de collection de livres correspondant aux études dans une faculté semble donc avoir évolué, entre 1878 et 1885, vers celui de subdivision d'une bibliothèque universitaire disposant d'un local distinct et contenant des livres correspondant aux études dans une ou plusieurs facultés. Le passage du contenu au contenant, ou à l'ensemble contenu-contenant, peut s'expliquer facilement comme un cas de métonymie. Un passage de la circulaire du 20 novembre 1886 relative aux bibliothèques universitaires : [il conviendra] ‘« lorsque la bibliothèque sera encore divisée en plusieurs sections, d'éviter les doubles emplois qui entraînent des dépenses presque toujours superflues »’ confirme que le sens de local distinct était établi en 1886, et aussi que cette situation était considérée comme provisoire.
D'autres documents permettent de préciser que jusque vers 1884, le sens de « section » a plutôt été celui de collection de livres. Les volumes 7, 10 et 19 des Enquêtes et documents relatifs à l'enseignement supérieur contiennent un Etat des bibliothèques universitaires [de province] pour les années scolaires 1882-1883, 1883-1884 et 1884-1885. L'exposé de la situation de chaque bibliothèque universitaire commence par la phrase : ‘« La bibliothèque comprend deux (ou trois, quatre, cinq) sections correspondant aux facultés de ... »’ Cette phrase figure même dans les descriptions des bibliothèques universitaires dont nous savons, par la Statistique de l'enseignement supérieur 1876-1878, qu'elles étaient organisées en bibliothèques unifiées en 1876, par exemple Grenoble ou Rennes. On peut d'ailleurs lire, dans certains cas (Poitiers ou Rennes, 1882-1883) : ‘« La bibliothèque comprend trois sections correspondant aux facultés de droit, des sciences et des lettres, dont le fonds est réuni dans un même local »’. Cette précision permet d'indiquer que le sens de section est ici celui de collection de livres. On peut donc dater assez précisément, vers 1885, le changement de sens qui conduit de ce sens premier à celui de bâtiment distinct contenant une partie des collections d'une bibliothèque universitaire. 79
Il est d'ailleurs vraisemblable que l'ambiguïté a continué à subsister entre ces deux acceptions, puisqu'elle n'apparaît pas complètement dissipée dans le premier texte officiel qui a tenté de donner une définition du mot « section », la circulaire du 15 mars 1976. 80
Par rapport aux différentes expressions employées pour désigner des bibliothèques de faculté isolées, le mot « section » marque nettement qu'il s'agit d'une subdivision d'un ensemble plus important, et non d'un organisme autonome. L'expression concurrente « bibliothèque de la faculté de... » marque quant à elle davantage le lien entre la bibliothèque et l'institution d'enseignement desservie.
Le mot de « section » a aussi été employé quelquefois dans son sens administratif classique, pour désigner l'un des services d'une bibliothèque universitaire : on a ainsi parlé, dans les années 1950 et au-delà, de « sections de prêt » pour désigner des collections de documents réservés au prêt à domicile. De même, un arrêté du 26 novembre 1901 avait créé à la bibliothèque Sainte-Geneviève et dans huit bibliothèques universitaires de province des « sections de prêt à long terme », dont les ouvrages pouvaient être empruntés pour des durées allant jusqu'à cinq ans en vue de la préparation de travaux d'érudition. 81
Il est possible de résumer comme suit cette analyse du vocabulaire, en recensant les termes qui ont servi à désigner des bibliothèques universitaires unifiées, des bibliothèques de facultés isolées et des sous-ensembles des bibliothèques unifiées.
Bibliothèques unifiées
Bibliothèque de l'académie ou bibliothèques des académies (1855)
Bibliothèques académiques (1868, Statistique de l'enseignement supérieur)
Bibliothèques universitaires (1878)
Bibliothèques réunies (1879)
Bibliothèques isolées
Bibliothèques de(s) faculté(s) (jusqu'en 1879)
Bibliothèques distinctes (1878)
Collections des facultés (1879)
Bibliothèques isolées (1879)
Sous-ensemble d'une bibliothèque unifiée
Section, au sens de collection de livres (1855-1885)
Section, au sens de division d'une bibliothèque unifiée disposant d'un local distinct (1885)
Bibliothèque de la faculté de ... (après 1879)
Recueil des lois et règlements sur l'enseignement supérieur, op. cit., t. 2, p. 330, p. 331 et p. 335.
