Cohérence horizontale

Le premier facteur d'appréciation du degré de cohérence horizontale peut s'apprécier par le nombre de processus d'appartenance des activités élémentaires interférentes inter processus. Ce processus se caractérise par le nombre élevé (sept) et la fréquence d'occurrence des thèmes d'appartenance des activités interférentes inter.

Le deuxième facteur d'appréciation est le poids de activités interférentes repérées inter processus par rapport au total. Avec 16% des activités interférentes repérées inter processus ce processus se situe au 1er rang des neuf processus. Cette place n'est pas une surprise dans la mesure ce processus est une donnée largement incontournable qui influe modérément sur cette opération les autres processus sauf le processus chantier.

L'évaluation des régulations des interférences inter (CHm = 0.99) montre que la cohérence horizontale avec les processus 3 design (Contraintes foncières, urbanisme, 4 technologies (Choix constructifs, règles de construction et règles de l’art) sont mal assurées. La faiblesse de la prise en compte de résultats référents et des valeurs objectifs requises du MOU (7 Management des données et des modèles) peut expliquer cette faible cohérence. L'absence des acteurs des processus 5, 6 et vraisemblablement de modèles et de règles référents est une explication viable. La aussi la faiblesse pour ne pas dire l'absence de régulation contractuelle inter processus semble particulièrement dommageable.