3. La sociabilité :

23 interventions portent sur la distinction garçons filles en danse. Elles témoignent de l’empreinte sociale importante concernant la féminité du mouvement dansé. 20 interventions illustrent vaguement les notions de socialisation, de rapport de l’individu au groupe, sans pour cela montrer une spécificité à l’activité. 20 autres font référence à l’implication de la personne dans l’acte de danser. Les autres sont vécus comme sujets à affronter. Ce qui peut paraître curieux, du point de vue de la danse, qui cherche plutôt à séduire et à captiver.

Là encore, danser est un moment difficile d’échanges. Peu d’interventions ciblent une sociabilité spécifique à la danse par la tenue de rôles particuliers. L’absence de modèle est revendiquée. Les codes à établir sont du registre de la démarche pédagogique pour permettre les évaluations.

nombre d’interventions : 76 (26,1 %)

Nombre d’items récurrents : Filles 5 sur 6, garçons : 4 sur 6

Oser 3 sur 6

Groupe 3 sur 6, ensemble 3 sur 6

La sociabilité représente un pôle important pour les enseignants. La situation dansée choisie, implique la communication, le spectacle. D’où l’importance accordée à l’idée de se montrer, d’être regardé. L’implication de la personne est grande. Il n’y a pas de dissociation entre le danseur et la personne. Nous pouvons observer que l’activité de représentation pose des problème de personne, d’affirmation de soi, plus que de lecture.