Après les Estables, la documentation médiévale consultée n’apporte que peu d’indications quant au tracé de la route pour rejoindre le Puy. La continuité de l’itinéraire à la sortie des Estables est toutefois nette passant par Ebranchade ( 3271 ) puis par Chalandaron, immédiatement au nord du hameau des Infruits. Au-delà, la route a disparu sur le cadastre napoléonien, mais une succession de limites parcellaires rectilignes en conserve le souvenir ( 3272 ). A ce niveau, elle est probablement mentionnée dans une transaction concernant la chartreuse de Bonnefoy. En 1269, Pons de Villard échange divers droits avec la chartreuse dont la saina de sots la via de Porssils et altres dreits si eu los i avia, los qual eu non cut aver usque ad clot de Vorset ( 3273 ). Le lieu de Vorzet en question ne pose pas de problème d’identification. Il s’agit des ruines de Vourzet ( 3274 ) à proximité desquelles passe la route et où se trouve une sagne, peut-être la saina de 1269, en bordure du ruisseau de la Mine, au niveau du hameau de Gachas ( 3275 ). Il demeure néanmoins que le lieu de Porsils ayant donné son nom à la route reste impossible à identifier.
Ensuite, le chemin entre dans la paroisse de Laussonne, dans la traversée de laquelle aucun texte ne vient malheureusement nous renseigner. Le relief général, constitué de deux crêtes aux sommets arrondis encadrant la vallée de la Laussonne orientée sud-est / nord-ouest, ne lui permet toutefois pas de s’écarter de cet axe général. Le cadastre suggère deux possibilités entre le lieu-dit du Gachas et Laussonne. La continuité du « chemin de Laussonne aux Estables » est très nette par le lieu-dit du Sagnas, au sud du hameau de Moudeyre ( 3276 ), puis par le hameau du Montet ( 3277 ), pour rejoindre le village de Laussonne en suivant la rive droite de la Laussonne.
Un autre tracé figure sur le cadastre. Il passe non pas sur le flanc nord de la vallée de la Laussonne comme le précédent, mais chemine directement au fond de celle-ci. Depuis la Freydeyre jusqu’à Vialette, il est très nettement marqué sous la forme d’une limite de parcelle continue qui permet de le restituer même s’il n’existe plus au début du XIXè siècle ( 3278 ). Après Vialette, il est dit « chemin de Vialette à Laussonne », jusqu’au lieu-dit du Crouzet où il se rattache au précédent itinéraire ( 3279 ) pour arriver au village de Laussonne.
A l’heure actuelle, au niveau de Laussonne, la route traverse deux fois la rivière, une fois en amont du village, une fois en aval. Néanmoins, le cadastre napoléonien indique que le chemin ancien passait au nord de la rivière, seul un modeste ponceau permettant de gagner l’église paroissiale située en rive sud.
Au-delà de Laussonne, la route reste parallèle à la rivière en rive droite où sa très bonne inscription dans le parcellaire incite à la croire relativement ancienne ( 3280 ). Après la Varenne, le « chemin de Laussonne à Lantriac » quitte la vallée de la Laussonne pour s’élever en rive gauche de la vallée du Rivaux ( 3281 ), par le lieu de la Fayolle, et gagner Lantriac où elle est signalée en 1588 ( 3282 ). Après Lantriac, la route sert de confront à une terre reconnue en 1424 aux hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem du Puy située au lieu-dit de Grangeneuve ( 3283 ), puis on la rencontre ensuite la même année au quartier des Pandraux ( 3284 ). Des Pandraux jusqu’au Puy, elle emprunte la vallée de la Gagne, cheminant en rive gauche de la rivière, où l’itinere quo itur versus civitatem Anicii sert en 1509 de confront est à une terre tenue de l’Hôtel-Dieu, située au territoire du Roure ( 3285 ). Plus loin dans la vallée, la route est encore signalée en 1509 au territoire de Fontvalette ( 3286 ), toujours en rive gauche de la Gagne qui n’est traversée qu’à proximité de sa confluence avec la Loire, au territoire d’Orzilhac. Aucun texte ni vestige ne viennent toutefois nous renseigner sur la présence éventuelle d’un pont à cet endroit permettant à la route de traverser la Gagne pour rejoindre Brives où elle jonctionne avec les routes venues d’Yssingeaux au nord et de Saint-Agrève à l’est pour traverser la Loire et gagner le Puy.
