b- Les hôpitaux villageois, urbains ou périurbains

Ce sont ces établissements, associant tout autant accueil charitable du « pauvre passant » et assistance aux plus démunis ou aux malades, qui ont fait l’objet de toute l’attention de plusieurs générations de médiévistes ( 707 ). Il ne s’agit pas pour nous d’ouvrir ce volumineux dossier à l’échelle du Vivarais, les problématiques tant spirituelles que sociales de l’assistance dépassant nos travaux, mais d’envisager en quoi ces établissements peuvent offrir un gîte et un couvert au voyageur lorsqu’il traverse la région. Notre premier souci sera ici de les inventorier et de les cartographier, nous trouvant confronté alors au même problème que pour les hôpitaux routiers déjà évoqués. Le manque de sources spécifiques permettant d’en dresser la liste impose de recourir à tout type de document disponible. Il s’agit alors le plus souvent de mentions d’un hôpital comme simple confront, ou encore, d’un texte indiquant le nom d’un recteur hospitalier. La liste des sources est donc longue, jamais close, ce qui implique que de nouveaux dépouillements apporteront inévitablement leur lot de nouvelles découvertes.

De plus, ne travaillant pas sur les structures d’assistance dans leur ensemble, il est important de bien cerner le type d’établissement et d’oeuvre charitable nous intéressant. Il est évident que les aumônes et autres charités ne sont pas à prendre ici en compte. Consistant à distribuer de la nourriture à des dates ou des jours précis, elles ne sont pas à considérer directement comme des structures d’accueil pouvant aider le voyageur. Se multipliant aussi rapidement en Vivarais que dans l’ensemble des régions voisines à la fin du Moyen Age ( 708 ), elles peuvent tout à fait distribuer de la nourriture aux passants, pèlerins avant tout ( 709 ), mais c’est bien peu pour y voir de véritables s auxiliaires de la route.

La documentation consultée permet de connaître l’existence de 65 établissements environ ( 710 ), soit un pour quatre à cinq paroisses ( 711 ), ce qui est sensiblement moins que dans les régions voisines, comme le Comtat, où près de 140 hôpitaux ont été recensés, soit un pour deux ou trois paroisses ( 712 ). Dans l’optique qui nous occupe, l’accueil du voyageur, il convient de se poser la question de l’adéquation entre réseau routier et implantation hospitalière, la liste d’établissements dressée permettant d’en établir une première cartographie ( 713 ). On constatera tout d’abord qu’au XIVè siècle, période pour laquelle nous connaissons le plus d’établissements, toutes les régions, ou presque, sont couvertes. Seules quelques zones du nord du Vivarais, autour de la vallée du Doux, ou encore le Plateau de Vernoux et le Plateau vivaro-vellave apparaissant nettement sous équipées par rapport aux autres régions. Si cette différence peut partiellement s’expliquer par des sources moins nombreuses entraînant une probable méconnaissance du semis hospitalier, il faut relever que ce sont aussi des régions globalement moins urbanisées que le Bas-Vivarais. On s’explique mal l’absence d’hôpitaux dans de gros bourgs comme le Cheylard, ou même par exemple à Lamastre, qu’il faut sans doute lier à une lacune documentaire. Si les plus fortes concentrations hospitalières, comme Annonay et Aubenas, ou encore Bourg-Saint-Andéol, caractérisées par l’existence de plusieurs hôpitaux, de deux à quatre, ce qui est déjà beaucoup à l’échelle des petites villes de la région, sont liées à un certain niveau de développement urbain, on rencontre aussi des établissements dans des localités très modestes, par exemple Alba ( 714 ), ou encore Rochemaure ( 715 ) et Le Teil ( 716 ). La route semble alors entrer ici en jeu, puisque tous les villages possédant un hôpital sont sur un axe important, voire même au carrefour de plusieurs, comme dans d’autres régions, par exemple dans le diocèse d’Aix ( 717 ) ou dans celui de Lyon ( 718 ). Il est évident que l’hôpital d’Alba n’a pas pour fonction première d’assister les nécessiteux de ce modeste village, sachant que rares doivent être les pauvres forains attirés par ce dernier. De même, les hôpitaux du Pouzin, de Malleval, de Bourg-Argental, de Montpezat, de Saint-Agrève ou de Boulieu ne voient-ils sans doute pas arriver de nombreux nécessiteux locaux, mais plus souvent des voyageurs en quête d’un hébergement pour la nuit ou de pauvres hères allant de gîte en gîte. Les ordres hospitaliers comme les Antonins ne s’y trompent d’ailleurs pas et ne s’installent que dans les principales villes, Aubenas et Annonay.

