IV, 1

Jeu : le piège tendu à Paroles par les “ boskos ” ; deuxième seigneur : “ Thorca movousus, cargo, cargo, cargo ”

Jean-Pierre Vincent : (même intonation) <Agitez-vous ! Écartez-vous !> Ces phrases ont un sens. Il faut que les autres s’intéressent quand même un peu à la scène, sinon c’est trop Deschiens. Ils ont plus l’habitude de voir Paroles battre en retraite en premier, ils s’amusent de voir ce grand numéro de trahison. Il y a vraiment un rôle particulier des serments dans la pièce : Paroles et Bertrand sont les champions des faux serments, on le verra dans la scène d’après.

Jeu

Jean-Pierre Vincent : La musique de Paroles fait réagir chacun : c’est comme un parfum dans l’air. Il ne faut pas jouer l’adjudant à la de Funès ; tu le rudoies un peu mais pas trop. Jean-Jacques ne doit pas avoir de lance ; c’est le lettré qui écrit à sa mère tous les jours.

Jeu (monologue de Paroles ; il esquisse un geste avec son casque à la main)

Jean-Pierre Vincent : C’est Hamlet ! Il parle en regardant son casque qu’il tient à la main : c’est Yorik. (rire) <Vous voyez, c’est Yorik. Je connais Hamlet>

Jeu

Jean-Pierre Vincent : Il faudrait que vous fassiez une criaillerie de corbeaux. On peut essayer d’avoir ça ? Et puis on mélange avec le boskos et du bruit de basse cour...

Jeu : Premier soldat : “ Boskos vauvado ”

jeu