cohérence horizontale

Le premier facteur d'appréciation du degré de cohérence horizontale peut s'apprécier par le nombre de processus d'appartenance des activités élémentaires interférentes inter processus. Pour ce thème les régulations horizontales concernent l'ensemble des processus producteurs de valeur ajoutée (de 2 à 5) mis à part le 6 (environnement), ainsi que deux processus porteurs du système de régulation finalisée (7 et 8).

Le deuxième facteur d'appréciation est le poids de activités interférentes repérées inter processus par rapport au total. Avec 5% des activités interférentes repérées inter processus ce processus se situe au huitième rang des neuf processus. Cette place n'est pas une surprise dans la mesure ce processus est une donnée ex ante largement incontournable qui influe modérément sur cette opération les autres processus sauf le processus chantier.

Le troisième facteur s'apprécie par l'intensité des régulations inter. (CHm = 2.20) montre que la cohérence horizontale avec les processus 2 fonctions 3 design, 4 technologies, 5 chantier, 7 management des données et des modèles, 8 management des règles (règles institutionnelles contractuelles) est relativement satisfaisante au moins en matière de régulation institutionnelle et organisationnelle.

Par ailleurs la régulation contractuelle des interférences inter processus est relativement faible, les contrats avec le MOU ne portent généralement que sur les produits finis (sauf pour le coordonnateur santé sécurité).

La présence dès la formulation des acteurs principaux des processus 1, 2, 3, 5 est à notre avis la première une explication viable. On peut dés lors comprendre le peu d'impact négatif engendré par une régulation contractuelle inter processus pratiquement absente.