UNIVERSITE LUMIERE - LYON 2
U. F. R. DE LANGUES
THESE
pour obtenir le grade de
DOCTEUR DE L’UNIVERSITE LYON 2
Discipline : Etudes anglophones
PHOTOGRAPHIE ET PROGRESSISME :
T he P ittsburgh S urvey, 1907-1914
Directeur de thèse : M. François BRUNET
JURY :
Mme Catherine COLLOMP
M. Jean HEFFER
M. Jean KEMPF
Mme Catherine POUZOULET

Avertissement 

De septembre 1996 à l’été 1999, les recherches effectuées dans le cadre de cette thèse ont été dirigées par M. Roland TISSOT. Pour des raisons administratives, il n’a pu accompagner les dernières étapes de ce travail, laissant ce soin à M. François BRUNET.

Remerciements

Mes premiers remerciements vont simultanément à MM. Roland Tissot et François Brunet, directeurs successifs d’un travail sur lequel leur influence est considérable. M. Tissot m’a guidé pendant les trois premières années. La justesse de ses remarques et de ses suggestions, ses encouragements à ne pas reculer devant l’obstacle et sa compréhension chaleureuse dans les moments les plus délicats ont permis à cette thèse d’arriver à son terme. Le soin avec lequel il a transmis la lourde tâche de me lire et de m’aider à François Brunet a rendu cette transition délicate à la fois parfaitement naturelle et extrêmement stimulante. L’essentiel de la rédaction a été supervisée, aiguillonnée, corrigée et enrichie par les lectures et les commentaires de M. Brunet. Sa connaissance de l’histoire de la photographie américaine et de ses enjeux a constitué un garde-fou constant, ainsi qu’une garantie de rigueur et d’exigence dans la réflexion et la rédaction. Son implication dans un projet dont il est un peu à l’origine, lors d’une année de DEA qu’il avait accompagnée avec la même attention et le même enthousiasme, a été particulièrement précieuse dans les dernières étapes de ce travail.

Je tiens à remercier MM. Marc Chénetier et Jean Kempf d’avoir pris le risque de m’offrir quelques pages, ou une tribune, pour des ébauches de réflexion sur la photographie. A Pascale Voilley, pour les mêmes raisons, et pour m’avoir invité à Princeton à un moment où j’en avais bien besoin, vont à la fois ma gratitude et mon affection. Merci à David Bellos.

L’accueil chaleureux de M. Jean Heffer dans son séminaire à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales n’est pas étranger à la forme et au contenu des premiers chapitres de cette thèse, qui ne rendent pas justice à l’étendue des grands espaces historiographiques explorés à cette occasion.

Professeurs à l’Université de Pittsburgh, Mme Maurine Greenwald et M. Richard Oestreicher m’ont fait partager leur connaissance de la Pennsylvanie et de la période. Ils m’ont en outre permis de consulter des sources primaires extrêmement précieuses, venues compléter et enrichir les informations et les interprétations fournies par leurs nombreux travaux sur Pittsburgh à l’époque du Survey. Maren Stange, dont le livre Symbols of Ideal Life, acheté en 1994 à New York, est le véritable point de départ de l’ensemble de mon travail sur la photographie sociale américaine, a eu la gentillesse de me recevoir et de m’encourager. Enfin, il me faut souligner que l’efficacité des recherches menées aux Etats-Unis doit beaucoup à la disponibilité et à la compétence de Miriam Meislik (Hillman Library, Université de Pittsburgh), de Gil Pietrzak (Carnegie Library of Pittsburgh), et de Joseph R. Struble (George Eastman House, Rochester).

Merci à M. Jean-Marie Douteau, ancien Proviseur au Lycée André Malraux de Gaillon, d’avoir fait ce qui était en son pouvoir pour m’aider à concilier, pendant un an, les obligations d’un enseignant du secondaire et les contraintes liées à la recherche.

Merci à Jérôme Bain, Anne-Sophie Cabon, Sabina Mondello, Manuela Morabito et François Tellier. S’ils ne savent pas pourquoi, moi oui.

Ce travail est dédié à mes parents, qui le méritent cent fois.
Et à Maïté, évidemment.