7 familles correspondant aux 7 enfants (enfants N° 1, N°7, N°8, N°14, N° 27, N° 35, N°38) ayant le mieux réussi auraient pu être entretenus. L'enfant N° 27 a été exclu, dans la mesure où sa passation est beaucoup plus longue que les autres. Sur les 5 restants du GROUPE I, Il n'a été retenu que le N°1, N°35 et N°38, les deux autres restant en réserve, en cas de non-acceptation de la part des autres familles.
Cinq enfants composent le GROUPE II de cette école. L'équipe pédagogique, afin d'éviter d'altérer les suivis psychologiques conduits avec certains de ces enfants, n'a pas voulu que ces parents soient au courant de cette enquête et y participent. C'est la seule école, sur les neuf rencontrées qui a posé ces conditions. Peut-on percevoir, dans cet avis donné, une certaine résistance de la part des enseignants ? Où s'agit-il réellement d'une protection des suivis en cours ? Ces questions restent en suspens, tout en ne gênant pas la recherche. En effet, cette dernière ne cible pas une population rattachée exclusivement à une culture scolaire mais tente de montrer que, quels que soient l'école ou le milieu d'origine de l'enfant, le lien parent enfant, qui existe par essence, est facilitateur ou réducteur pour les apprentissages.
Cf. ANNEXE N°5 TOME II tableau des résultats de la passation du E 20 pour les enfants des écoles G de VERTOU et ANNEXE N°6 pour l’école H de NANTES.