4. L'IRRUPTION D'UN PSEUDO-DIRECTEUR SPIRITUEL ÉTRANGER

Malgré ces arrangements qui font penser que, dorénavant, toute décision se prendra ouvertement face à Leyvraz et que la transparence est de mise, les démarches entreprises par Trachsel démontrent qu'il n'en est rien. En effet, des contacts ont été pris "depuis longtemps2451" par l'administrateur et le nouveau vicaire général, Mgr Marcel Bonifazi2452 pour tenter de faire venir au Courrier le Père Gabel (*), de l'Ordre des Augustins de l'Assomption. Secrétaire de l'Union internationale de la presse catholique (U.I.P.C.) et directeur de La Croix, ce religieux vient d'être "remercié" par son journal, à cause, semble-t-il, de son caractère difficile. Au printemps 1960, pour faire "passer", auprès du rédacteur en chef, l'idée de ce nouvel engagement, Trachsel la présente à Leyvraz sous son aspect "sentimental" : le Père Gabel vivrait une triste situation, il viendrait d'être débarqué de La Croix et se retrouverait solitaire dans son secrétariat de Paris. Ne ferait-on pas acte de charité en l'accueillant comme aumônier ? Ainsi, le voeu émis par la rédaction (et qui figurait dans le projet de statuts) de disposer d'un prêtre pour assurer la direction spirituelle de la maison serait exaucé; en outre, Gabel pourrait donner un coup de main à la rédaction. Leyvraz qui, à plusieurs reprises, a cité Gabel dans ses éditos, répond de manière positive à cette suggestion. Or, on le verra, Trachsel a d'autres visées sur ce religieux et veut, en réalité, lui assigner la fonction de directeur de la rédaction. Si le Conseil d'administration a supprimé des statuts la question de l'aumônier pour la faire simplement figurer au procès-verbal de sa séance, c'est probablement pour éviter que les rédacteurs aillent jusqu'à lui intenter un procès, puisque la tâche du religieux en question ne sera finalement pas celle qui était indiquée dans les statuts.

Même si, semble-t-il, Gabel avait alors le projet d'aller travailler sur sol africain, la lettre qu'il adresse à Trachsel indique clairement que les pourparlers sont bien engagés :

‘"Cher ami, Ce n'est pas sans une certaine émotion que je vous écris cette lettre. Car elle marque pour moi un engagement et une rupture. Vous me comprendrez, et vous n'attendrez pas de moi que je me précipite, dans l'illusion, vers une terre promise, où ne couleraient que lait et miel ... Vous savez cependant que je n'ai pas encore perdu le goût de l'encre d'imprimerie, et que je vois toujours dans le journalisme ma voie et ma vocation particulières. Votre proposition a été le témoignage d'une amitié et d'une fidélité que j'apprécie à leur juste valeur. Si donc je vous donne aujourd'hui une réponse affirmative, c'est dans l'espoir de pouvoir, avec vous et grâce à vous, faire du bon travail dans un quotidien catholique, de lui donner cette qualité et ce rayonnement que vous vous êtes fixé comme idéal. Croyez bien que cet espoir est, pour moi, déjà une satisfaction et presque une certitude, mais à un certain âge, on regarde aussi en arrière et sur sa droite et sa gauche ... En arrière, il y a Paris; il y a maintenant aussi l'Europe pour laquelle je n'ai pas encore trouvé de solution, mais je compte sur les semaines qui viennent. Sur mes côtés, il y a d'une part Monseigneur, vous et quelques autres ...".’