Plusieurs éléments permettent de penser que nous sommes en présence d’un axe majeur à l’échelle de la région, au moins pour les deux ou trois derniers siècles du Moyen Age. Tout d’abord, il prend le qualificatif d’itinere regio, à Gourdon en 1429 ( 3287 ), puis ensuite aux Estables en 1483 ( 3288 ). De même, en de nombreux points de son parcours, la route est dite route « allant au Puy » ou route « venant du Puy », ce qui l’individualise bien des autres axes secondaires qui ne sont pas désignés par des termes aussi lointains.
Ensuite, dans la vallée du Rhône, la route dessert deux ports, l’un important, celui du Pouzin, l’autre plus secondaire et avant tout destiné au trafic local, à Baix ( 3289 ). Notons en outre au sujet de ces ports qu’ils se trouvent face au débouché dans la vallée du Rhône de la vallée de la Drôme qui par Crest, Die puis par le col de Cabre et Gap constitue un axe de pénétration important vers le Briançonnais et au-delà l’Italie ( 3290 ).
Ces deux ports servent aussi à débarquer du sel destiné au grenier de Privas, dont l’existence est attestée dans la seconde moitié du XVè siècle ( 3291 ). Ce dernier est ensuite redistribué vers l’intérieur du Vivarais ce qui anime la route de l’Ouvèze et de Mézilhac d’un trafic saunier non négligeable dont les tarifs de péage se font l’écho ( 3292 ). Ainsi, presque aucun mandement n’est traversé par la route sans que ne s’y prélève de péage. Ce sont tout d’abord au niveau du Rhône ceux de Baix et du Pouzin. Seuls ensuite ceux de Chomérac et de Saint-Alban ne semblent pas faire l’objet d’une taxation, mais un péage se perçoit ensuite à Privas (levé à Coux, Privas, l’Escrinet et le Malpas, tout au long de la route), puis à Mézilhac, Raphaël, Fourchades (levé sur la route au Clapas) et enfin dans le mandement du Mézenc (probablement levé sur la route aux Gardes près des Estables) qui marque l’entrée en Velay, et pour finir, au pont de Brives, peu avant le Puy.
L’importance commerciale de la route de la vallée de l’Ouvèze est soulignée lorsque les marchands et muletiers rouerguats transportant illicitement de l’argent de contrebande vers les foires de Genève sont arrêtés en 1424. Le premier convoi de contrebandiers est passé par le nord et Bourg-Argental, mais le second convoi a emprunté la route par Privas et Le Pouzin avant de remonter ensuite la vallée du Rhône en rive droite et de traverser à Champagne ( 3293 ).
Pour finir, signe de l’importance des circulations, remarquons que la ville de Privas s’est développée dès le XIIIè siècle le long de la route elle-même, s’organisant autour de la place du marché qui borde la route à la porte du village primitif. Ce n’est que parce qu’il s’agit d’un axe important que cette route a pu fortement attirer le peuplement et en constituer l’axe de structuration.
Tout laisse penser que cette route, dont l’importance est clairement attestée aux trois derniers siècles du Moyen Age, est d’origine antique. De nombreux éléments permettent de l’envisager raisonnablement, principalement la densité de l’occupation gallo-romaine et du très haut Moyen Age tout au long de son tracé.
