1. 4. Et ailleurs...

Il reste à voir quelques airs dispersés, qui font l’objet de notations brèves. Allons d’abord au nord de Paris, et arrêtons-nous à Chaulnes, à l’est d’Amiens, ce dimanche 24 avril 1689, où Mme de Sévigné écrit à sa fille :

‘56. Je crains aussi que l’air de Grignan ne vous gourmande et ne vous tourbillonne. Ah ! < que cela est fâcheux ! Je crains déjà que vous ne soyez emmaigrie et dévorée. Ah ! > plût à Dieu que < votre air > fût comme celui-ci, qui est parfait ! (t. 3, l. 1102, p. 584)’

Nous n’en saurons pas plus sur cet air-là, sinon que, dans sa perfection, il n’a rien de comparable à l’air de Grignan...

L’air de Nantes et l’air de Bourbilly sont, à leur tour, mis en parallèle avec l’air de Provence :