La sensibilité

La recherche d’une intersensorialité est évidente, même si pour WIGMAN et GRAHAM les perceptions proprioceptives sont fondamentales, car elles donnent accès à l’imaginaire et aux émotions. WIGMAN, surtout, utilise le registre sensible pour créer à la fois des formes de mouvements et du sens à sa danse. GRAHAM emprunte aux grands mythes les images nécessaires à la création.

BEJART mobilise une sensibilité plus académique où les perceptions visuelles et auditives sont dominantes pour la maîtrise du mouvement.