L’université n’entend donner ni approbation, ni improbation aux opinions émises dans cette thèse.
Celles-ci n’engagent que leur auteur.
Je remercie les membres du Ceriep et ses directeurs successifs qui m’ont accueilli pendant si longtemps. Mes remerciements vont aussi à l’ensemble du personnel des bibliothèques et en particulier à celle de l’IEP. Je voudrais également saluer la compréhension et la coopération dont ont fait preuve mes interlocuteurs municipaux.
Je remercie Jean et Josette Chambolle, Laurence Lutz, Olivier et Guillemette Neltner, Pauline Rhenter, Barbara Romagnan, Emilie Vallat, ainsi que tous ceux qui m’ont apporté leur aide et encouragé à différents moments de ce travail.
Merci aussi à mes nombreux relecteurs, Taoufik Ben Mabrouk, Christophe Bouillaud, Christophe Dubois, Mahfoud Galloul, Lilian Mathieu, Joan Stavo-Debauge, Virginie Viault, et en particulier Didier Chabanet, pour leurs suggestions et leurs critiques souvent fécondes. Les conseils attentifs de Philippe Corcuff m’ont beaucoup apporté.
Mes remerciements vont enfin à Monsieur le professeur Marie qui m’a laissé une grande liberté dans l’exercice de thèse.