Statistique de l'enseignement supérieur, 1876-1878, op. cit., p. 121 ; 1878-1888, op. cit., p. VII-IX.
Statistique de l'enseignement supérieur, 1876-1878, op. cit., p. 146. Sur les réticences à employer officiellement le mot « université » pour désigner un ensemble de facultés et les difficultés de langage qui en résultaient, on peut noter deux témoignages de Louis Liard, le premier en 1885, dans l'exposé des motifs du décret du 28 décembre 1885 relatif à l'organisation des facultés et des écoles d'enseignement supérieur : « Si les universités ne devaient pas s'appeler des universités, il y aurait un gros obstacle de moins à leur constitution... Dans notre langue courante, l'université, c'est l'Etat enseignant, c'est l'ensemble de nos trois ordres d'enseignement public, et cette acception du mot, si irrégulière qu'elle puisse être, est devenue populaire et quasi nationale. L'université de France a beau avoir disparu, en droit, le 15 mars 1850 [date de la loi relative à l'enseignement, dite loi Falloux], en fait elle subsiste, et l'opinion persiste à lui maintenir un nom sous lequel elle fait partie de nos institutions modernes... Serait-il sans danger de vouloir heurter brusquement un tel usage ? Un projet de loi par lequel on proposerait d'attribuer aujourd'hui même à des groupes locaux de facultés un nom sous lequel on a l'habitude de comprendre tout l'enseignement de l'Etat ne provoquerait-il pas des confusions et des méprises de nature à en compromettre le succès ? L'opinion n'y verrait-elle pas, sinon un retour en arrière, du moins la rupture de l'unité de l'enseignement national, et comme un démembrement de l'université de France ? » Recueil des lois et règlements sur l'enseignement supérieur, op. cit., t. 4, p. 211-212. En 1890, l'usage avait évolué : [Pour éviter d'employer le terme d'académie, qui n'est pas compris à l'étranger,] « ... il nous faut employer un vocable illégal et dire : l'université de Paris ou l'université de Lyon, alors qu'il n'y a d'université ni à Lyon, ni à Paris. Et c'est une nécessité si impérieuse qu'elle s'impose même dans les harangues les plus officielles. Ainsi, à l'inauguration de la nouvelle Sorbonne, M. Gréard n'a pu s'y soustraire, et pour désigner, sans périphrase obscure, cet être complexe formé de cinq facultés,... il lui a bien fallu dire, en dépit de la loi : l'université de Paris. » L. Liard, Universités et facultés (Paris, s.d. [1890]), p. 142-143.
E. Littré, Dictionnaire de la langue française (Paris, 1863-1869 et Supplément 1877) ; P. Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle (Paris, 1866-1876 et suppléments 1877 et 1890) ; Trésor de la langue française, dictionnaire de la langue du XIXe et du XXe siècles (1789-1960) (Paris, 1971-1994).
Sur la notion et le rôle des sections dans les bibliothèques universitaires françaises de 1855 à 1993, voir D. Pallier, « Sources relatives aux sections des bibliothèques universitaires », Rapport annuel de l'inspection générale des bibliothèques (Paris, 1993), p. 35-67 (publié sans nom d'auteur) ; D. Pallier, « Les Sections des bibliothèques universitaires, histoire d'un choix », Bulletin des bibliothèques de France, t. 40, n° 4, 1995, p. 52-65.
Enquêtes et documents relatifs à l'enseignement supérieur, t. 7 (Paris, 1883), p. 101-115 ; t. 10 (1884), p. 124-135 ; t. 19 (1885), p. 153-171.
Circulaire n° 76-U-049 du 15 mars 1976, Bulletin officiel du ministère de l'éducation et du secrétariat d'Etat aux universités, n° 12, 25 mars 1976.
Recueil des lois et règlements sur l'enseignement supérieur, op. cit., t. 6, p. 298.