Cohérence horizontale

Le premier facteur d'appréciation du degré de cohérence horizontale peut s'apprécier par le nombre de processus d'appartenance des activités élémentaires interférentes inter processus. Ce processus se caractérise par le nombre élevé (sept) et la fréquence d'occurrence des thèmes d'appartenance des activités interférentes inter . Seul le processus fonctions n'est pas imputé.

Le deuxième facteur d'appréciation est le poids de activités interférentes repérées inter processus par rapport au total. Avec 12% des activités interférentes repérées inter processus ce processus se situe au 5 ieme rang des neuf processus. Cette place n'est pas une surprise dans la mesure ce processus est lancé après les autres et qu'il ne peut plus influencer les processus 1, 2, voir 3.

L'évaluation de la nature et de l'intensité des régulations inter (CHm = 0.72) montre que la cohérence horizontale laisse à désirer avec la plupart des processus : Le processus 1 produit fini (qualité du produit notamment), 3 (design - choix architecturaux), 4 (technologies - choix constructifs), 6 (environnement - sécurité des acteurs de l'environnement), 7 (management des données et des modèles - modèles stratégiques et opérationnels), 8 management des règles (règles institutionnelles et organisationnelles), 9 management du système d'information - système d'Informations opérationnelles).

On perçoit toute l'importance de la régulations des interférences inter de nature institutionnelle et organisationnelle alors qu'aucune d'entre elles ne fait l'objet de régulation contractuelle. Il n'est pas surprenant dans ce contexte que le thème 8 management des règles soit particulièrement présent puisqu'il représente à lui seul (66%) des imputations totales.