2) Convenance esthétique interne

Revenons maintenant aux deux axes référentiels par rapport auxquels le jugement esthétique s’articule : Anne Ubersfeld évoquait ainsi celui de « la convenance esthétique interne des éléments les uns par rapport aux autres ». Il est évident que bien des jugements se font à l’aune d’une certaine idée de cette « convenance » interne, mais il serait erronné de penser que cette convenance est acquise aux praticiens comme une donnée pré-construite, un système de règles de conformité, de cohésion interne qu’ils n’auraient qu’à mettre en pratique.