Dès le départ de la route de la vallée de l’Ouvèze, le Pouzin est une agglomération secondaire importante, probablement un vicus dont l’exploration archéologique précise reste toutefois à conduire. Y ont déjà été découverts plusieurs secteurs résidentiels luxueux ayant livré une statuaire et de l’orfèvrerie remarquables, une vaste nécropole tant à inhumation qu’à incinération, ou encore du mobilier votif (statuette de Jupiter) et une dédicace taurobolique. Pour sa part, le petit bassin de Saint-Alban se signale par la densité des toponymes formés d’un suffixe en -acum, comme par exemple Creyssac, Chaliac ou encore Chambransac et Flossac. Plus avant dans la vallée, à Flaviac, dont le toponyme en -acum renvoie à l’Antiquité ou au très haut Moyen Age, un coin métallique antique a été découvert au quartier des Mines, portant inscrit le nom LICINIUS ( 3294 ). Nous avons signalé que la route passe non loin de l’église de Lubilhac dont le nom évoque lui aussi l’antiquité. En outre, lors de travaux effectués dans l’église par le propriétaire, et ce malgré l’absence de véritable fouille archéologique sérieuse, des niveaux antiques ont été mis au jour ( 3295 ).
L’itinéraire sud du Rhône à Privas, passant par Chomérac, est lui aussi jalonné de nombreux sites antiques. C’est tout d’abord un autel-cippe découvert à proximité du tracé, au village de Saint-Symphorien-sous-Chomérac ( 3296 ). Chomérac même, outre le toponyme en -acum issu du nom d’homme Calmirius ( 3297 ) révélateur d’une antiquité très probable du lieu, a livré plusieurs monnaies trouvées à proximité de la route, au quartier de Vialatte, ainsi qu’une inscription funéraire et plusieurs sépultures ( 3298 ). Juste avant Privas, encore sur le tracé de la route, au quartier de Lemps, des sépultures et un aqueduc maçonné tubé en plomb a été découvert, ainsi que d’autres sépultures (urnes funéraires) proches du village d’Alissas ( 3299 ). Le nom d’Alissas, formé sur la base du nom chrétien Alexius suivi du suffixe -acum est issu pour sa part des premiers temps chrétiens ( 3300 ).
Plus loin encore, à la jonction des deux itinéraires venant soit de Baix, soit du Pouzin, le toponyme de Privas renvoie lui aussi à l’Antiquité et au passage d’une route. En effet, il est probable que Privas dérive du pré romain briva, le pont. La corruption de Brivatense en Privatense puis en Privatium et enfin Privas ne pose aucun problème linguistique. Il n’est pas surprenant qu’un pont ait pu exister à Privas pour livrer le passage à un axe routier antique, soit en traversant l’Ouvèze au sud-est, soit le Mézayon à l’est. Enfin, d’un point de vue archéologique, l’axe routier médiéval est encadré par une importante nécropole chrétienne située dans la plaine du Lac, non loin de l’église Saint-Etienne et d’une villa antique. Mal connue chronologiquement, il semble néanmoins probable qu’elle remonte au haut Moyen Age, voir à l’Antiquité tardive ( 3301 ). Toujours à Privas, à l’ouest du mont Toulon, des moules monétaires figurant divers empereurs, mais surtout Antonin, ainsi qu’une grande amphore ont été découverts au siècle dernier ( 3302 ).
Au niveau du col de l’Escrinet, le roc de Gourdon a livré, outre un habitat protohistorique du premier âge du fer qui ne nous intéresse pas directement ici, un fanum ( 3303 ) d’époque augustéenne, puis après une courte phase d’abandon, un habitat des IVè-VIè siècles ( 3304 ). A une dizaine de kilomètres à l’ouest du roc de Gourdon, au lieu-dit du Champ de Mars, plusieurs monnaies du Bas Empire ont été découvertes fortuitement et constituent un jalon antique supplémentaire sur le tracé de la route ( 3305 ).
