2. De Lyon au Grand Lyon

2.1. Lyon

2.1.1. La détermination

Ce qui permet de dissocier une occurrence de « ville » qui renvoie à Lyon d’une autre qui s’applique au même désignant, ce sont ce que Wagner et Pinchon ont appelé les déterminants spécifiques, à savoir ceux qui, toujours placés à la gauche du substantif et non combinables entre eux, indiquent le degré d’identification du référent que prête le locuteur au destinataire, à savoir : l’adjectif possessif, l’adjectif démonstratif et les articles415. S’il est couramment admis que ‘“le morphème “un” est le signe d’une tension antiextensive, c’est-à-dire orientée du général au particulier, [et] le morphème “le” est le signe d’une tension extensive, du particulier au général”’ 416, il faut bien reconnaître que cette distinction n’est guère opérationnelle dans l’approche de « ville » dès lors que ce terme sert à désigner Lyon dans le discours éditorial de Lyon-Libération. A tel point qu’une présentation de la détermination par l’article dans la lignée de Guillaume nous semble préférable :

‘La caractéristique essentielle de l’article est d’être soumis à un mouvement orienté qui va de l’universel au particulier pour l’article un et du particulier à l’universel pour l’article le. Le rôle du discours est d’arrêter le sens de l’article à un instant précoce ou tardif du mouvement général. Ainsi, les deux articles un et le peuvent avoir des effets de sens très voisins suivant qu’ils sont pris au début du mouvement de particularisation ou à la fin du mouvement de généralisation ou suivant que leur saisie se place en fin de particularisation ou en début de généralisation.417

On voit qu’à ce niveau est introduite la notion de “mouvement général” dont la conséquence peut être de rendre similaires un et le selon la place qu’ils y occupent. A l’examen, la plupart des occurrences de « la ville » et de « une ville » qui sont présentes dans notre corpus, qu’elles soient ou non accompagnées de compléments, réfèrent à l’être individuel Lyon. Ce à quoi il nous a paru intéressant de procéder, c’est de calculer de nouveaux écarts réduits pour la forme « ville » lorsqu’elle réfère à Lyon sans doute possible, après avoir pris soin d’en distinguer les différents types de contextes énonciatifs (ou cotextes), soit :

  • « cette ville » (+ expansion le cas échéant) ;

  • « la ville » (idem)418 ;

  • « une ville » (idem) ;

  • ainsi que la construction attributive Lyon être une ville + expansion rencontrée à plusieurs reprises dans notre corpus. Dans ce cas, outre la copule être, ont été prises en compte les formes verbales dérivées, comme paraître ou rester. D’autre part, nous avons estimé, à la suite de Véronique Magri, qu’une expression telle « Lyon, ville née de l’eau » était rattachable de fait à cette catégorie, puisque l’apposition qui la constitue établit une relation attributive mais sans copule419.

De cette subdivision il ressort un net hiatus entre les deux premières périodes, puisque la première sur-emploie les expressions avec article indéfini - « une ville » (+ expansion éventuelle) ” (+3.1) et Lyon être une ville + expansion (+3.7) - tandis que la seconde privilégie « la ville » (+2.7) et « cette ville » (+2.0) [-2.9 pour la période 3], que l’un et l’autre de ces syntagmes soient accompagnés d’un complément ou non. Nous pouvons d’ores et déjà signaler, à titre informatif, que si « ville » se trouve surreprésentée dans la troisième période, c’est en tant que terme ne permettant pas d’identifier un référent précis (+4.0, contre -2.5 pour la période 1), que ce soit dans des expressions génériques comme « la ville de demain », « changer la ville pour changer la vie », « l’écologie de la ville » voire dans un énoncé tel que celui-ci : « quel socialiste aurait droit à (...) une visite « impromptue » [du président de la République] dans sa ville ? » (bien que les communes dirigées par un maire socialiste ne soient pas légion dans la Courly, il n’empêche que « sa ville » est susceptible d’en recouvrir plusieurs). Cette propension d’occurrences tendant vers la généralisation est peut-être à raccorder au fait que l’institution d’un ministère de “la ville” et l’instauration d’une loi d’orientation pour “la ville” sont contemporaines à la troisième période rédactionnelle.