Retracer l’histoire de ces hôpitaux est difficile, pour ne pas dire impossible. Tout comme pour les hôpitaux routiers, nous n’en connaissons généralement que l’existence, leurs origines se perdant le plus souvent dans un complet vide documentaire et leur fonctionnement ne transparaissant pas derrière les mentions sibyllines que nous en possédons. Les plus anciens dont nous ayons conservé le souvenir sont ceux de Viviers, attesté en 1170 ( 719 ), et de Bourg-Saint-Andéol, mentionné dans les années 1153-1154 ( 720 ). Au XIIè siècle, notons aussi l’existence d’un hôpital à Rochemaure, associé à l’église Sainte-Marie-Madeleine d’Exobrer, attesté en 1197 mais existant déjà auparavant ainsi que le rappelle l’acte par lequel il est donné au prieuré clunisien de Rompon ( 721 ). Il faut toutefois attendre le XIIIè siècle pour que le nombre d’hôpitaux connus se multiplie, mais il faut sans doute voir là le fruit de l’essor numérique de la documentation tout autant que l’essor du fait hospitalier : nous ne possédons aucune charte de fondation du XIIIè siècle pour les hôpitaux vivarois, qui semblent tous ou presque être bien antérieurs. En effet, des localités comme Aubenas, ou encore Annonay et Tournon, qui seront bien pourvues en hôpitaux à la fin du Moyen Age ne sont pas renseignées avant les premières années du XIIIè siècle au mieux, et plus encore, avant les années 1250. De même, l’étoffement perceptible du nombre et de la répartition des hôpitaux dans l’espace vivarois qui caractérise le XIVè siècle est probablement le fruit de l’arrivée d’une source nouvelle, la documentation notariale, mais nous sommes alors confrontés à des indications de moins en moins précises, les hôpitaux apparaissant le plus souvent comme de simples confronts. Toutes périodes confondues, les seuls hôpitaux pour lesquels nous possédons une charte de fondation sont l’hôpital Notre-Dame d’Annonay, fondé en 1320 par un prêtre de la ville sur son lit de mort ( 722 ) et celui dit de Chaste, à Tournon, fondé en 1340 par Pierre de Chaste, prêtre de la collégiale Saint-Julien-de-Tournon ( 723 ).

Ignorant généralement tout des fondateurs de ces hôpitaux, nous ne savons souvent pas non plus de qui ils dépendent, ni qui les contrôle. Remarquons tout d’abord que parmi les hôpitaux urbains ou périurbains, il semble qu’un seul appartienne à l’hôtel-dieu du Puy, contrairement aux hôpitaux strictement routiers déjà évoqués. Ce dernier ne possède en effet que l’hôpital Notre-Dame de Lestra, attesté dès 1273 ( 724 ), certes situé aux portes de Saint-Agrève, mais avant tout lié à la route, tel que le rappelle son nom, ou encore son emplacement, en bordure de l’axe de Tournon au Puy par la vallée du Doux. Pour leur part, les antonins ont implanté une préceptorie à Annonay et une à Aubenas, attestées respectivement depuis 1262 ( 725 ) et 1217 ( 726 ), desquelles dépendent l’hôpital de Tournon, attesté comme toponyme dès 1448 ( 727 ), et une maison située à Pradelles, mentionnée en 1478 dans le Liber religionis Sancti Anthonii Viennensis sacre refformationis ( 728 ). Pour sa part, l’ordre du Saint-Esprit, de Montpellier, possède un hôpital à Barjac depuis le milieu du XIIè siècle ( 729 ) et un à Largentière attesté depuis 1361 ( 730 ), alors que l’hospice d’Aubrac détient en 1329 l’hôpital de Luc, le long de la route de Régordane ( 731 ). Les autres établissements rencontrés ne semblent dépendre d’aucun ordre hospitalier, mais être simplement rattachés à telle ou telle église. Ainsi, l’hôpital de Viviers demeure sous l’étroit contrôle du chapitre cathédral jusqu’à la fin du Moyen Age ( 732 ). A Tournon, l’hôpital de Chaste, dont on sait qu’il a été fondé en 1340 par Pierre de Chaste, prêtre de la ville, relève de la collégiale Saint-Julien qui, en 1441, en nomme le recteur ( 733 ). Quelques établissements dépendent aussi de prieurés ou de monastères, comme l’hôpital de Rochemaure, donné en 1197 au prieuré clunisien de Rompon ( 734 ), ou celui du Pouzin, attesté en 1283 ( 735 ).