La suite de la lettre montre que c'est un tableau plutôt sombre qui a été décrit par certains, pour ce qui concerne l'accueil qui sera vraisemblablement réservé à Gabel par la rédaction du journal, description qui se révélera d'ailleurs exacte ... ‘"Mais d'autre part, un monde inconnu; peut-être même les réticences, la défection, l'opposition de ceux sur qui on devrait s'appuyer pour réaliser l'oeuvre. Vous-même, Mgr Bonifazi et d'autres ne m'en avez pas caché l'éventualité. Votre dernière lettre me laisse, cependant, entendre que l'attitude de M. Leyvraz serait ouverte et accueillante ... N'avez-vous pas interprété ses paroles dans le sens de vos désirs ? Mais pourquoi douterais-je des bonnes intentions de votre collaborateur ?"’ Puis Gabel dit son projet d'implanter à Genève le secrétariat de l'U.I.P.C. et d'y faire venir sa secrétaire. A-t-il été question que le Courrier prenne en charge les frais relatifs à ce secrétariat puisque Gabel écrit : ‘"Il y aurait, sur ce point, un engagement ferme à prendre [à l'égard de Mme Gyps], comme contrat de travail, durée, salaire et sécurité sociale. Car vous savez que le Secrétariat de l'U.I.P.C. ne nourrit pas son homme; et je ne puis exposer Mme Gyps à des incertitudes. J'espère que le ton de cette lettre ne vous déçoit pas : tout est en bémols et en accords discordants. S'il n'y avait que vous, j'aurais des ailes d'anges musiciens; mais ... je suis un homme divisé, déchiré. Mes Supérieurs m'ayant laissé pleine liberté, je ne dépends que de ma propre décision. Mgr Pirozzi - à qui j'ai dû en parler en raison de certains projets qu'il me confiait - est totalement opposé à ce que je quitte l'Europe; je suppose qu'il ne fera pas intervenir la Secrétairerie d'Etat qui s'intéresse beaucoup à la question, mais qui n'a été pour rien dans ma nomination. Vous recevez donc, cher Ami, la réponse que vous attendez depuis longtemps [c'est nous qui soulignons]; elle m'est inspirée par l'amitié dont vous m'avez donné mille témoignages et par celle aussi que j'éprouve à votre égard, fidèle et dévouée. P.S. Il est bien entendu que mon acceptation pour Genève ne me dégage pas ipso facto de Strasbourg. Je dois d'abord tenir un engagement avant d'en prendre d'autres. On m'a signalé un Néerlandais capable de me remplacer; je l'ai fait pressentir2453."’ La décision ferme d'engager Gabel sera prise alors que Leyvraz se trouve en vacances à Corbeyrier. Et contrairement aux accords passés, il ne sera en aucune manière consulté ou prévenu de ce qui a été réellement décidé.

Le 1er septembre, Mgr Charrière adresse à Gabel la lettre de nomination suivante : ‘"Mon Révérend et Cher Père, Je tiens à confirmer par écrit la décision à laquelle nous sommes parvenus à propos du Courrier. Je vous nomme par les présentes (sic) Directeur de la2454 Rédaction du Courrier. Le Courrier étant un journal catholique, vous êtes désormais responsable devant l'Evêque de la ligne de conduite et des options de ce journal2455."’ Puisque Charrière utilise le terme "par les présentes" dans sa lettre, on peut en déduire que se trouve annexé un document spécifiant les pouvoirs donnés à Gabel, et dont nous avons retrouvé le projet, établi par Trachsel :

‘1. "Le directeur de la rédaction est responsable de la ligne de conduite et des options du Courrier. En matière doctrinale, il est seul responsable devant l'autorité ecclésiastique." [Notre commentaire : Leyvraz perd donc totalement la responsabilité doctrinale qui lui avait été attribuée et qui était mentionnée dans les statuts].
2. "Le directeur de la rédaction collabore avec l'administrateur-délégué de la Société du Courrier qui a la responsabilité commerciale, administrative et financière de l'entreprise." [Notre commentaire : Leyvraz est écarté des liens institués entre la rédaction et l'administration].
3. "Le directeur de la rédaction prend toutes les initiatives qu'il juge opportunes pour améliorer la partie rédactionnelle du journal. Il a autorité sur le rédacteur en chef et tout pouvoir, en collaboration avec l'administrateur-délégué, pour remanier et organiser la rédaction afin que chaque rédacteur fournisse un travail au mieux des intérêts du journal2456." [Notre commentaire : la tâche dévolue à Leyvraz ne comporte désormais plus que celle de fournir des éditos !].’

