III, 7 : Jeu

• Jean-Pierre Vincent : Ça ne va pas. Le début est un chantage au départ
• Myrto Procopiou : C’est un complot mais c’est aussi pour Diana une façon de rencontrer Bertrand ; elle espère...
• Jean-Pierre Vincent : Chez Boccace, elles entrent dans une pièce, elles s’asseyent et elles parlent - sans Diana ; on retrouve Diana plus tard, avec Bertrand. Ici, la veuve veut couper les ponts : elle est offusquée, tandis que Diana est plus conciliante : parce que tu veux en savoir plus, dans un sens ou dans l’autre. Alors quand Hélène explique qu’elle prendra ta place, tu es surprise plus que jalouse. Ce qu’Hélène a dit au repas, c’est toute l’histoire : qu’il a abandonné sa femme, tout ça, donc Diana qui est riche de cette information ne peut pas être une amoureuse romantique et neu-neu.
  On va repartir sur la même base : une Diana qui essaie de s’interposer et une Mariana gênée d’assister à tout cela.

(Jeu)

• Jean-Pierre Vincent : C’est bien d’avoir retiré l’appât du gain. Mais quand même, l’apparition d’une bourse d’or change les rapports. On doit entendre dans les explications d’Hélène : <Laissez-moi finir>, <Ecoutez-moi jusqu’au bout>.

Jeu

Jean-Pierre Vincent ponctue les phrases du texte de leur prolongement implicite, verbalise les réactions muettes :

Hélène : “ Laissez-la enfin consentir ”

• Jean-Pierre Vincent : <Ah, ça, certainement pas>
  “ Nous la dirigerons pour qu’elle sache comment s’y prendre
  Alors, le sang bouillonnant de l’homme ne refusera rien
• Jean-Pierre Vincent : <ben ça, tu m’étonnes>
• Hélène est comme un marchand de meubles. “ Que l’heure et le lieu favorisent une si honnête entreprise ” la veuve hâte le processus : c’est ici et maintenant : <je vais vous donner un plan :>“ Chaque nuit, il vient... ”

* * *