Alors qu’un mouvement de municipalisation des hôpitaux, ou au moins de contrôle de ceux-ci par les consulats, se développe à la fin du Moyen Age en de nombreuses régions ( 736 ), il ne semble pas que les autorités municipales vivaroises se soient intéressées de près à la gestion des hôpitaux de leur ressort, qu’il s’agisse de villes comme Aubenas, Annonay, Tournon ou Joyeuse, et à plus forte raison de villages modestes dépourvus de toute personnalité municipale. Il est vrai que les sources municipales manquent le plus souvent, mais les comptes consulaires de Tournon, couvrant une large partie du XVè siècle, ne témoignent nullement d’un tel engagement. Tout au plus peut-on constater qu’à Joyeuse, les consuls nomment un procureur des affaires pieuses qui, en 1415, somme le prêtre en charge de l’hôpital d’y faire des réparations ( 737 ). L’absence de municipalités puissantes explique sans doute cette carence dans la région, constat similaire à celui dressé dans les petites villes du Lyonnais et du Forez voisins au XVè siècle ( 738 ).

Alors que nous avons constaté que la majorité des hôpitaux routiers isolés disparaissent au plus tard dans la première moitié du XIVè siècle, qu’en est-il des établissements urbains ? Les principaux d’entre eux, implantés dans les villes et les bourgs les plus importants, subsistent par-delà la fin du Moyen Age qui dans la région demeure encore marquée par un certain élan hospitalier ( 739 ). Cependant, nous pouvons nous demander si les plus modestes, implantés dans de simples villages, parviennent à traverser les XIVè et XVè siècles sans disparaître, ou au moins sans fortement décliner. Dans tous les cas, alors qu’à la fin du Moyen Age, les hôpitaux souffrent, fait général, d’une relative défiance de la part des populations, leurs libéralités se tournant vers d’autres formes d’assistance que sont les confréries, les aumônes ou encore les charités, ces petits établissements villageois ont-ils encore des revenus suffisants pour remplir leur mission et continuer d’exister ? Même si les legs aux hôpitaux se maintiennent davantage dans les villes du sud du Vivarais rhodanien qu’ailleurs ( 740 ), on peut en douter, sans en avoir il est vrai la preuve au travers de la documentation exploitée. Le tableau de ces hôpitaux villageois au XVIè siècle a pu être dressé en d’autres régions, comme en Bourgogne. Il est éloquent : hospices abandonnés et sans service d’assistance au mieux, bâtiments totalement ruinés au pire, en passant par tous les stades de l’abandon et de la dégradation matérielle ( 741 ). Remarquons que l’hôpital d’Alba ne semble plus jamais attesté après le XIVè siècle. Ceux de Vogüé et de Saint-Sernin ont déjà disparu en 1464 et seule la toponymie en conserve le souvenir ( 742 ). D’autres encore subsistent jusqu’au XVIè siècle avant de disparaître alors. Même en ville, un certain nombre de problèmes se posent, et si l’hôpital de Viviers est encore financé et géré activement par les chanoines du chapitre cathédral jusqu’à la fin du Moyen Age ( 743 ), on sait qu’en 1502, l’hôpital Saint-Georges, situé dans Aubenas, adossé à l’église Saint-Dominique, est ruiné ( 744 ). En 1541, le recteur de l’hôpital de Villeneuve-de-Berg dresse d’ailleurs un tableau édifiant de son établissement, précisant que « les pauvres de Dieu n’y peuvent bonnement loger et être soulagés », recensant « 4 lits, 7 bonnes couvertures et 3 neuves, des écuelles et des linceuls... » ( 745 ). En Vivarais comme ailleurs, la fin du XVè siècle sonne manifestement le glas des hôpitaux dédiés à l’accueil du pauvre passant ( 746 ).

