Lecture de III,5

(Des mannequins évoquant des cadavres jonchent le sol ; des chaises évoquent les fascines ; Jean-Pierre Vincent décrit la trajectoire globale des personnages. Les filles semblent un peu perdues en découvrant ces éléments de décor. Elles jouent toutes de dos ; Jean-Pierre Vincent récupère cet "effet" involontaire en organisant l'image, et construit volontairement une scène de dos. L'accessoiriste assiste à la répétition, et apporte au fur et à mesure les éléments qui s'avèrent nécessaires : il donne à Hélène son bâton de pèlerine. Peu à peu, les filles prennent de plus en plus d'initiatives, qui s'avèrent très justes.)

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