Conclusion B

Cette photographie laisse apparaître un marché très particulier, hétérogènes : les offreurs ont des cultures différentes, des stratégies différentes, des domaines de compétences différents, des spécialisations différentes..., d'où une "population opaque" (V. PEYRACHE 1994), ce qui rend délicate une identification claire de ce secteur.

Cela dit, avec d'un côté des demandeurs très spécifiques (du point de vue de la taille, du domaine d'activité, de la culture, des connaissances, des représentations, etc.), plus exigeants, plus conscients du rôle du conseil sur leur performance, et de l'autre, des offreurs très hétérogènes, l'activité des conseils semble certes difficilement identifiable, mais aussi d'une grande créativité.