La route arrive sur le plateau vivaro-vellave au niveau de Mézilhac dont le toponyme, formé du nom d’homme romain Masilius suivi d’un suffixe en -acum ( 3306 ), évoque une occupation au moins tardiantique à proximité même de la route. Ensuite, la traversée du plateau vivarois se signale par l’absence de site antique et du haut Moyen Age. Il faut attendre l’entrée de la route en Velay pour qu’elle passe à proximité de vestiges antiques. Ainsi, des fragments de céramique antique (amphores) ont été découverts au sommet du mont Mézenc ( 3307 ) alors que des trouvailles monétaires fortuites ont été signalées en différents lieux de la commune des Estables ( 3308 ). Plus loin, notons que la route ne passe qu’à quelques kilomètres au nord de l’abbaye de Saint-Chaffre, fondée dans le courant du VIIè siècle, sans doute vers 630 ( 3309 ). Ensuite, pour rejoindre le Puy, la route passe à Lantriac/Lantriacum dont le nom formé de l’anthroponyme Lanturius suivi du suffixe -acum renvoi à l’Antiquité ou au très haut Moyen Age ( 3310 ).
Si l’on excepte le plateau vivarois, peu voire pas peuplé durant l’Antiquité, il apparaît que la route du Pouzin ou de Baix au Puy par Mézilhac est bordée d’un grand nombre de sites antiques, avec une concentration toute particulière jusqu’au roc de Gourdon, dans les vallées de l’Ouvèze et de la Payre. L’adéquation entre la localisation des sites et le tracé de la route y est souvent très nette : rares sont les découvertes antiques ou du très haut Moyen Age éloignées de la route de plus d’un ou deux kilomètres au grand maximum. Certes, seule une prospection systématique permettrait de tendre à l’exhaustivité dans la connaissance du peuplement antique des régions traversées. Néanmoins, il semble d’ores et déjà net que la route a joué un rôle majeur en la matière tant les sites sont concentrés autour d’elle. Ceci ne laisse en outre que peu de doute sur son importance d’alors, même s’il ne faut pas en faire une grande voie bien aménagée et bornée de milliaires comme la voie d’Antonin le Pieux pour ne citer qu’un exemple vivarois.
Par la suite, la route ne semble connaître aucune éclipse au haut Moyen Age puisque c’est encore autour d’elle, sur son tracé même, que s’implantent toutes les paroisses connues qui jalonnent son parcours et qui, pour l’essentiel, portent des vocables pouvant être attribués au haut Moyen Age. On notera Saint-Gervais à Creyssac à deux kilomètres au nord de la route, Saint-Julien et Saint-Alban sur son tracé même, ainsi que Saint-Pierre à Flaviac, Saint-Martin à Lubilhac, qui se superpose au site antique, Saint-Etienne au Lac sur la commune de Privas, Saint-Saturnin à Chomérac, Saint-Pierre à Privas, mais aussi plus loin Saint-Martin à Gourdon, Saint-Bénigne à Mézilhac qui est attesté dès le VIIè siècle ( 3311 ), Saint-Julien à Raphaël et Sainte-Eulalie au pied du Gerbier-de-Jonc ou encore Saint-Pierre-aux-Liens à Laussonne, sur le versant vellave du plateau.
La route du Pouzin au Puy est donc un axe régional majeur à la fin du Moyen Age, héritier d’un itinéraire antique que jalonnent de nombreux sites d’habitat ainsi que plusieurs églises aux vocables évoquant le très haut Moyen Age.
) Les Estables, cadastre de 1826, section B dite des Estables et des Infruits.
) Les Estables, cadastre de 1826, section B dite des Estables et des Infruits.
) Lemaître (J.-L.) : Cartulaire de la chartreuse de Bonnefoy, op. cit., n°197, p. 156
) Les Estables, cadastre de 1826, section A dite de Chabanne.
) Les Estables, cadastre de 1826, section A dite de Chabanne.
) Laussonne, cadastre de 1832, section C3 dite de Fraisse.
) Laussonne, cadastre de 1832, section C2 dite de Fraisse.
) Laussonne, cadastre de 1832, section C2 dite de Fraisse.
) Laussonne, cadastre de 1832, section D1 dite des Crouzets.
) Laussonne, cadastre de 1832, section A1 dite des Badioux.
) Laussonne, cadastre de 1832, section A2 dite des Badioux.
) AD43, H.D., 1B 494, n°3.
) AD 69, 48H 1751.
) AD 69, 48H 1751.
) AD43, H.D., 1B 870, f°48v°.
