III – AIR-VECTEUR DE MALADIES

Si l’air s’approprie en quelque sorte les phénomènes atmosphériques naturels, il n’est pas indifférent aux humains qu’il environne, dont il reçoit et transmet les maladies. En tant que tel, il peut être considéré comme élément-vecteur.

J’ai relevé les occurrences suivantes :