Avant de regarder de plus près les deux types d’expansion de « ville » surreprésentés dans le discours éditorial de la première période, il va falloir nous pencher sur les spécificités d’emploi propres à la seconde : « cette ville » et « la ville » (+ expansions éventuelles). On sait que, d’un point de vue sémantique, l’emploi du déterminant démonstratif (dans sa version féminine ici : « cette ») peut être déictique ou non. Dans le cas où l’interprétation du référent visé ne dépend pas de la situation d’énonciation, elle est d’ordre anaphorique, ce qu’Oswald Ducrot a très bien décrit :

‘Je n’ai pas le droit de dire Ce X, s’il n’existe pas un X qui, ou bien est perceptible par mon interlocuteur au moment où je lui parle, ou bien est mentionné par ailleurs dans le discours : le démonstratif ne s’emploie qu’en présence de l’objet (présence dans le contexte linguistique ou dans la situation extra-linguistique). Au contraire, le défini s’emploie aussi bien in absentia. Plus précisément, il suffit, par lui-même, à donner une sorte de présence à l’être dont on parle, à le constituer comme objet possible du discours, ce qui revient à dire qu’il le présuppose.420

Bien que nous nous placions plutôt dans la perspective “traditionnelle” telle qu’elle est ici présentée, nous n’évacuons pas pour autant la position de Louise Guénette selon laquelle ce annonce la présence en discours d’un certain contenu de pensée que le locuteur vise à exprimer. La seule difficulté se situe dans la distinction qu’opère cette auteure entre objets de première mention et objets de seconde mention. Si cette distinction recoupe en effet la répartition entre référence extra-linguistique (situation d’énonciation) et référence intra-linguistique (cotexte), il n’en demeure pas moins que cette distribution se fonde chez Louise Guénette sur une définition différente de ce qu’est le référent. Dans son optique, celui-ci n’est pas entendu comme ce que sert à montrer le démonstratif, mais comme un certain contenu momentané de pensée. Dans ces conditions, un objet de première mention recouvre la présentation, par l’intermédiaire du démonstratif, d’un objet de pensée introduit dans le discours pour la première fois. Pour Louise Guénette, l’évocation d’un nouvel objet de pensée entraîne des différences selon le type de réalité extra-linguistique mis en cause, variantes qu’elle a classées selon cinq paramètres : évocation d’un lieu ; désignation d’un objet présent visible ; désignation du locuteur ou de l’allocutaire ; évocation d’un objet présent non visible ; évocation d’un espace de temps421. L’expression « cette ville » qui nous occupe ici relève de la première d’entre elles, dans laquelle l’emploi du démonstratif implique une représentation d’espace. Dans ce cas, le démonstratif apporte ‘“une image d’inclusion du sujet parlant dans le lieu évoqué par le substantif”’, ce qui rapproche l’expression de l’adverbe ici 422.