Le 2 septembre, Trachsel envoie à Charrière copie de la lettre2457 adressée à Gabel par le Conseil d'Administration du Courrier. L'administrateur craint-il des traces écrites, puisqu'il spécifie : ‘"Je pense qu'il est inutile que vous nous écriviez votre accord puisque vous m'avez donné verbalement votre assentiment."’ ? Puis vient la phrase qui prouve bien que tout s'est tramé à l'insu de la rédaction : ‘"Deux ou trois jours seulement avant l'arrivée du Père Gabel, je mettrai M. Leyvraz au courant de ces décisions, afin d'éviter toute difficulté durant les quelque quinze jours qui nous séparent encore de sa venue."’ Les salutations montrent que les contacts entre l'évêque et l'administrateur du journal se sont mués en liens d'amitié : ‘"En vous remerciant encore de votre compréhension, je vous prie de croire, bien cher Monseigneur, en mes sentiments de respectueuse affection2458."’

Trachsel a bien raison de craindre les réactions de Leyvraz puisque le statut de rédaction élaboré un an plus tôt - en collaboration avec le rédacteur en chef - est désormais caduc ...

9 septembre 1960. Lettre de Gabel à Charrière : ‘"Excellence, Lundi, 5 septembre, Monsieur Trachsel m'a remis les documents - nomination et lettre personnelle - concernant mes fonctions de Directeur de la Rédaction du Courrier. Il m'aurait été agréable de vous exprimer de vive voix ma gratitude pour votre confiance et votre sympathie. Mais vous aviez, le jour même, une importante session. Je m'efforcerai de répondre à votre attente en donnant au Courrier la qualité technique, le standing professionnel qui seuls permettent aujourd'hui, dans le domaine de la presse, une influence apostolique à un journal chrétien. Cela a des exigences de travail et d'adaptation. Sans doute M. Trachsel vous a-t-il fait part de mes appréhensions, presque de mon effroi quand, le dimanche soir, à 22 heures, je suis sorti de la rédaction. Un quotidien est une fanfare qui joue en plein air, et non un orchestre de chambre : cela représente évidemment certains inconvénients."’ Gabel qui, avant son engagement, est vraisemblablement venu visiter les lieux (à 22h.00, donc forcément durant l'absence de Leyvraz ...) veut-il dire qu'il a été surpris par le tout petit nombre de rédacteurs présents le soir ? Puis suit un sage propos :

‘"Vous avez bien voulu accepter que je commence par faire un essai - une sorte de noviciat - et de ne pas m'engager du premier coup définitivement. Il vaut mieux pouvoir se séparer, éventuellement, à l'amiable que d'être réduit - de part ou d'autre - à réclamer avec fracas le divorce. Mais je ferai, de mon côté, tout ce qu'il faut pour qu'un mariage de raison et de coeur s'ensuive2459."’

Le 14 octobre, soit trois jours avant l'arrivée définitive de Gabel au Courrier, Leyvraz interroge Trachsel qui "nie catégoriquement2460" que ce religieux soit nommé directeur ! Le 17, Leyvraz accueille cordialement - semble-t-il - celui qu'il croit engagé comme aumônier. Il est détrompé le lendemain en recevant, de la secrétaire de l'administrateur, copie de la lettre de nomination qui est fort explicite. Jean de Fabrègues, rédacteur en chef de la France catholique, et Henri Schubiger, qui se trouvent alors auprès de Leyvraz, partagent sa stupéfaction. Le rédacteur en chef déclare alors à Gabel qu'il n'acceptera et ne tolérera ‘"pas [sa] présence au journal en raison de [sa] qualité d'étranger, de [ses] idées sur le quotidien et des fonctions dont [l'a] investi l'évêque2461"’. Cette réaction - qui sera bientôt celle de tous les employés du Courrier - rejoint tout à fait la description donnée dans l'analyse sociologique sur la mentalité genevoise qui n'entend pas se laisser mener par des étrangers. Leyvraz refusant dès lors d'entrer en dialogue avec le directeur de la rédaction, le "mariage de coeur" convoité par Gabel ne sera jamais célébré.

