III, 2
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Jean-Pierre Vincent : C’est la lettre la plus importante de la pièce ; il faut l’entendre. Quand la Comtesse lit cette lettre, elle est au service de la lettre. Il ne faut pas trop commenter pour transmettre très clairement le texte. On est neutralisé par le texte qu’on lit, sans quoi le spectateur est mobilisé sur une autre écoute.