Une telle description se trouve être en adéquation avec la plupart des emplois de « cette ville » dans le discours assumé de Lyon-Libération, y compris lorsque « Lyon » ou « la ville », pour ne citer qu’elles, peuvent faire office d’antécédents que « cette ville » aurait pour fonction de remplacer dans la suite du discours. C’est dire combien la notion de “première mention” est difficile à apprécier dans notre perspective, y compris lorsque chaque éditorial, billet et commentaire est pris en charge comme nouveau texte à part entière. La raison majeure à cette difficulté provient certainement du fait que la ville qui sert d’appoint au discours éditorial est en même temps, de façon empirique, celle depuis laquelle celui-ci est tenu. Plus exactement, il est difficile dans ces cas de faire la part entre Lyon réalité extra-linguistique et Lyon réalité intra-linguistique, pour reprendre la terminologie utilisée par Louise Guénette. Ainsi, lorsque le journal écrit : « Un fleuve de croyance fera son lit dans Lyon d’ici trois semaines. Les plus anticléricaux de cette ville, qui n’en a pas manqué, n’en feront pas une affaire »423, comment interpréter « cette ville » ? Malgré la faible distance entre « Lyon » et « cette ville », il est impossible d’avancer avec certitude que « cette ville » soit une reprise de « Lyon ». Si cette expression est susceptible d’équivaloir à la ville dont je viens de parler, elle peut tout aussi bien être traduite par la ville que je vous montre du doigt présentement voire par la ville que je désigne à votre attention après l’avoir dénommée (pour que vous sachiez de quoi il en retourne exactement). Dans certains cas cependant, la valeur anaphorique du démonstratif ne fait guère de doute, comme dans l’exemple suivant : « « Pour faire du business à Lyon il faut obligatoirement un cheval de troie local, sinon on n’entre pas dans cette ville », entend-on dire ici ou là, de Toulouse à Tokyo »424. Dans ce cas, « cette ville » constitue une anaphore dans la mesure où le pseudo-discours rapporté dans lequel l’expression est insérée est censé avoir été prononcé depuis des sites éloignés (« Toulouse », « Tokyo »), pseudo-lieux d’existence du sujet parlant qui interdisent une représentation inclusive de l’espace de Lyon. De son côté, et à l’instar du démonstratif, l’article défini peut fonctionner soit comme déictique, soit comme anaphorique. Du reste, se pose à l’égard de « la ville » le même problème que celui qui vient d’être soulevé avec « cette ville », à savoir le dédoublement du référent Lyon, ville objet du discours et site depuis lequel parle l’énonciateur. Par rapport à « la ville », « cette ville » - qui pourrait dans la plupart des cas se substituer à « la ville » dans notre corpus - apporte en quelque sorte un surcroît d’ostension, accentue le geste qui consiste à montrer du doigt l’objet dont on parle. Elle correspond donc davantage à une posture du journal, au sens physique du terme. En même temps qu’il “discourt” sur la ville - littéralement qu’il “court de plusieurs côtés” -, le journal fait en sorte, dans la deuxième période, d’en figer le cadre “matériel”, seul constituant de son dire à n’être soumis à aucune fluctuation.

Les emplois indéfinis de « ville » dans la première période servent pour l’essentiel à mettre en scène Lyon depuis ce qui constituerait son intériorité. A cet égard, il est symptomatique que près d’une occurrence sur 2 de « une ville » (soit 5 sur 13) se trouve précédée de « dans » ou suivie de « où », comme dans l’exemple suivant : « ces coûts [du Nouvel Opéra] sont seulement au niveau des ambitions lyriques d’une ville... où la construction de l’ancien opéra, il y a un siècle, provoqua les mêmes réticences à courte vue »425. Comme a eu l’occasion de le signaler Harald Weinrich, le “dans” inhérent aux expressions “dans l’école”, “dans l’église” et “dans la ville de Paris”

‘indique une délimitation actancielle sur au moins deux côtés : pour l’école et l’église, par les murs de la construction ; pour la ville de Paris soit par les limites administratives strictes, soit par les limites urbaines au sens de ce qui est construit.426

