4. L’intelligibilité :

129 interventions des enseignants représentent surtout 4 enseignants sur 6. 3 enseignants sur 6 s’expriment largement sur la nécessité de compréhension de la danse. L’aspect rationnel a tendance à l’emporter, et semble être une des conditions de mise en oeuvre de la création. 5 enseignants sur 6 accordent de l’importance au sens donné à la danse . 5 aussi, témoignent d’une approche plus sensible, en imageant la danse. 3 d’entre eux mettent l’accent sur la création et le spectacle, 4 interventions montrent aussi que l’expression est un enjeu important. Les enseignants reconnaissent tous que danser est une activité qui a sa place en EPS et qui est différente.

Nombre d’items différents :130 (34,2 %)

items récurrents : thème : 4 sur 6 (10)

travail : 4 sur 6 (8)

Le souci des enseignants est double : d’une part la recherche de cohérence, la logique, la mise en forme d’idées dans l’élaboration de la danse, et d’autre part, l’approche esthétique et sensible des formes. Ces deux aspects sont abordés comme des contradictions impossibles à résoudre. ils éprouvent de grandes difficultés et réagissent très affectivement. Une grande partie du discours emploie les termes de “j’aime, j’aime pas” (environ 35 interventions). Là encore, les contradictions entre ce qui peut paraître rationnel et irrationnel sont insurmontables et déroutent les enseignants qui préfèrent ne pas enseigner la danse.