La capacité d’accueil de ces hôpitaux, tout comme leurs caractéristiques et leurs bâtiments, sont difficiles à cerner. Concernant ces derniers, on notera que la plupart d’entre eux se situent dans les murs mêmes des villes vivaroises, comme à Tournon, à Annonay ou à Aubenas. Rien ne semble, dans l’architecture ou dans le plan, les distinguer des constructions voisines. Sans doute que leur fondation, qui fait intervenir la donation d’une maison avec des terres et biens constituant une première dotation, explique que ces hôpitaux ne semblent nullement se singulariser par des bâtiments spécifiques, ceux-ci n’ayant pas été construits pour eux. Quelques exemples émergent toutefois du lot commun, comme l’hôpital de Pradelles. Certes, dans son état actuel, le bâtiment est pour l’essentiel des XVIIè et XVIIIè siècles, mais il reprend des structures plus anciennes, sans doute médiévales. Situé au sud du bourg, c’est un exemple parfait d’hôpital-porche, ou d’hôpital-voûte, construit à cheval sur la route de Régordane ; les bâtiments hospitaliers sont situés à l’ouest de la route, abritant encore de nos jours une maison de retraite, alors que la chapelle est implantée en vis-à-vis, à l’est de la route, les deux étant reliés par un passage sur voûte ( 747 ). C’est toutefois le seul exemple d’architecture hospitalière spécifique dont nous disposions dans la région.

On connaît la capacité d’accueil de deux de ces hôpitaux. On sait par exemple qu’en 1336, peu après sa fondation, l’hôpital Notre-Dame d’Annonay est doté de 12 lits, soit, en comptant environ deux à trois personnes par lit selon les usages du temps, entre 25 et 30 places au maximum ( 748 ). L’hôpital de Viviers pour lequel nous possédons un inventaire de mobilier de 1387, déjà exploité à plusieurs reprises ( 749 ), fonctionne avec dix-neuf lits seulement, soit de l’ordre de 40 à 45 places ( 750 ). Le nombre de personnes accueillies est donc limité, et encore s’agit-il d’établissements urbains qui ne laissent en rien présager des possibilités offertes par d’autres hôpitaux de villages comme ceux d’Alba ou de Chassiers, ou de bourgs, comme ceux de Montpezat ou des Vans. Rappelons qu’en Forez et en Lyonnais, voisins du Vivarais au nord, où quelques données sont disponibles pour de tous petits hôpitaux villageois, les capacités d’accueil sont insignifiantes. Celui de Plambost au début du XVIè siècle ne conserve que « deux lits très mal en ordre » : c’est dire si sa capacité d’accueil est réduite ( 751 ). Ce sont là des données tout à fait conformes à celles rencontrées dans les régions du Bas-Rhône, où aucun hôpital n’a dépassé la trentaine de lits, la majorité en possédant moins de dix et quelques-unes moins de cinq ( 752 ).

Notes
707.

) Sans détailler tous les titres sur la question, on retiendra par exemple, par ordre chronologique, Assistance et assistés jusqu’en 1610 (actes du 97ème congrès du C.T.H.S., Nantes, 1972), op. cit. ; Assistance et charité (Cahiers de Fanjeaux, n°13, Fanjeaux, 1977), op. cit. ; Imbert (J.) dir. : Histoire des hôpitaux en France, op. cit. ; Santé, médecine et assistance au Moyen Age (actes du 110è congrès du C.T.H.S., Montpellier, 1985), op. cit. ; Mollat (M.) : « L’hôpital dans la ville au Moyen Age en France », art. cité ; Fondations et oeuvres charitables au Moyen Age (actes du 121ème congrès du C.T.H.S., Nice, 1996), op. cit.

708.

) Le Blévec (D.) : « La part du pauvre. Les legs charitables en Vivarais méridional au XIVè siècle », art cité, p. 257-267.

709.

) Péricard-Méa (D.) : Le culte de Saint Jacques : pèlerins de Compostelle et pèlerinages en France à la fin du Moyen Age, op. cit., t. II, p. 493-498.

710.

) L’identification de quelques-uns n’étant pas assurée.

711.

) Le nombre précis de paroisses est difficile à connaître. On peut néanmoins, sur la base des pouillés de la fin du Moyen Age, complétés par la documentation notariale, envisager l’existence de 300 à 320 paroisses.

712.

) Chiffoleau (J.), Le Blévec (D.), Zerner (M.) : « Aspects de l’institution hospitalière dans la région comtadine au Moyen Age », art. cité, p. 300-303.