Ce que décrit cet auteur relève bien d’une dimension inclusive de l’espace telle qu’on la trouve exprimée dans notre corpus à propos de Lyon, même si le discours éditorial de Lyon-Libération privilégie dans la première période l’usage de l’article indéfini plutôt que défini. Cette utilisation a pour effet de créer une distanciation entre le journal et la ville qu’il commente, alors même que le site dont il parle est aussi celui qui l’englobe. Peut-être serions-nous en présence dans ce cas d’une écriture de la dissociation dont le but ultime serait de rendre perceptible le décalage entre une réalité urbaine empirique commune et un dire à son égard. Ce qui permettrait au journal, en dernier recours, de s’affirmer comme l’instance “révélatrice”, dans un sens proche de celui prévalant dans le domaine de la photographie : il y a la ville à vivre et celle que nous sommes à même de vous “révéler” depuis notre site, qui n’est pas celui de la presse “régionale” traditionnelle. Lorsque Robert Marmoz rebondit sur la proposition - ironique - de l’adjoint aux sports de faire « des tournois de volley-ball à l’Auditorium » en écrivant : « Voilà qui bougerait au moins un peu dans une ville qui, malgré ses autoproclamations internationales, paraît décidément vouée à une frilosité sous-préfectorale »427, le passage par une tournure indéfinie semble commandé par le souci de placer la position “lyonnaise” dans un registre contrastif tout en la singularisant, le propos revenant au final à laisser entendre que toute autre ville disposant d’un équipement similaire accueillerait ce type de manifestation sans sourciller. Il n’est d’ailleurs que de comparer avec l’énoncé qui ouvre le même éditorial : « Lyon n’aurait-elle pas les moyens de ses ambitions ? Voilà que la ville qui aspire au grand large international se trouve - bêtement - en panne d’inspiration ou de finances, incapable de résoudre un « problème technique » qui lui interdira probablement de recevoir une des stars du rock internationales ». Ici, l’emploi de l’article défini est de rigueur dans la mesure où il s’agit de décrire la ville à l’aune d’une de ses caractéristiques “en propre”, distinction qui se suffit à elle-même et qui ne nécessite pas de suggérer une comparaison avec d’autres villes. Dans certains cas cependant, l’utilisation de l’article indéfini est à raccorder à une exploitation numérique - quand le journal fait savoir que l’éviction d’un entraîneur « n’était certainement pas le meilleur moyen de préparer psychologiquement un club et une ville à un passage européen », ce sont bien un club et une ville qui sont en cause et non deux, trois ou plus -, ou à une transposition de Lyon dans un registre virtuel. Ainsi, il ne semble pas faux de penser que la conjonction du conditionnel et d’un article indéfini (plutôt que défini) pour présenter un « musée de la Résistance » à venir - « un espace hostile pour tous ceux qui voudraient une ville sans mémoire » - soit le seul moyen qu’ait eu le journal de faire accéder le lecteur à ce qu’il aurait été possible qu’il se produisît si jamais la construction de ce lieu n’avait pas été envisagée. Le recours à un énoncé hypothétique est également avéré au moment où le journal commente les propos de Jean Labasse selon lesquels Lyon doit s’engager dans une politique autre que celle de la “suburbanisation”, même si c’est alors sous couvert d’une construction attributive :

‘Avec ou sans fonctionnaires américains à demeure (outre ceux d’Interpol), ce serait une ville à la hauteur, par exemple, des techniciens lyonnais qui viennent de participer à l’appropriation d’Union Carbide-Agrochimie par Rhône-Poulenc. Une ville où il serait encore plus naturel pour un peintre lyonnais (...) d’échanger son atelier avec un New-Yorkais.428

En fait, la construction attributive permet au journal, dans son discours assumé de la première période, de donner à lire Lyon par le biais :

  • d’un enrichissement modal de être doublé d’une sémantisation de « Lyon », laquelle revient à “construire l’unicité de l’individu à partir d’une multiplicité interne429 : « La Lyon terrestre semblait une ville morte ce week-end » (après la visite du pape) ;

  • d’un indicateur de permanence d’état conservant à Lyon une qualité qui lui serait propre, par-delà le souhait des Etats-Unis « de retirer leur consulat d’une ville qui vient d’organiser le championnat mondial de la gastronomie » : « Par ces chefs-là, en effet, Lyon reste une « ville-monde » incontournable où l’on ne discute même pas de nourrir grassement des ambassadeurs permanents »430. On a vu que « monde », à condition que ce terme renvoie à la communauté des hommes vivant sur terre (ce en quoi il peut être complété par « entier »), est sur-employé dans la première période (+2.4). L’éditorial de René-Pierre Boullu qui accompagne l’entretien accordé par Jean Labasse comporte pas moins de quatre items qui déclinent le référent monde : « ambition mondiale », « mondialisation non proclamatoire », « championnat mondial de la gastronomie » et « ville-monde ». Il serait possible de rapprocher cette dernière expression d’un énoncé extrait du premier éditorial du journal, publié dans le numéro initial : « Lyon commerce avec le monde entier ; le monde entier est déjà dans Lyon ». En fait, seule la deuxième partie de celui-ci se rapproche du syntagme « ville-monde ». C’est en effet le terme « monde » qui assigne à « ville » une qualité associée au référent qu’il dénote, et non l’inverse (déductible au contraire de ?? un monde-ville). En tous les cas, avancer que Lyon est une ville-monde n’a en dernière analyse rien à voir avec le discours qui consisterait à dire qu’elle est mondiale. Ce qui privilégie une fois de plus une lecture de la ville depuis son intériorité, sur le mode centripète ;

