Conclusion de section

Approcher les dynamiques actuelles, en tant que processus par lequel la société se structure dans l’espace et cela à toutes les échelles nous semble, en définitive, d’autant plus convaincant, que ceci nous permet de résoudre de façon relativement satisfaisante les contradictions apparentes entre le renforcement de la métropole et l’extension des franges périurbaines.

Cela nous permet également de retisser le lien entre une propension nationale et internationale à la concentration et une autre locale à la dispersion.

Ceci nous autorise, enfin, à réintégrer les évolutions en cours dans le cadre plus général du processus multi-séculaire d’urbanisation et de les relire non pas comme une désorganisation ou une déconstruction des villes, mais comme une réorganisation ou une restructuration des systèmes socio-spatiaux urbains à une échelle qui dépasse désormais amplement le cadre d’une simple ville agglomérée.