713.

) Cf. infra, annexes, carte des hôpitaux et des maladreries.

714.

) AD 07, 2E 2195 bis.

715.

) AD 38, B 3518.

716.

) AD 07, 2E 8143, f°40.

717.

) Coulet (N.) : « Hôpitaux et oeuvres d’assistance dans le diocèse et la ville d’Aix, XIIIè-XIVè », art. cité, p. 220.

718.

) Gutton (J.-P.) : La société et les pauvres, l’exemple de la généralité de Lyon, 1534-1789, op. cit., p. 223.

719.

) B.N.F., Collection Baluze, Ms. 19, f° 62 r°-63 v°. Cf. Scheffer-Boichorst (P.) : « Un diplôme inédit de Frédéric Ier de 1170 pour l’hôpital Saint-Jean à Viviers », art. cité.

720.

) AM Bourg-Saint-Andéol, GG 71.

721.

) AD 38, B 3518.

722.

) Poncer (J.-A.) : Mémoire historique sur le Vivarais, op. cit., p. 132.

723.

) AD 07, 118H 1, n°1.

724.

) AD 07, 52 J 113, f° 23.

725.

) AD 07, 1Mi 150.

726.

) Vézian (A.) : « Cartulaire des Antonins d’Aubenas », art. cité, p. 23, n° 117.

727.

) Mourier (J.) : Tournon, étude des structures urbaines (1420-1520), op. cit., p. 111.

728.

) Mischlewski (A.) : Un ordre hospitalier au Moyen Age, les chanoines réguliers de Saint-Antoine-en-Viennois, op. cit., p. 164.

729.

) Le Blévec (D.) : Recherches sur l’assistance dans les pays du bas-Rhône du XII è siècle au milieu du XV è siècle, op. cit., p. 124.

730.

) AD 07, 14H 5.

731.

) AD 48, 6J 1, n°462.

732.

) Le Blévec (D.) : « La part du pauvre. Les legs charitables en Vivarais méridional au XIVè siècle », art cité, p. 265.

733.

) AD 07, G 281.

734.

) AD 38, B 3518.

735.

) AD 38, B 3542.

736.

) Imbert (J.) dir. : Histoire des hôpitaux en France, op. cit., p. 91-95.

737.

) AD 07, 1J 152.

738.

) Gutton (J.-P.) : La société et les pauvres, l’exemple de la généralité de Lyon, 1534-1789, op. cit., p. 222.

739.

) Le Blévec (D.) : Recherches sur l’assistance dans les pays du bas-Rhône du XII è siècle au milieu du XV è siècle, op. cit., p. 781.

740.

) Le Blévec (D.) : « La part du pauvre. Les legs charitables en Vivarais méridional au XIVè siècle », art cité, p. 265-266.

741.

) Rigault (J.) : « Les établissements hospitaliers en Bourgogne après les guerres de religion. L’enquête de 1599 dans le bailliage d’Arnay-le-Duc », art. cité, p. 181-196.

742.

) AD 07, C 567 et C 582.

743.

) Le Blévec (D.) : Recherches sur l’assistance dans les pays du bas-Rhône du XII è siècle au milieu du XV è siècle, op. cit., p. 62.

744.

) Le patrimoine hospitalier de l’Ardèche, op. cit., p. 15.

745.

) Ibidem, p. 33.

746.

) Imbert (J.) dir. : Histoire des hôpitaux en France, op. cit., p. 151.

747.

) Pour avoir de nombreux autres exemples d’une telle disposition architecturale et de ses variantes, cf. Péricard-Méa (D.) : Le culte de Saint Jacques : pèlerins de Compostelle et pèlerinages en France à la fin du Moyen Age, op. cit., t. II, p. 459-468.

748.

) Poncer (J.-A.) : Mémoire historique sur le Vivarais, op. cit., t. I, p 132.

749.

) Le Blévec (D.) : « La part du pauvre. Les legs charitables en Vivarais méridional au XIVè siècle », art cité, p. 266.

750.

) AD 07, 2E 7641, f°69-70.

751.

) Gutton (J.-P.) : La société et les pauvres, l’exemple de la généralité de Lyon, 1534-1789, op. cit., p. 222.

752.

) Le Blévec (D.) : Recherches sur l’assistance dans les pays du bas-Rhône du XII è siècle au milieu du XV è siècle, op. cit., p. 775-778.