J’adopterai la même démarche que précédemment, mais sur un corpus d’articles qui, quoique plus réduits dans l’ensemble, offre un contenu et une structuration bien autrement coriaces ! Pour ce mot également donné comme polysémique, on retrouve les deux types de présentation proposés précédemment. Le PR opte à nouveau pour une simple succession de sous-entrées définitionnelles (il y en a trois). Le GLLF (à la différence de l’article précédent) et le TLF choisissent une structuration arborescente plus ou moins complexe, qui se rattache à deux nœuds principaux (I / II pour le GLLF, A / B pour le TLF). Mais le GLLF ne présente que deux niveaux, alors que le TLF parvient là encore, au-delà des chiffres et des lettres, à un cinquième niveau de profondeur... Quant au GR, il occupe une place un peu à part. À première vue, il semble préférer le principe de l’énumération des sous-entrées définitionnelles (6 en tout). Mais d’une part, certaines sous-entrées connaissent des subdivisions (en 2a, b), et d’autre part on trouve en ouverture de l’article, en dehors de tout signe introducteur, une définition isolée à laquelle la totalité de l’article est supposée se rattacher !
Observons et comparons les différents critères de structuration retenus et exploités par les dictionnaires 183 .
. Je reprendrai ici les normes de présentation adoptées dans la partie précédente.