Lecture de III, 5 et 6

• Jean-Pierre Vincent : (6) Il ne faut pas forcer sur la pruderie et le puritanisme de Bertrand. Il demande à Du Maine de venir voir Diana juste pour être en bande.
  (5) Pour l’arrivée d’Hélène : elle entrera par la salle, avec une cape et une capuche de pèlerine : on ne voit pas son visage. Les soldats décrits par les femmes sont imaginaires, ils défilent côté spectateurs. Paroles arrive, lui, par le fond du plateau. Il faut introduire du malaise chez Diana, une hésitation par rapport à Hélène.
  (6) Bertrand, c’est le capitaine de l’équipe de foot ; le match est gagné, on est dans les vestiaires.
• Marc Bodnar : Pourquoi Paroles se ronge-t-il pour son tambour?
• Jean-Pierre Vincent : Il est humilié de s’être fait marcher dessus, mais en plus c’est une stratégie pour qu’on ne lui tombe pas sur le dos. Il affiche une dignité qu’il n’a pas.(Sur une proposition de Marc qui semble s’endormir avant la réplique de Bertrand) : Paroles exécute son texte au pied de la lettre : sur “ hic jacet ”, il s’étend sur la tombe.
  Bertrand parle de Diana comme d’une voiture à examiner avant de l’acheter.

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