Je tiens à remercier Christine Hamon, qui a dirigé ce travail dans sa longue maturation, et dont les commentaires et les suggestions m’ont été extrêmement précieux pour orienter et préciser ma recherche.
Je remercie également vivement Catherine Kerbrat-Orecchioni, qui a porté un regard rigoureux et stimulant sur les étapes essentielles de ce travail, et qui m’a soutenue par ses marques d’intérêt et ses encouragements.
Je remercie particulièrement Jean-Pierre Vincent, qui le premier, et avec une remarquable hospitalité, m’a ouvert les portes des répétitions qu’il animait, me permettant de découvrir cette parole de mise en scène qui allait devenir l’objet de toute ma recherche.
Je remercie en outre Fabien Boully, pour ses judicieux conseils bibliographiques qui m’ont ouvert de prolifiques horizons, et pour son vigilant travail de relecture ; Mireille Losco, dont le soutien sans faille et les innombrables conseils m’ont été infiniment secourables ; Geneviève Pruvost et Guillaume Bridet qui n’ont jamais manqué à l’appel lorsque j’ai eu besoin de leur aide amicale ; mes parents, Dominique et Jeanne Bernard, pour leur scrupuleux travail de relecture et le souci du mot juste qu’ils m’ont appris à rechercher ; ma sœur, Flora Bernard, pour son aide technique et sa bienveillante attention, et mon frère Matthieu Bernard : ensemble, ils ont soutenu mes efforts de leur constante sollicitude, et ont su, au long de nombreuses conversations, m’aider à démêler bien des fils.
Je remercie enfin Raphaël Schneider, qui a accompagné chaque jour l’élaboration de cette recherche et en a subi les redoutables exigences : je le remercie pour les références cinématographiques vers lesquelles il a su m’orienter, mais aussi pour son écoute vigilante et patiente, son enthousiasme et sa confiance, qui m’ont permis, au fil des ans, de mener à bien cette entreprise.