) AD43, H.D., 1B 870, f°2v°.
) AD 07, 52J 111, f°21.
) AD43, G 683, n°2.
) Rossiaud (J.) : Réalités et imaginaire d’un fleuve. Recherches sur le Rhône médiéval, op. cit., t. 1, vol. 2, p. 442-445.
) Sclaffert (Th.) : Le haut Dauphiné au Moyen Age, op. cit., p. 729.
) AD 07, E dépot 75 (AM. de Privas), AA 3.
) Cf. t. I, p. 297-298.
) Bautier (R.-H.) : « Marchands, voituriers et contrebandiers du Rouergue et de l’Auvergne, trafics clandestins d’argent par le Dauphiné vers les foires de Genève (1424) », art. cité, p. 667.
) D’Albigny (P.) : « Un coin de mineur trouvé dans les travaux anciens des mines de plomb et de minerais connexes à Flaviac », art. cité, p. 391.
) Observation personnelle. Ces niveaux ont livré des murs antiques partiellement utilisés comme fondation de l’église (mur gouterot sud) ainsi que des niveaux de sol en mortier de tuileau et une très abondante céramique sigillée associée à ces murs et à ces sols.
) Hirschfeld (O.) : Corpus Inscriptiones Galliae Nabornensis, op. cit., vol. 12, n°2650.
) Dauzat (A.), Rostaing (Ch.) : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, op. cit., p. 182.
) Blanc (A.) : Carte archéologique de la Gaule romaine, fascicule XV, Ardèche, op. cit., p. 65.
) Ibidem, p. 67.
) Dauzat (A.), Rostaing (Ch.) : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, op. cit., p. 10.
) Deux campagnes de fouilles archéologiques de sauvetage en 1994 et 1995 n’ont malheureusement pas répondu aux attentes que le médiéviste pouvait formuler car elles ont presque exclusivement porté sur la villa antique et non sur l’église et le cimetière médiéval. Aucune publication de synthèse n’a été tirée des deux rapports de fouille, ce qui amoindri sensiblement l’intérêt du site pour l’historien. Cf. Cossalter (N.) et Rigaud (P.) : Site de la Plaine du Lac, rapport de sondages, Service régional de l’Archéologie Rhône-Alpes, 1996. Tout au plus quelques sépultures ont-elles été fouillées rapidement et sont à placer aux XIIè-XIIIè siècles. Rien n’interdit toutefois de penser que sur les vastes zones non étudiées, des sépultures plus anciennes dans le Moyen Age n’auraient pas pu être mise au jour, principalement à proximité de l’église Saint-Etienne mentionnée dès les VIè-VIIè siècles (Cf. Rouchier (J.) : Histoire du Vivarais, op. cit., t. 1, p. 636-640).
) Blanc (A.) : Carte archéologue de la gaule romaine, fascicule XV, Ardèche, op. cit., p. 67.
) Sur la liaison entre ce type de lieux de culte et les routes, cf. : Fauduet (I.) : Les temples de tradition celtique en Gaule romaine, op. cit., p. 25-36.
) Durand (E.), Lefêvre (Cl.) : Oppidum du Roc de Gourdon, rapport de sondages, Service régional de l’Archéologie Rhône-Alpes, 1996.
) Découverte fortuite effectuée en 1997 par M. René Chemin, archéologue de l’A.F.A.N.
) Dauzat (A.), Rostaing (Ch.) : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, op. cit., p. 427.
) Renseignement donné par Eric Durand, du Centre de Documentation archéologique d’Alba-la-Romaine, Service régional de l’archéologie.
) Provost (M.), Rémy (B.) : Carte archéologique de la Gaule, vol. 43, la Haute-Loire, op. cit., p. 74.
) Sur les controverses et les incertitudes quant à la date de fondation exacte du monastère, cf. Fayard (A.) : « Aux origines du Monastier », art. cité.
) Dauzat (A.) et Rostaing (Ch.) : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, op. cit., p. 386.
) Rouchier (J.) : Histoire du Vivarais, op. cit., t. 1, p. 636-640.