Geste n°2

Les deux parents utilisent l'écrit relativement souvent, mais monsieur Binta regrette ne pas l'utiliser davantage. Par contre, travaillant dans une imprimerie, il lui arrive souvent de lire des revues qu'il ramène chez lui, notamment tout ce qui est sport automobile. "Pratiquement tous les jours, je ramène de la presse. Je ne lis pas tout, je lis surtout la presse" dit-il, montrant qu'il tisse tout de même un rapport quotidien avec la lecture. Même s'il reconnaît ne pas lire régulièrement des romans, cela lui arrive tout de même. Sa femme, quant à elle, lit occasionnellement des revues, des romans-photos.

Un second lien de cohérence, tout en apparaissant diffus, s'établit bien, cette fois-ci, entre apprentissage et vie lectorale et scripturale de la famille.