A celui qui apprit à lire
en gardant les vaches aux prés,
à l’aube de la Seconde Guerre mondiale
J’adresse mes remerciements à toutes ceux et toutes celles qui m’ont soutenu et qui ont contribué, à leur manière, à l’élaboration de cette étude.
J’exprime ma gratitude tout particulièrement à :
Monsieur Guy AVANZINI, pour sa disponibilité, son écoute active, et ses encouragements pendant tout le temps de la direction de la recherche.
Messieurs Antoine de la Garanderie et Guy Le Bouedec, pour l’approfondissement épistémologique que sous–tendait une telle recherche en Sciences de l’Education.
Messieurs Constantin XYPAS et Jean Pierre GATE pour leur lecture critique à l’égard de tel ou tel chapitre.
Enfin, sans la collaboration des enseignantes des C.P. qui m’ont accueilli dans leur classe, ce travail n’aurait pas été possible. Je remercie également les parents qui, par la sincérité de leurs propos, se sont livrés aux questions.
" Comme la perfection du beau décompose la durée en une pluralité dispersée, ainsi l'imperfection de toute vérité scientifique compose la suite d'une conquête indéfinie [...] La connaissance est par nature inachevée mais elle s'accumule sans terme".
Raymond ARON.- Introduction à une philosophie de l'histoire.
- Edition Gallimard, Réédition 1986, page 424
"...Les sciences sociales illustrent les vertus de l'incertitude. Contraintes à produire le plus souvent une intelligence plurielle de leur objet, marqués par l'arbitraire des choix qui les amènent à découper des événements dotés de sens [...] elles tissent et retissent indéfiniment la trame d'intelligibilité jamais achevée, témoignages toujours précaires et infiniment précieux de la construction historique de l'humain."
Jean-Michel BERTHELOT.- Les vertus de l'incertitude, le travail de l'analyse dans les sciences sociales.- PUF, 1996, page 260