7.2.1.2. La polyvalence : une pluricompétence circonscrite

Cette seconde approche, de nature synchronique, aidera, dans un premier temps, à repérer quelle peut être la meilleure adéquation entre compétences et organisation, et secondairement, à déterminer le niveau de polyvalence requis pour que chacun y trouve son compte.

Un point sur lequel tous les acteurs convergent, c’est que le champ de polyvalence doit être délimité, pour qu’il y ait une bonne connaissance de l’activité, et une bonne maîtrise des techniques, sans déstabiliser la personne.

Nous ne reviendrons pas sur les avantages et les limites, relatées dans le chapitre précédent. Là encore, ils se retrouvent globalement chez tous les acteurs (manipulateurs radio, infirmières, cadres, directeurs et médecins).

Les débats relatifs à la polyvalence reposent le plus souvent sur son imprécision. Sur le fond, les acteurs y sont favorables, mais à condition d’en connaître :

La polyvalence nous semble ainsi être synonyme de « pluricompétence ».