III ; 6

(Jean-Pierre Vincent, sur scène, indique les différents placements.)

• Jean-Pierre Vincent : C’est les sportifs après la bataille. Pierre doit être à la fois grave et amical.

Jeu (le deuxième seigneur expose un plan de piège contre Paroles)

• Jean-Pierre Vincent : Olivier tu peux pas faire ça public : il faut garder le contrôle sur Bertrand. Vous ne cessez jamais de le regardez : vous l’envoûtez, vous l’ensorcelez. Olivier tu peux rester sur le praticable.

Jeu (entrée de Paroles)

• Jean-Pierre Vincent : La prise de décision de Paroles est très facile : une fois qu’il a eu un déclic, il a une énergie rectiligne qui ne tient compte d’aucun obstacle ; c’est l’impression que j’ai eu, Marc, quand tu faisais ton italienne, c’est une impression que je voudrais retrouver maintenant, je voudrais retrouver quelque chose qui fuse.

Jeu (fin de la scène)

• Jean-Pierre Vincent : Il faut plus sentir une cruauté virile. Ils sont plus sauvages, ils doivent faire plus peur. Il faut jouer plus nerveux, plus rythmé : faut qu’il y ait une excitation. On le reprend.

Jeu (Juste avant la première réplique, Jean-Pierre Vincent crie : Allez attaque-le, attaque ! ; Premier seigneur : “ Quand il sera dépouillé de sa peau d’emprunt, vous me direz des nouvelles... ”)

• Jean-Pierre Vincent : C’est toi ! <Quand je lui aurai arraché sa peau d’emprunt> N’hésite pas à y aller !

Jeu (Bertrand - premier Seigneur, à propos de Diana : “ Vous dites qu’elle est vertueuse? ”

• Jean-Pierre Vincent : La valeur de ça c’est <On va se faire chier deux heures>

(A Philippe Cachia : Chez la veuve, c’est du violon Bartok : en France, Hélène, c’est du luth. En Italie c’est du violon )

* * *