Relecture de III, 1 et 3
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Jean-Pierre Vincent : Evidemment c’est difficile de travailler ces effets à la table. Il faut rétablir l’urgence d’une fin d’empire. Il doit y avoir plus d’accusation du cousin France. le Duc a vraiment un gros souci, il y a une gravité de la situation. La rage de la défaite doit être le moteur du jeu du Duc. Il faut une violence qui fasse avancer la scène. Philippe (Cachia) nous mettra des bruits de bombes...
Les succès militaires de Bertrand sont l’effet des prières d’Hélène, de ses invocations aux balles. -
Bernard Chartreux : Hélène sauve le Roi; Bertrand sauve le Duc. Donc ils sont faits l’un pour l’autre.
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Jean-Pierre Vincent : Les scènes avec le Duc sont à mettre sur un mode de récit spécial, il faut les traiter comme une excroissance. Il y a une extra-territorialité stylistique.