1.2 - Le modèle du "dutch disease" proprement dit.

Soucieux d'introduire plus de réalisme par rapport à la présentation précédente, le modèle du "dutch disease" opère une double distinction :

Une telle répartition sectorielle permet de mettre en évidence, à un niveau plus fin, les effets d'un "boom" puisque trois secteurs au lieu de deux sont concernés. Elle permet, par ailleurs, de mesurer le poids de l'ajustement pour chaque secteur. Le taux de change réel, prix relatif des "tradeables", et le taux de salaire jouent un rôle crucial dans l'ajustement.

Le modèle de R.G. GREGORY n'envisage que le taux de change réel comme variable d'ajustement auquel celui de J.P. NEARY et de W.M. CORDEN ajoute le taux de salaire.