cohérence verticale

Le pourcentage des imputations par rapport au total des thèmes (11% pour les idées clés, 7% pour les activités élémentaires déployées, 9% pour les activités élémentaires interférentes intra) le place en troisième, huitième et septième position par rapport aux neuf thèmes de notre grille.

En premier lieu il est à noter que les activités élémentaires déployées et les activités interférentes intra balaient une bonne partie du champ des idées clés du thème 8 que nous rappelons ci après ( voir Figure 162 notre nomenclature des idées clés) : Maîtrise des Règles institutionnelles externes, Maîtrise des Règles institutionnalisantes internes, Maîtrise des Règles contractuelles (produit fini) - processus, Maîtrise des Règles organisationnelles.

L'évaluation de l'intensité des régulations intra (CVm = 1.12) montre que les régulations institutionnelles et organisationnelles sont sauf exception dans les catégories moyennes à fortes alors que les régulations contractuelles sont faibles. Cette faiblesse contractuelle tient au fait que les activités déployées et interférentes sont des activités régulatrices projet activées ex ante. les acteurs du processus n'ont peu ou pas de liens contractuels entre eux sauf y compris parfois avec le MOU..

Malgré tout la cohérence verticale qui s'exprime principalement par une articulation observable entre les activités projet (formulation, programmation, conception) et les activités synthèse et mise en œuvre des ressources (synthèse, mise en œuvre ressources, évaluation) reste acceptable pour les mêmes raisons déjà exprimées pour le thème 1 et notamment grâce à la régulation ex ante très fine menée par le maître d'ouvrage et ses conseils (point de départ de la régulation institutionnelle).

Ces activités centrées sur les règles, vitales pour l'ensemble des acteurs fournissent et régulent en quelque sorte les paramètres de démarrage et de fonctionnement du processus 7. Elles représentent le système d'injection du "moteur" de l'opération de construction.