Voulant principalement moderniser le Courrier, le nouveau venu tente immédiatement ‘"d'axer davantage le journal sur l'actualité, de donner plus de nerfs à certains articles"’. Mais il est bientôt contraint d'interrompre cette action directe ‘"pour éviter des inconvénients plus graves qui [prennent] souvent la forme d'un sabotage matériel2462".’ En effet, l'équipe de rédaction - c'est-à-dire Leyvraz, Ganter, Schubiger et Haab - (Couturier ayant quitté le journal) est particulièrement ulcérée par cette ‘"mise sous direction française (...), tout entière inspirée et montée par l'administrateur (...)2463"’; elle s'y oppose de toutes ses forces, en tâchant aussi de faire intervenir en haut lieu quelques personnalités. C'est certainement pour cette raison qu'elle fait parvenir un rapport détaillé à Gonzague de Reynold. Au terme de ce long document, les rédacteurs2464 en tirent les conclusions suivantes :

‘"Nous estimons (...) qu'une direction étrangère ne saurait être admise dans un journal suisse et que les pouvoirs impartis au rédacteur en chef par le "statut de la rédaction" d'avril 1959, qui n'a jamais été dénoncé, doivent être rétablis dans leur intégrité. Cela fait, le problème d'une collaboration normale avec le R.P. Gabel peut être résolu, s'il accepte de demeurer au Courrier comme directeur ecclésiastique et aumônier. Enfin, l'équipe rédactionnelle du Courrier estime que le moment est venu de pouvoir assumer l'entière responsabilité de la rédaction du journal dans les limites d'un budget normal fixé par le Conseil d'administration après discussion avec le rédacteur en chef. Elle estime aussi que sa tâche est assez lourde et assez complexe pour être enfin délivrée de ce climat d'intrigues et de suspicion qui n'a cessé de régner au cours de ces dernières années. Ce jeu stupide et malfaisant cause un grand préjudice au journal sur le plan moral et donne un exemple déplorable de mésentente à l'extérieur. Nous voulons qu'il cesse2465."’

Quant à Gabel, il qualifiera en ces termes, dans une lettre adressée au vicaire général, ce qu'il considère être ‘"le début d'une action menée [par la rédaction] à l'intérieur et à l'extérieur, dans les milieux ecclésiastiques, politiques, professionnels : démarches, réunions, rapports, etc. Tout est dramatisé, déformé. Le fond de toute la campagne est inexact et [équivaut] en fait à une calomnie. Ma qualité d'étranger, notre complot pour jeter M. Leyvraz hors du Courrier, les idées aberrantes et l'agitation maladive que j'[introduis] dans le journal [sont] les thèmes exploités, sans parler d'attaques plus personnelles me concernant, ou visant, à travers moi, M. Trachsel"’ . Apparaît alors dans l'analyse de Gabel une constatation qu'il convient de retenir :

‘"M. Leyvraz n'aurait ni provoqué ces réunions, ni fait ces démarches, ni écrit ces rapports, s'il n'avait été excité et soutenu diversement, surtout par quelques amis. Laissons de côté ma qualité, ou plutôt mon péché, d'étranger ... (A quoi riment alors ces articles où la catholicité est exaltée et le nationalisme vitupéré ?) Passons au reproche principal : nous voulons mettre M. Leyvraz à la porte du Courrier. Vous savez que c'est une pure calomnie 2466."’

En voulant immédiatement s'imposer dans ses fonctions, Gabel s'est non seulement brouillé très vite avec les rédacteurs, mais aussi ‘"avec le personnel typographique, tellement exaspéré par ses exigences qu'il lui interdit l'accès de l'atelier2467"’. La résistance des typographes est tenace et particulièrement efficace. Malgré les vexations qu'il subit, le directeur de la rédaction écrit à Charrière : ‘"L'une de mes principales préoccupations est de ne pas jeter du sel sur les plaies que ma seule présence a ouvertes et qui tailladent encore chaque jour les inévitables réformes. Il nous faut sauver le journal sans briser les hommes, et même ce serait une bénédiction suprême si nous parvenions à les unir le plus possible2468."’ Trois mois après l'arrivée de Gabel, la situation est la suivante : le directeur de la rédaction se montre plus coulant avec l'équipe de nuit à laquelle il concède plus de liberté; en outre, ‘"il fait un effort visible pour être plus aimable (...)2469"’. Les rédacteurs constatent ‘"qu'il a renoncé, momentanément du moins, à chahuter radicalement la première page du journal. Il semble aussi ne plus vouloir monopoliser les informations et commentaires relatifs à la France, comme il [l'a fait] durant les deux premiers mois2470"’ . De son côté, Gabel relève que certains de ses collaborateurs déploient "une activité plus intense que par le passé", mais que la rupture avec lui s'accentue. ‘"Il est question maintenant que le rédacteur en chef vienne le soir de temps à autre pour des circonstances exceptionnelles ... ayant entendu, à travers sa femme, les doléances d'autres rédacteurs2471"’.