  • de la copule être : « Lyon est, dans ce domaine [le terrorisme] comme dans bien d’autres, une ville étape, un relais ou une base arrière à ménager, un carrefour »431. Véronique Magri dit de la construction attributive qu’elle

‘permet d’établir, entre le sujet et l’attribut réunis par le verbe copule, une équivalence d’autant plus exacte que c’est le verbe “être” qui est employé. Si ce dernier est conjugué au présent de l’indicatif et qu’on peut lui attribuer une valeur gnomique [i.e. sentencieuse], l’énoncé s’inscrit dans le cadre des vérités intemporelles, des clichés qui traversent les époques, inexpugnables.432

C’est à cette définition que semble pouvoir être rattaché l’extrait cité, paru tandis que le journal fait un retour sur le passage par Lyon de Georges Ibrahim Abdallah. Ceci paraît d’autant plus exact que l’incise « dans ce domaine comme dans bien d’autres » en élargit l’assise à une multiplicité d’autres, tendant au final à faire la ville « étape », « relais », « base arrière à ménager » et « carrefour » en plusieurs, voire en la totalité, de ses déclinaisons envisageables. Ce qui confine proprement au “lieu commun”.

Notes
415.

Grammaire du français classique et moderne, Paris, Hachette, 1991.

416.

Véronique Magri, Le discours sur l’autre, op. cit., p. 118.

417.

Jean Gouazé, “L’énonciation des titres”, in Stratégies de la presse et du droit, Lyon, PUL, 1979, p. 140. L’auteur prend appui sur un article de G. Guillaume : “Particularisation et généralisation dans le système des articles français”, in Le français moderne, avril-juin 1944.

418.

Les quelques occurrences de « sa ville » et de « leur ville » ont été rattachées à cette catégorie dans la mesure où ces tournures peuvent être décomposées en la ville de X. Ajoutons encore que le syntagme “« la Ville [ou ville] de Lyon » (5 occurrences dont 4 pour la seule période 2) n’a pas été retenu dans les calculs, même si l’identité référentielle entre le substantif et le nom propre n’en entraîne pas moins la différence syntaxique, au contraire de ce qu’enseigne le tour urbs Roma en latin, langue dans laquelle le déterminant Roma s’accorde en cas avec le déterminé.

419.

Le discours sur l’autre, op. cit., p. 249.

420.

Dire et ne pas dire, Paris, Hermann, 1980 (2ème éd.), p. 241.

421.

Le démonstratif en français, Paris, Honoré Champion éd., 1995, pp. 161-167.

422.

Idem, p. 163.

423.

Ciel muet, Editorial Pierre Scize, 18 septembre 1986. Rappelons que Pierre Scize est un pseudonyme auquel la rédaction a parfois eu recours pour signer “collectivement”.

424.

Commencer par ouvrir les portes, Commentaire Michel Lépinay, 4 mars 1989.

425.

Fictions lyriques, Editorial René-Pierre Boullu, 31 octobre 1986.

426.

Grammaire textuelle du français, Paris, Didier/Hatier, 1989, p. 424.

427.

Lyon, sous-préfecture internationale ?, Editorial Robert Marmoz, 24 avril 1987.

428.

Building’s dream, Editorial René-Pierre Boullu, 3 février 1987.

429.

Selon Marie-Noëlle Gary-Prieur. L’opération inverse consisterait à construire “à partir de l’unité de l’individu, une multiplicité d’autres individus qui lui sont comparables”, à l’instar d’un énoncé qui proférerait par exemple que Turin est la Lyon d’Italie (cf. “Figurations de l’individu à travers différentes constructions du nom propre en français”, in Cahiers de praxématique, 27, 1996, p. 66).

430.

Building’s dream, Editorial René-Pierre Boullu, 3 février 1987.

431.

Les arrières, Editorial René-Pierre Boullu, 19 septembre 1986.

432.

Le discours sur l’autre, op. cit., p. 123.