cohérence verticale

Le pourcentage des imputations par rapport au total des thèmes (8% pour les idées clés, 9% pour les activités élémentaires déployées, 9% pour les activités élémentaires interférentes intra) le place en quatrième position par rapport aux neuf thèmes de notre grille.

En premier lieu il est à noter que les activités élémentaires repérées et les activités interférentes intra balaient assez bien le champs des idées clés du thème 4 que nous rappelons ci après ( voir Figure 162 notre nomenclature des idées clés) : contraintes géologiques, Contrainte Ressources et matériaux, Choix constructifs, règles de construction et règles de l’art.

L'évaluation de l'intensité des régulations intra (CVm = 1.92) montre que les régulations institutionnelles et organisationnelles sont sauf exception dans les catégories moyennes et fortes alors que les régulations contractuelles se situent plutôt dans les catégories faible. Cette faiblesse contractuelle tient au fait que les acteurs du processus n'ont peu ou pas de liens contractuels entre eux sauf avec le MOU.

Malgré tout la cohérence verticale qui s'exprime principalement par une articulation satisfaisante entre les activités projet (formulation, programmation, conception) et les activités synthèse et mise en œuvre des ressources (synthèse, mise en œuvre ressources, évaluation) reste acceptable pour les mêmes raisons déjà exprimées pour le thème 1 et notamment grâce à la régulation ex ante très fine menée par le maître d'ouvrage et ses conseils (point de départ de la régulation institutionnelle).

Ces activités, vitales pour la qualité des structures qui doivent être validées par des prescripteurs internes et externes du projet ont donc été prises en compte ex ante pour la programmation de l'opération et accompagnées ex post par une régulation organisationnelle forte.