Nouvel épisode dans le feuilleton mouvementé du journal : un secrétaire de rédaction - Roger Villard de Thoire - va être engagé en 1961, sans que le rédacteur en chef soit consulté.

Notes
2451.

Lettre du Père Emile GABEL à Albert Trachsel, 6 avril 1960. Archives de l'Evêché, Fribourg, cote Xl Co 17 (1957-64).

2452.

Marcel Bonifazi avait remplacé Mgr Petit en 1956.

2453.

Lettre du Père Emile GABEL à Albert Trachsel, 6 avril 1960, op. cit.

2454.

C'est le terme de "directeur de rédaction" qui figure dans un brouillon. Celui-ci a été corrigé en "directeur de la rédaction"; ce changement ne vise-t-il pas à pointer de manière particulière sur toute l'équipe des rédacteurs ?

2455.

Lettre de Mgr François CHARRIÈRE au Père Emile Gabel. Citée dans le document "La situation de la rédaction du Courrier après l'arrivée du R.P. Emile Gabel", 24 janvier 1961, rapport non signé. Archives Bibliothèque nationale, Berne, fonds Gonzague de Reynold, dossier "Gabel", cote doss. div. 39, p. 5.

2456.

Projet de lettre de nomination. Non daté. Archives de l'Evêché, Fribourg, cote Xl Co 17.

2457.

Nous n'avons pas retrouvé ce document dans les archives de l'Evêché.

2458.

Lettre d'Albert TRACHSEL à Mgr François Charrière, 2 septembre 1960. Archives de l'Evêché, Fribourg, cote Xl Co 17 (1957-64).

2459.

Lettre d'Emile GABEL, A.A., à Mgr François Charrière, 9 septembre 1960. Archives de l'Evêché, Fribourg, cote Xl Co 17 (1957-64).

2460.

"La situation de la rédaction du Courrier après l'arrivée du R.P. Emile Gabel", 24 janvier 1961, op. cit., p. 2.

2461.

Lettre d'Emile GABEL à Mgr Marcel Bonifazi, 7 juin 1961, p. 2. Ce document nous a été remis par Pierre Dufresne, ancien rédacteur en chef du Courrier.

2462.

Ibid, p. 4.

2463.

"La situation de la rédaction du Courrier après l'arrivée du R.P. Emile Gabel", 24 janvier 1961, op. cit., p. 1.

2464.

Nous pensons que c'est Edmond Ganter qui a rédigé ce rapport, en lien avec ses collègues de la rédaction du Courrier.

2465.

"La situation de la rédaction du Courrier après l'arrivée du R.P. Emile Gabel", 24 janvier 1961, op. cit., p. 4-5.

2466.

Lettre d'Emile GABEL à Mgr Marcel Bonifazi, 7 juin 1961. Ce document nous a été remis par Pierre Dufresne.

2467.

"La situation de la rédaction du Courrier après l'arrivée du R.P. Emile Gabel", 24 janvier 1961, op. cit., p. 2.

2468.

Lettre d'Emile GABEL à Mgr François Charrière, novembre 1960, citée par Gabel dans sa lettre à Mgr Marcel Bonifazi, 7 juin 1961; op. cit., p. 4.

2469.

"La situation de la rédaction du Courrier après l'arrivée du R.P. Emile Gabel", 24 janvier 1961, op. cit., p. 4.

2470.

Ibid.

2471.

Note du Père Emile GABEL à Henri Flamand, président du Conseil d'administration, 1er mai 1961. Archives de l'Evêché, Fribourg, cote Xl Co 17 (1957-64).