Je ne veux montrer ici qu'un paysan vaudois, pris dans la tourmente moderne, protestant de naissance et d'éducation, fourvoyé dans le socialisme et l'athéisme, puis accédant à la Source de toute vie1.
René LEYVRAZ. Les Chemins de la Montagne. 7éme éd., s.d. Paris : Bloud et Gay, 1928. pp. 13-14. Collection Ars et Fides. Pour éviter les répétitions, nous n'accolerons plus en note le nom de Leyvraz à celui de ce livre.