II - Cartes de la ville

Nous utilisons ici la typologie basée sur le classement d’Appleyard (voir chapitre 1). Nous avons ainsi identifié deux types de cartes : les cartes séquentielles et les cartes spatiales.

Les cartes mentales ne sont pas constituées d’éléments urbains que les individus essaieraient de positionner les uns par rapport aux autres dans le but de répondre à la demande de l’enquêteur. Chacune d’entre elles est un schéma logique, avec une cohérence interne où chaque entité est indissociable des autres. Si elles différent par la présence ou l’absence d’éléments distinctifs tels que des axes routiers, des limites urbaines, des zones clairement identifiées, c’est l’association de ceux-ci, leur position relative qui permet de mettre en valeur les différentes représentations spatiales.

Il faut auparavant noter que, malgré les disparités évidentes entre les différentes cartes, il existe quelques constantes :